Le Souci avec ce second épisode, c'est qu'on ne crois pas à l'histoire. Dans le premier le but est simple : sortir de cet asile de fou. Et toute la force du premier outlast, c'est de nous faire passer devant la porte de sortie plusieurs fois, et de nous donner l'espoir qu'on peut s'en sortir. Dans le second, on ne plonge pas dans l'horreur pour sauver notre propre vie, mais pour chercher une fille qu'on ne connait même pas, à part la petite intro dans l'avion, qui laisse entendre un lien entre les deux, personnellement je n'ai aucune affinité avec cette fille. En clair je ne risquerai pas ma vie pour elle. Dans la vrai vie, je me serai barré vite fait, chercher la police, et leur laissé faire leur boulot. Je sais c'est lâche. Voila le problème de ce jeu. Vu qu'il se passe à l'extérieur, il n'y a pas ce sentiment de confinement du 1. et j' ai du mal à aller risquer ma vie pour une inconnue.