Kojima rentre dans la légende
De souvenir de gamer jamais un titre n'avait sucsité (et ne suscitera peut être) autant d'intérêt. Il était attendu comme le messie et il fût, comme il se doit pour un titre majeur, à la fois ensencé et décrié. Le graphisme y est sublîme tout comme la jouabilité d'ailleurs. A ce niveau là le titre est inattaquable.
On s'y amuse comme un petit fou sans forcément tout capter du scénario, mais c'est l'éclate totale, du moins tant qu'on ne se prend pas trop au sérieux. Snake est à l'agent secret, ce que Mario est à un plombier, c'est à dire une mise en vitrine irrésistiblement drôle et attanchante mais diamétralement opposée à toute réalité tangible.
Quelques cinématiques sont longuettes. Parfois on frise la prétention outrancière mais le ridicule (tout japonais) des situations ramène toujours tout le monde sur terre. Pour ma part, j'y ai joué avec une réelle joie, et d'authentiques surprises. Un conseil: photographiez dans la première partie du jeu les nanas en bikini placardées au hasard un peu partout, à un certain moment de l'aventure, il se produira une scène irrésistible et complètement inattendue. Vous m'en direz des nouvelles.
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