Petite perle indépendante que j’aurai trouvé sans hasard, influencé par mes podcasts hebdomadaires de quadragénaires à l’éloquence et l’expérience qui ne se trouve plus à prouver.
Homme féru de la production française, je me suis laissé tenter par le ton chatoyant de ses nuances pastelles, de l’innocence qui en émanait (à prime abord), qui, s’il n’avait été signé par mes compatriotes, m’aurai vu le laisser choir au plus profond de son… ascenseur. J’ai donc apprécié ladite promenade au gré de mes débuts de soirées comme un passage dilettante et poétique du coucher :) A touches de petites expériences d’à peine une heure, j’avançais avec curiosité et mesurais un croissant sentiment d’attachement à ce qui semblait être, au début, un pâle ersatz de je ne sais quel autre titre à la renommée plus auréolée.
Arpentant les environnements divers c’est surtout l’appréhension de l'usage du grappin et de sa… préhension qui me poussait à reconnaitre en cette création une certaine pertinence en sa mécanique sans cesse remise à l'épreuve des gymnastiques du gameplay qui auront poussées de bout en bout à louer la richesse d’esprit des développeurs.
En bref, sans pléthore d'artefact et autre abondance d'effets, Holy Cap signe, sans le millier d'artefacts et aucune maîtrise, LA maitrise de son unique outils d'un millier de façons.
A difficulté à tendance assez courtoise, rien ne sera insurmontable si ce n’est le dénouement qui demandera… de la patience... ou un éclaire de lucidité dont j'ai fait l'objet ;)
Seul bémol... les chargements :/