Streets of rage a été le premier jeu vidéo auquel j’ai joué (et j’y joue encore de temps en temps sur un émulateur pour me remémorer ces bons souvenirs) et je m’en souviendrai toujours.
Le personnage que j’utilisais toujours était Blaze, la fille. Elle me plaisait : sa combinaison de coups, ses vêtements rouges, son agilité et ses petits cris quand elle faisait des prises… Je l’adorais !
D’ailleurs, les boss d’un des niveaux étaient deux et étaient les copies conformes de Blaze, sauf qu’elles étaient vêtues de vert (lors du dernier niveau, elles sont en gris) et carrément plus fortes et rapides qu’elle. Je leur vouais une admiration mélangée de haine.
Petite, je n’ai jamais gagné (je devais vraiment être nulle), mais je prends ma revanche maintenant avec un émulateur où je gagne à chaque fois et où je ne sombre jamais du côté obscur de la force : je tue ENFIN le méchant !
Le jeu n’était pas violent en soi : pas de sang, pas de trucs qui font peur, donc était facilement accessible. Du moins, il ne m’a jamais traumatisée, malgré l’âge que j’avais quand j’y jouais (4 ou 5 ans).
Malgré, encore une fois l’ancienneté du jeu, la musique était vraiment bonne et est encore reconnue pour sa qualité. Elle est signée Yuzo Koshiro.