Je dis oui. On a le côté organique du studio tchèque Amanita Design (Botanicula, Samorost). Et le travail fait main que l'on peut retrouver dans Lumino City ou The Neverhood. Ici la matière première est le papier. C'est hand man craft, délicat et étrange. Tout est papier. L'aventure gagne sa singularité à proposer un univers propre autour de ce matériau. Quand je dis que Amanita Design est pas loin, on a juste car jusqu'à l'OST est signé Floex (Machinarium, Samorost). L'aventure est malheureusement trop courte. Sans écueils. C'est un coup d'essai réussi. J'attendrai une suite.
Créée
le 17 juin 2021
Critique lue 295 fois
1 j'aime
10 commentaires
D'autres avis sur Papetura
Papetura ne dure qu'une heure et ne propose pas grand chose à jouer. Quelque chose comme 8 énigmes à tout casser, dont les 3 premières introuvables sans le système d'aide très joliment intégré dans...
Par
le 8 oct. 2024
Du même critique
Mélange navrant de The Stanley Parable et Portal. La narration est atroce, ça parle pour ne rien dire. Il n'y a pas d'humour, on ne casse aucun 4ème mur, le message que le jeu veut faire passer est...
Par
le 17 sept. 2020
12 j'aime
L'avenir énergétique de notre civilisation est un sujet sans réponse simple et facile. En plus de constituer la matière première de tout ce qui constitue notre quotidien, le pétrole est la seule...
Par
le 12 janv. 2022
9 j'aime
Après Le Monde sans fin (2021) de Jancovici clairement pro-nucléaire, Davodeau, lui défend la thèse inverse. Tel un Rufin, il part en pèlerinage jusqu'à Bure, future site d'enfouissement de déchets...
Par
le 12 janv. 2022
8 j'aime
