Une ambiance profonde et multitone, une impression de faiblesse bienvenue, mais des phases se reposant sur une confusion générale, quoique involontaire : L'IA est totalement à l'ouest, l'infiltration est bidon entre ce dernier point et le level-design pas franchement adapté et les combats contre les monstres restent plus des combats contre le jeu. Et puis merde, s'il faut mettre des nazis et des communistes méchants pour accrocher le joueur, c'est qu'il y a un souci. Cela dit, Metro Last Light reste plus agréable et plus cohérent que son prédécesseur.