MIND: Path to Thalamus par Preedatoor
« Au sein de cet environnement instable et turbulent, un seul élément reste constant : le changement. » Après une catastrophe, un père essaie de retrouver sa fille Sophia. Le voyage risque d’être long et spirituel avant d’en voir la fin.
Dans Mind : Path to Thalamus on avance à la vitesse de la nature. Lentement, pour profiter des changements climatiques et des graphismes suffisants pour que tout cela soit beau. On progresse sur une herbe d’été avec les rayons du soleil qui nous chauffent la peau. Ou encore une douce nuit d’été ou la lumière de la lune et des étoiles vient écarquillée nos yeux. Accompagnée d'une musique calme et apaisante qui nous détend et nous entraine dans ce monde. (Chris Zabriskie – I am a man who will fight for your honor) Tout cela grâce à une histoire, qui malheureusement n’est pas très prenante.
Certes on se retrouve dans des endroits aussi réalistes qu’imaginaires, mais le joueur ne prête presque pas attention au scénario simple. On est plus focalisé sur ce qui se déroule sous nos yeux et les quelques énigmes que l’on nous propose. D’ailleurs pour déplacer les objets le joueur perd presque toute sa vision. Cela reste un problème majeur dans le jeu. Que ce soit pour marcher ou profiter de son environnement, l’objet est au milieu de l’écran et on ne voit plus se qui se trouve en face de nous.
En ce qui concerne la fin, elle fait perdre un peu de charme au jeu.
En somme même si Mind : Path to Thalamus n’est pas parfait on passe un très beau moment.