Rose d'adieu.
Un bijou de gameplay au point que je peux enfin pousser la note jusqu'à 9 sur un projet estampillé "Fabula-j'ai-eu-les-yeux-plus-gros-que-le-ventre". Parlons-en justement de cette mythologie: à...
Par
le 24 mai 2014
26 j'aime
8
Ne jamais sous-estimer le pouvoir du coté obscur du free-to-play: Tales of Link en est l'une des preuves flagrantes. Annoncé en 2014 uniquement au Japon, je ne l'attendais pas vraiment. Mais étant dispo depuis peu sur Goople Play et gratuitement, je n'avais rien à perdre à le télécharger. "Je vais y jouer un quart d'heure..." me disais-je sans prendre conscience de la tuerie sur laquelle j'étais tombé. Après plus de 6 heures de partie en même pas deux jours, je peux affirmer que Namco n'a pas fait les choses à moitié. Le système de combat est l'un des meilleurs et plus simples jamais vu: les 9 combattants dans l'arène possèdent des symboles de couleur à aligner, comme le principe du morpion. Oui, c'est très simple mais d'une addictivité implacable, surtout lorsqu'on découvre les subtilités nombreuses du gameplay. Pouvoir composer avec l'intégralité du casting de la série est un gros plus indéniable, sans parler de l'équipement upgradable. Je peux comprendre pourquoi les japonais ne sont pas pressés d'investir dans une PS4 avec ce genre de réussite.
Créée
le 26 avr. 2016
Critique lue 505 fois
2 j'aime
Du même critique
Un bijou de gameplay au point que je peux enfin pousser la note jusqu'à 9 sur un projet estampillé "Fabula-j'ai-eu-les-yeux-plus-gros-que-le-ventre". Parlons-en justement de cette mythologie: à...
Par
le 24 mai 2014
26 j'aime
8
Mettre Gwen Stacy et le Bouffon vert dans le même film, ça suscite forcément une grande curiosité surtout lorsqu'on sait comment se passe la rencontre entre ces 2 personnages dans le comics d'origine...
Par
le 5 mai 2014
21 j'aime
3
Cinq français ont osé l'impossible : scénariser un vrai épilogue sur l'animé pionnier de la popularité de la japanim' en France, le fameux Goldorak de Go Nagai. Lorsque le prince d'Euphor a débarqué...
Par
le 17 oct. 2021
16 j'aime