Kawaii desu ne~ ฅ^•ﻌ•^ฅ

Hn......... Ano?
Etto. Ohayo minna-san (　＾∇＾)

Aujourd'hui, on se retrouve pour une critique de Punch Line ^w^ Soudane~

L'idée est simple : Yuta devient un fantôme, et s'il regarde des panty, eh bien, catastrophe !!! C'est la fin du monde, hontou ni ?!

Un chat trop kawaii le guide pour retrouver un mystérieux grimoire, lequel devrait lui permettre de regagner son corps.

Pour ce faire, Yuta doit jouer des tours de fantômes

pour effrayer ses voisines et gagner de l'énergie, ce qui lui permet de chercher plus efficacement ledit grimoire. Sugoi!!!!

Les musiques sont toutes kawaii, et les modèles 3D aussi, hai. Les décors ne sont pas très kirei mais on s'y habitue. La jouabilité est naisu~!

La localisation de PQube est un véritable travail d'orfèvre, subarashii! Enfin, les images traduites sont un peu maladroites mais ça va (=^･ｪ･^=)

BON EN VRAI

C'est du Uchikoshi. Cet argument-vente en fera frémir certains, et en intriguera d'autres.
Si vous avez aimé les Zero Escape, laissez-vous donc tenter !

La bande-son est quirky, mais de bonne facture ; elle est principalement électronique, mais il y a quelques sonorités jazzy également. Je ne suis pas du tout parvenu à trouver un réglage satisfaisant entre son volume et celui des voix. Cependant, contrairement à d'autres jeux sur Vita (Danganronpa V3: Killing Harmony et Steins;Gate 0, pour ne pas les nommer), les voix sont de très bonne qualité et on n'entend pas de compression. De plus, le jeu est intégralement doublé.

J'ai trouvé le script hilarant. Vous trouvez le postulat de départ absolument ridicule ? Attendez de voir comment ça évolue. Attention toutefois ; il ne s'agit pas ici d'une déconstruction du concept de fanservice. Enfin, le jeu n'a pas cette prétention, loin de là. La galerie déblocable à la fin du jeu se constitue exclusivement de panty shots, et vous VERREZ des culottes que vous le vouliez ou non. D'ailleurs, j'en ai même bien ri, de cette volonté qu'à le jeu à nous montrer des panties sous n'importe quel prétexte. Mais cette abondance de sexualité est également là pour aborder des sujets liés, de façon moins superficielle que ce à quoi on pourrait s'y attendre.

Une partie du jeu est dédiée aux tours de fantômes, qui s'ils paraissent similaires à ceux de Ghost Trick, n'en gardent ni l'intelligence ni la difficulté. Les obstacles sont mineurs et une fois le concept saisi, vous aurez vite fait de maîtriser le gameplay. Comme toujours cependant, Uchikoshi manie à la perfection l'alliage scénario-gameplay.

Le jeu s’agrémente de scènes de l'anime (parfois maladroitement), et même de quelques scènes supplémentaires animées de façon bien plus... réduites. Mais les dessins sont beaux (pour ne pas dire que je les adore) et l'animation a peu de problèmes. Les chambres des voisines et les objets qui les peuplent sont loin d'être une extase visuelle, mais en revanche, les modèles des personnages sont vraiment impressionnants, et j'ai encore du mal à croire que ma Vita n'a eu aucun problème de framerate.

Alors au final, quelle est-elle, cette punchline ? Eh bien je n'en ai foutrement aucune idée.