L'ULTIME ADIEU DE LA SERIE OU SIMPLE EXAGERATION DES PONCIFS DE MGS

Il y'a beaucoup trop de choses à dire sur ce jeu . Tout comme n'importe quel de la ludographie de Kojima le bougre aura toujours le mérite de faire qui ne laisseront jamais indifférente . Ce dernier étant chronologiquement l'aurevoir définitif de solid snake . Prenant place dans le "futur de 2014" prenant place aprés MGS 2. Liquid étant à l'image de son cher frére fatigué et proche de la sénilité . On se rend compte d'une chose c'est que le jeu trahit en tout point l'esprit de la franchise metal gear solid . Ou sont les maps qu'il fallait se réaproprier et les munitions qu'il fallait rechercher au fur et à mesure ? Là on se retrouve avec une succession de chapitre faites par différentes equipes de designer ce qu'on ressent tout à partir de la troisiéme où l'espace qu'on nous a habitué lors des premiéres volent en éclat pour se taper des suivis et d'infiltration les plus molles que j'ai pu voir dans un jeu . Mais aussi une course poursuite faisant directement reférence à mgs 3 sans la nervosité qu'il y avait auparavant. D'ailleurs puisqu'on en parle Le jeu des fois ne se limite qu'à ça avec ses boss mantis et wolf que je n'ai pas besoin de plus préciser dans les clins d'oeil sont lourdingues alors que la subtilité n'a JAMAIS été la force de la série . Là où les autres opus s'étaient imprégnés des codes cinématographiques le premier étant une synthése de la décenie cinématographique le précédent avec son milk shake actioner et espionnage par exemple . Kojima nous avait habitué à plus de soin sur la force évocatrice des oeuvres qu'il s'était imprégné tout au long de sa vie . Jusqu'à en faire une des plus belles lettre d'amour sur la place d'un artiste dans la société dans le perfectible mais plus que pertinent metal gear solid 2. J'ai beaucoup eu l'impression que cela se signait comme un aveu d'échec ou d'une note de cynisme sur les propres fans de sa saga voulant être une bulle déconnecté de la séve que s'imprégnait ses ainés . L'esprit de débrouillardise qu'on pouvait ressentir avant ? Aux oubliettes à partir du moment où on fait piloter metal gear solid . Quel était le réel interet que ce soit ludique ou dans ce que cela voulait nous raconté ? Pourquoi avoir ramené raident pour au final détruit tout ce qui avait été construit lors du deuxieme ? Bien que tout cela est à prendre en compte pourrait on dire que metal gear solid 4 est une suite dispensable au sein de l'histoire ?

Malgrés tout ce que j'ai pu rétorqué depuis le début clairement pas , le jeu a pour mérite d'aborder des thémes peu vu dans le jeux vidéo et encore moins dans l'industrie triple AAA faire face à l'inevitable : la mort . Voir Old snake se galérer à entreprendre les actions qu'il faisait depuis toujours aura été une des expériences les plus troublantes du jeux vidéo . La scéne où il révéle son corps à Naomie est à se glacer le sang tant elle joue avec l'image de solid snake qu'on a gardé pendant toutes ces années . Le combat final ou les deux fréres se mettent à perdre toutes capacité cognitives à la fin est à se déchirer le coeur tant elle fera echo à notre propre mortalité . Voilà pourquoi metal gear solid 4 est une anomalie tant il est l'opus contradictoire dans son propre être . A la fois bourré de fan service dégoulinant tout en montrant lentement la mort douloureuse d'une icône du jeu vidéo .