une aventure d'un Sylvanian en VR

Je ne prends que rarement le temps d'écrire une critique car je considère qu'elle doit justifiée pour avoir du sens. Donc il faut y passer beaucoup de temps.
Je n'ai malheureusement pas de temps suffisant à allouer à cette critique cette semaine. Peut-être y reviendrais-je plus tard.
J'ai fait l'acquisition de ce jeu pour que le casque PSVR serve et pour trouver un jeu VR pour ma fille de 9 ans.
Les critiques des sites spécialisés (non collaboratifs) sont bonnes et 30€ pas exagérés.
Je lance le jeu, passe les innombrables calibrages et mets le casque sur le tête de ma fille. Je suis ses aventures sur l'écran.
Elle me dit tout de suite que c'est superbe, que la Sylvanian (eh oui, Quill est une fille...même si Starlord ne l'est pas...et que c'est dure d'appeler quelqu'un d'autre ainsi) est trop mignonne.
On joue 2 rôles: d'une part une espèce d'esprit de la taille et de la force d'un Homme et d'autre part, on pilote Quill avec le joystick gauche et les boutons de la manette.
Le type du jeu est une espèce de jeu d'énigmes, de puzzle 3D. La difficulté est modérée mais il faut tout de même réfléchir et tester (pour un adulte non-expert des jeux-vidéo comme pour un enfant).
Ca se joue bien à 2 (l'enfant en VR et l'adulte qui aide devant l'écran) aussi.
Et puis évidemment , je finis par chausser le casque PSVR. Et là, c'est la claque: je suis dans le monde des sylvanians, mais vivant.
Evidemment pour les hard-core de la VR qui ne jure que par le Pimax 8K, la résolution est faible mais...peu importe. Les textures, les couleurs, le tracking, l'interaction, tout est parfait! On est dans le monde des sylvanians! C'est magique.
Ce n'est pas du tout décevant comme un Skyrim VR (oh! ma PS4pro est devenue une PSone), ou un Doom VFR (mais ou est le gameplay d'excité que j'ai connu au début de la série, à jouer en réseau dans la salle informatique de l'école?)
C'est LE JEU en VR sur PS4 pour l'instant.

Ah oui, je ne mets pas 10/10 car il parait que la durée de vie est un peu courte...C'est pour l'instant la seule raison