Rayman, premier du nom. Un titre clef pour le genre de la plate-forme, noble ancêtre d'une lignée plus ou moins prospère de descendants, cet épisode là a tout pour lui.
La jouabilité est aux petits oignons : le héros se prend facilement en main, et a accès à une large panoplie de pouvoirs en tout genre. La durée de vie est gigantesque : le jeu tourne dans les 16 mondes, chacun composé de 3 à 5 niveaux. Et il faudra en refaire certains des dizaines de fois pour découvrir tous les secrets bien bien bien planqués du jeu.
La bande-son est honorable, les graphismes sont excellents pour l'époque. Le scénario est inexistant, et tant mieux ! Seul bémol, le jeu est vraiment très dur. Pour l'anecdote, il n'avait jamais été play-testé avant de sortir, les concepteurs n'avaient donc pas la moindre idée du niveau de difficulté ^^ Et, parfois, ça se ressent ! Sinon, que du bonheur :)