En littérature et en cinéma la Science fiction a eu son importance. Tous les thèmes sont abordé et puis sans les russes le montage dynamique ne pourrait tout simplement pas exister... et pourtant...
On a un livre et un film qui raconte tout ça... mais on en reparlera plus tard...
Le jeux vidéo le plus vendu est russe et c'est Tetris. Barack Obama à jouer a The Witcher 2 et 3. 25 millions de copies oiyr ce dernier et CD projekt est une entreprise qui a tout compris du système dans lequel le jeux vidéo s'enfonce... et pourtant.
Il existe une entreprise en Ukraine qui a difficilement fait son chemin pour avoir des jeux traduits en France et dans le monde entier : GSC Game World. D'abord avec Cossacks puis avec la licence S.T.A.L.K.E.R
Stalker est une œuvre total. A la base il s'agit d'un libre de deux frère qui a été adapté en film en 1979. Le film et le livre ont sensiblement la même histoire : deux personnes veulent atteindre dans la "zone" l'exauceur de voeu. Mais pour ça il leur faut l'aide de quelqu'un qui la parcourt et qui la connait : les stalker.
Le jeu a bien une zone, des anomalies quelques mutants, une multitude de faction et plein de personnage. Très vite, on apprend à se débrouiller dans la zone en devenant ce que l'on déteste le plus. On tue pour survive, vole pour manger, explore pour piller. Ce jeu a la meilleur immersion de tout ce que j'ai pu faire. Pas de musique. Un ciel souvent gris, les armes qui ne marchent pas, le poids des munitions, les petutes histoire de la zone bref tout cet univers nous plongent dans cette zone. Lieux mystique autour de la centrale de Tchernobyl. Ce jeu peu rebuter beaucoup. Affaiblir certain comme aspirer d'autre.
Et pourtant un RPG FPS qui a tout de différents des Fallout en se créant sa propre identité par l'environnement et le gameplay et les dialogues. Plus exigeants qu'un shooter générique ou on tire sans réfléchir. Un jeu qui a tout pour plaire. Un jeu avec peu de chose, mais toujours bien exploiter.
Un système de poids bien pensé, des gun fight toujours maîtriser, des armes réels, des stalker prêt à tout pour vous prendre un artefact, la guerre entre la liberté et le devoir. Lzs écologistes qui profitent de l'avarice des uns pour les envoyer au casse pipe. Les anomalies qui sont un trouvaille vraiment incroyabe. Les artefacts, symbole d'une lourde puissance au prix d'un sacrifice. La zone tourne toujours. Toujours.
S.T.A.L.K.E.R, une œuvre importante qui a tailler son chemin parmis les grands. Et c'est en se balandant dans cette zone, que l'on voit un petit groupe de Stalker, manger simplement, rigolant un bon coup. Quand l'un d'eux décide de sortir une guitare et commence à jouer. Des instants cacher dans la violence et l'urgence de la zone, juste avant de reprendre sa route, car la nuit commence a tomber. Il est temps de rentrer.