Une véritable descente aux enfers ?
Nous sommes en 1999. Les accords aussi cristallins, qu'hésitants d'une guitare résonnent dans l'obscurité. Au loin, le râle lugubre d'une sirène. La brume qui avalent la peur et fait planer l'effroi. Silent Hill. Dès ses premiers pas, la série emprunta plus à la terreur psychologique façon Lovecraft, Bacon, Lynch ou l'échelle de Jacob d'Adrian Lyne, qu'aux trains hantés qui se contentent de faire sursauter à la Resident Evil. Mais près de 10 ans plus tard, l'effroi s'est-il dissipé ?
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