La-Mulana, un jeu marqué du sceau de l'infamie : en l’occurrence celui de la maniabilité pourrie et de la construction en tableaux avec streums qui régénèrent. Partant de là soit on privilégie l'approche du 'c'était mieux avant' et on se réjouit - non sans une pointe de snobisme - de découvrir un jeu indé japonais difficile et rigide comme les jeux d'antan ! Soit on considère - comme c'est mon cas - que ce genre de titre n'aurait jamais du ressortir du cimetière de l'histoire des jeux vidéos. J'apprécie les hommage aux vieux titres 8/16 bits mais je ne comprends absolument pas qu'on essaye de reproduire des titres à la manière de cette époque, sans le moindre élément de déconstruction.