Mon arcologie, bouffée par un robot extraterrestre ! Scandale !!
Voilà LE Sim City qui m'a fait regretter l'achat de tous les suivants, pourtant tous très bons. Des heures et des siècles a construire, raser, creuser, bâtir, démolir, atteindre la perfection urbaine, La ville parmi les villes ! Le joyau absolu !!!... Et finalement se prendre un raz de marée en plein cœur de la zone commerciale, dévastée, poumon financier de ma ville.
La rejouablilité de cet opus est infinie (Comme tous les Sim City vous me direz). Tu commences tes premières parties en décochant l'option "catastrophes" parce que, franchement, c'est blasant. La première fois que tu parviens à construire une ville qui s'est répandu sur toute la carte, ton coeur se remplit d'une fierté sans bornes. Et tant pis si la moitié de la ville est sinistrée, que les embouteillages sont monstres, que la pollution globale donne une espérance de vie de 56 ans à tes habitants et que tu ne comprends globalement rien aux indicateurs qui s'amoncellent. Tu es fier.
Mais tu recommences pour faire mieux. Et tu peux toujours faire mieux. Tu peux tenter de construire une ville sans routes basée uniquement sur les transports en commun. Tu peux tenter une ville sans industrie, une ville sans connexions avec l'extérieur, une ville sans impôts, une ville sans police, une ville avec une espérance de vie de 111 ans...
Quand tout ça sera devenu trop simple, tu iras dans l'éditeur de cartes, pour faire émerger des canyons, des rivières envahissantes, un terrain jamais nivelé... Et puis tu laisseras les catastrophes naturelles se déclencher sans prévenir. Et parfois même, tu en provoquera plusieurs simultanément (incendie + raz de marée + extraterrestre combo ultime!)
Pas d'objectifs si ce n'est ceux que votre imagination vous propose. Et pour finir l'objectif ultime. Répandre les arcologies, ces splendeurs architecturales faisant exploser votre population, véritables cités verticales dans la ville indépendantes mais pas trop, qui recrachent tous leurs criminels, que même avec trois commissariats collés à sa base, je n'arrivai pas faire du quartier une zone sans délinquance...
Merci mes petits Sims de me fêter, moi votre maire éternel, je suis votre bienfaiteur !