Ryle, le héro, est un chasseur de trésor (pratique dans un jeu sur un trésor vous me direz) qui après avoir sauvé, au départ du jeu, une petite fée nommé Friday se rend sur l’île de Mercator à la recherche des fabuleux trésors du roi Nole.
La petite fée l’emmène directement sur le lieu où seraient les trésors et forcement, notre héro, se prends une tôlée pour se réveiller dans le fin fond de l’île dans un village d’ewoks.
Il faudra donc à notre héro sauver la moitié de l’île pour pouvoir finalement revenir dans ce fi… palais et récupérer le fameux trésor.
Le décor étant planté, qu’est-ce qui a fait de ce jeu une belle référence ?
Déjà, remettons les choses dans le contexte, le jeu sors en France en 1993 sur la console Sega « megadrive », j’ai du l’avoir en 1994, et, à cette époque, le must du genre, à savoir le A-Rpg était sur la plateforme concurrente : la super Nintendo. Il s’agissait du célèbre et génialissime Zelda 3 (d’ailleurs faudra que je pense à en faire un article)
Nous étions donc à la période des A-RPG vu de haut en 2D.
Et c’est dans ce contexte que Sega nous avait pondu un Rpg en « 3D ».
Eh oui, petite révolution de l’époque, le jeu était entièrement en 3D isométrique !
Bref, le jeu était une bonne source de nouveauté avec en plus, des dialogues emprunt d’humour (nouveauté pour l’époque quand on compare à Zelda 3 qui fait pauvre dans ce registre là).
Que dire de plus, la durée de vie était pas mal (j’avais du mettre une vingtaine d’heure mais je pense qu’il faut compter plutôt 10-15h).
Pas mal de moments sont relativement difficile lié justement avec l’apport de la 3D isométrique, avec tous les moments où il faut faire des sauts en changeant de direction où encore le mémorable labyrinthe verts où l’on pouvait passer des heures bloqués juste parce qu’il fallait bien regarder et surtout, voir les escaliers cachés par justement cette 3D que personne n’avait vu précédemment.
Bref, un jeu à découvrir, redécouvrir et qui ne vieillit pas mal pour un geek comme moi.
(Critique originiale par ici)