The Surge
6.1
The Surge

Jeu de Deck 13 Interactive et Focus Entertainment (2017PlayStation 4)

The Surge est un cas spécial, si on s’arrête à l’enrobage on ne trouvera jamais vraiment l’envie de s’y intéresser tant la direction artistique paraît générique et oubliable (cette jaquette…). De loin ça ne sent pas très bon pourtant quand on s'en approche et ose poser ses mains dessus, se cache une œuvre qui frôle la réussite, loin de ce qu'on aurait pu espérer et je suis moi-même le premier à en être surpris, d’autant plus au regard de l’avis général.

Pour comprendre The Surge il est important de garder à l’esprit d’où vient ce jeu, deuxième œuvre des développeurs allemands de Deck 13, The Surge fait suite à l’échec cuisant de Lords of The Fallen, action RPG puisant son inspiration directement dans la série des Dark Souls.

Évacuons dès maintenant ce point, si The Surge s'inspire bien évidemment de la série de From Software, il est, à la différence du précédent projet du studio, une œuvre qui ne se contente pas de copier mais reformule à sa manière une équation qui fonctionne. Je ne suis pas ici pour faire un tableau Excel et lister les différences entre Dark Souls 1 et The Surge mais celui-ci possède bien une identité unique qui m’a fait oublier tout au long de l’aventure que cette oeuvre est arrivée entre mes mains en 2022, cela bien après une longue l’expérience des Souls et surtout Elden Ring quelques mois auparavant, et réussir à me captiver après cela est déjà un exploit en soi.

Vendre un jeu sous la bannière des Souls Like c’est jouer avec le feu et je pense que The Surge à fait les frais de cette volonté, les joueurs passionnés et souvent connaisseurs du genre qui sont les premiers à mettre la main dessus seront bien souvent tout autant les premiers à comparer point par point leurs expériences sur The Surge et sur un jeu From Software, celles-ci en la défaveur, à n’en pas douter, du premier cité.

Mais si vous ne réussissez pas à approcher la perfection cela fait-il de vous un mauvais jeu ? Certainement pas et c’est exactement pour cela que j’ai envie de défendre et conseiller The Surge, car c’est une œuvre bourrée de qualité et qui possède une identité forte.

Pour lancer cette critique, je souhaite aborder un point négatif qui revient souvent à la lecture des avis sur The Surge. Comme beaucoup d'entre nous, que vous ayez joué ou non à cette œuvre, la direction artistique du titre est souvent un sujet de débat.

Oui, The Surge ne brille pas grâce à sa DA, sans que celle-ci soit repoussante, bien au contraire, elle est plutôt sommaire et ne laissera pas un plaisir impérissable aux joueurs.

Si l'aventure commence dans des environnements en extérieurs, celle-ci nous amène rapidement en intérieur pour ne quasiment plus en ressortir jusqu'au crédit. Claustrophobe s'abstenir, car vous serez amené à traverser des couloirs et pièces souvent composés de tuyaux et autres constructions très brutes à la manière d'une sorte de complexe, entre la construction et l'abandon, bien souvent assez sombre.

Si je ne louerai pas la DA dans mon cas non plus, j'ai trouvé à travers celle-ci une certaine affection, de la même manière qu'on prend plaisir à faire des photos d'urbex, d'autant plus que The Surge se permet quand même de proposer plusieurs secteurs (6) chacun possédant un style visuel propre. Si il n’y a pas un gouffre artistique entre chaque zone, on ressent la décrépitude quand on s’enfonce dans la structure, tout au contraire de la luxure quand on s’approchera du sommet, plus riche, de ce qui semble être une immense ville-complexe industriel.

The Surge ne livre pas non plus tous ses secrets sous les yeux des joueurs et demande à ceux-ci de prendre le temps d'observer l'environnement. Si à première vue le jeu ne présente qu'un chemin possible, son level design très complexe, et qu'on abordera plus tard, révèle de très nombreux secrets et par la même occasion certaines sections cachées. The Surge requiert votre patience car il propose bien plus que ce que les couleurs ternes et les recoins sombres ne laissent penser la première fois.

Vous l'aurez compris ce point n'est pas celui qui m'a décidé à écrire cette critique, suivant la sensibilité de chacun cela peut être plus ou moins gênant mais en toute objectivité cela ne gâche en rien l'expérience, simplement que l’impact dans la mémoire du joueur n’est pas la même que si la DA avait été exemplaire. C'est un mal régulier de beaucoup de double A, sans la simplicité des indé qui permettent plus de folie, tout en ne possédant pas le budget d’un triple A pour mettre des dizaines d'artistes au boulot sur chaque pot de fleurs, un dilemme difficile à résoudre.

Heureusement on évite ici la maladie du jeu un peu cassé, bien au contraire, la partie technique du titre est très solide, et permet d'apprécier le monde de manière agréable et fluide. Complété sur PS4 Pro le jeu a été d'une fluidité exemplaire (60fps fixe) et sans le moindre bug. Les textures bavent un peu si on regarde de près et on est plus proche d'un jeu de début de gen One/PS4 que fin de génération. Les très rares chargements sont extrêmement courts, à peine deux ou trois secondes ce qui ne coupe jamais le rythme et participe à la sensation d'évoluer dans un immense et même monde, point ô combien important pour sentir que le monde évolue autour de nous de manière cohérente et vivante, un peu un anti Prey sur ce point.

On notera aussi que le menu des options est extrêmement riche en choix, que ce soit graphique ou pour l'accessibilité, The Surge se positionne comme un vrai jeu PC sur ce point, mais cela sur console, aspect à souligner.

Ce n’est pas une science exacte mais souvent il m’est arrivé de tiquer sur un détail en tout début d’aventure pour saisir la certaine intelligence d’une œuvre. Dans Half Life 2 par exemple, c’est jeter une canette dans une poubelle au bout de quelques secondes qui donne un aperçu des possibilités incroyables de la physique, The Surge à sa manière s’amuse à créer un moment similaire.

L'intro commence dans une rame de train et à ce moment-là on ne contrôle pas notre personnage Warren, mais celui-ci semble assis sur une banquette sans qu'on puisse le confirmer, la caméra étant placée derrière le dosseret. Ce n'est que quand la rame s'ouvre et qu'on peut bouger notre personnage qu'on s'aperçoit que celui ci est en fauteuil roulant et qu'il vient postuler à l'entreprise Creo, elle permettrait de recevoir des implants et un exosquelette en échange du travail à accomplir pour eux, et donc la possibilité de pouvoir remarcher normalement pour Warren.

Début tout à fait particulier vous en conviendrez et une idée brillante qui donne le là à toute la suite de l’aventure, car à partir de maintenant nous n'évolueront plus sans notre exosquelette qui pour d’obscures circonstances est resté un peu trop collé à nous, mais je laisse le plaisir à chacun de découvrir.

Entrée en la matière de quelques minutes seulement, que j’aurai prolongé pour sentir encore plus toute la difficulté du personnage à se déplacer et renforcer le changement drastique à la suite de ”l’installation” de notre exosquelette, mais qu’importe nous voilà réveiller après notre opération chirurgicale dans ce qui semble être une station ayant subit une explosion accidentelle et personne à l’horizon, du moins amical.

C’est comme cela qu'à la manière d’un Dark Souls notre aventure commence de façon lacunaire et on se retrouve directement confronté à des ennemis peu coriaces, le tout en progressant dans le premier “niveau” ou monde si vous préférez. Pour nous aider les développeurs ont intégré d’une bien belle manière un tutoriel aux décors, point de choses à cliquer ou message stoppant l’action, ici il faut être attentif et observer autour de soi. Place à la fluidité, le jeu ne se coupera plus jamais ou presque jusqu'à la fin de l’aventure.

D’entrée on remarque que les mouvements du personnage sont rapides et dynamiques, le gameplay demandant de bouger assez fréquemment autour des mobs. C'était prévisible, une barre d’endurance est à surveiller mais à la manière d’un Bloodborne le jeu récompense souvent l’agressivité d’autant que différence majeure ici, SF oblige, votre barre d’endurance s’accompagne aussi d’une barre d'énergie, énergie qui servira de plus en plus au fil de l’aventure au grès des choses associés. Je ne citerai pas toutes les possibilités pour préserver la surprise, mais cette barre d'énergie deviendra très importante, d’autant plus si vous n’avez pas d'expérience dans ce type de jeu. Sous forme d’aide, de boost d'attaque ou de défense ou même d'un support tierce, l'énergie est tout aussi importante que l’endurance, du moins jusqu'à un certain seuil de difficulté. Se chargeant après un coup porté réussi, il faut toujours garder en tête un ratio risque/opportunité à chaque affrontement.

En plus de cette différence importante, The Surge possède une mécanique de gameplay essentielle et novatrice dans un sens, c’est le démembrement. Derrière cette phrase toute sensible se cache une des pierres angulaires du jeu qui rejoint le point abordé plus haut, l'énergie.

En combattant on remarque rapidement que chaque ennemi possède plusieurs parties à cibler, pour un humanoïde pour prendre un exemple simple, cela sera les jambes, les bras, le torse et la tête. Cibler chaque partie du corp peut simplifier un combat si l'adversaire ne possède pas d’armure à un point clé, mais cela peut aussi durcir le combat si vous cibler une partie de l'armure mais qui dans ce cas pourra être récupéré si vous atteignez un certains niveau d'énergie et déclenchez un “finish move” de démembrement qui se passe généralement au ralenti. La encore une option dans les menus vous permet de choisir la fréquence des ralentis.

Ceci fait vous récupérez un plan d’armure correspondant à la partie du corps coupé et vous pourrez retourner à des stations médicales, sorte de hub de réapparition, ou vous trouverez un établi pour fabriquer et améliorer vos armes et armures. Plus vous avancerez dans l’aventure, plus il sera compliqué de découper et cibler une partie bien précise d’un adversaire mais le risque pris vous récompensera souvent d’une belle manière.

Dans ce hub de réapparition il y aura aussi une sorte de siège d'opération médicale, ici on pourra augmenter son niveau de puissance de l’exosquelette (santé, endurance, énergie) mais aussi modifier ses implants. Implants qui se trouvent dans chaque monde plus ou moins bien cachés et qui sont indispensables pour faciliter l’aventure. Ils prennent la forme de boost de santé, d'endurance, d'énergie ou encore plus d’information à l'écran, des attaques spéciales et des dizaines d’autres que je ne peux lister ici mais en somme vous l’aurez compris le jeu offre des possibilités de gameplay extrêmement vastes et le choix d’orienter son perso vers de nombreuses voies différentes.

Mais avant de fabriquer tout ce que vous souhaitez et améliorer votre personnage pour devenir un char d’assaut ou un ninja cybernétique, il y aura bien entendu une sorte de “monnaie” en jeu, vos âmes si on prend l’exemple des Souls, mais la encore The Surge ne se contente pas de copier les autres et invente le système de pièces mécaniques à récupérer après chaque élimination. Cependant si vous périssez, vos pièces ne resteront sur la carte que 2 minutes et 30 secondes, bref une bonne dose de stress.

Heureusement deux choses viennent vous aider, d’un il est possible de grapiller des secondes en éliminant des ennemis ( encore cette balance risque et récompense), deux le level design exceptionnel, et je pèse mes mots, du titre.

C’est aussi simple que ça, The Surge m’a offert des vrais moments grisants de plaisir à la découverte de chaque recoins du complexe. Si bien que peu importe où vous avez péris, on arrive toujours au bon moment sur notre point de disparition dans le temps imparti si on mémorise bien le monde dans lequel on évolue.

Mémoriser car The Surge ne possède pas de carte et c’est certainement car Deck 13 ont bien compris que leur level design était suffisamment intelligent et bien construit pour que les joueurs se repèrent simplement grâce à leurs souvenirs.

C’est toujours difficile de classer des jeux entre eux et ça n'aurait pas trop de sens mais d’une certaine manière avec The Surge j’ai retrouvé un plaisir assez unique, sorte de mix entre Prey et Dark Souls 1.

A la manière de ce premier on fait beaucoup de passages dans les mêmes zones mais souvent par des chemins totalement différents qu’on n’a pas trouvé au premier voyage ou simplement inaccessibles lors de notre premier passage. C’est seulement quand on avance dans l’aventure qu’on découvre que tout est interconnecté et même à la différence de Dark Souls 1, qui à sa décharge est plus vaste, ici on peut revenir au tout début du jeu, et ce même si on est devant l'entrée du boss final, grisant de plaisir.

A la manière qu’on pousse un “wow” quand on découvre une échelle qui rejoint une zone connue, ici c’est l’ouverture d’une porte ou la descente/montée d’un ascenseur personnel qui procure ce sentiment puissant de comprendre que tout ce qu’on a visité se relie petit à petit.

Quel plaisir immense de revenir après une pause de quelques jours et fermer les yeux pour se dessiner mentalement la carte dans notre tête pour partir en direction de la prochaine zone.

Au travers de ces 6 mondes tous connectés entre eux, on affrontera un bestiaire qui malheureusement n'évoluera pas beaucoup, la faute certainement à un budget limité mais au moins le nombre d’armes, armures et autres améliorations disponibles permettent une variété tout à fait honorable suffisante pour un run, peut être trop court pour un NG+. A l’image de cela le jeu ne comporte que très peu de vrais boss, je ne donnerai pas le chiffre, mais si ils sont intéressants à combattre, on aurait aimé un chouilla plus de folie, cela aurait demandé encore un biome supplémentaire et le design d’un nouveau boss, compliqué.

C’est arrivé mais bien plus tard dans un DLC qui malheureusement semble très bon et cette fois en extérieur et en plein jour, mais n’est pas intégré dans le jeu de base.

Si je devais juste souligner une chose supplémentaire concernant le gameplay c’est que la difficulté pourra sembler un poil trop faible pour les expérimentés du genre, surtout sur la fin si vous prenez le temps de bien explorer tout et par la même occasion trouver l'ensemble des secrets (et ils sont nombreux) et bonus disponibles. En soi c’est subjectif et ça sera à chacun de se forger un avis sur ce point.

Avant de conclure, finissons par parler de l’histoire et les divers protagonistes qu’on croisera. Ici rien de bien transcendant, sans frôler le moyen on est pas non plus dans l’exceptionnel, l’histoire se contente d'être assez lacunaire et expliqué via des audio logs, la narration environnementale et les quelques PNJ qu’on croisera. La encore cela dépendra de vos appréciations de la SF ou non, dans mon cas j’ai trouvé cela tout à fait suffisant pour me tenir en haleine et quelques cliffhanger ont parfaitement fonctionné.

Le personnage de Warren ne connaît rien des évènements et des intentions de la société pour laquelle on a postulé. Bien évidemment plus on montera vers les étages de la direction de la société plus on ressentira que tout a dérapé au cours de certaines expériences. Cette longue et lente montée en puissance vers le “savoir” fonctionne plutôt bien et The Surge a réussi à m'intéresser à un scénario qui semblait sur le papier plus comme un prétexte. Le jeu possède deux fins mais la vôtre ne sera décidé que dans les toutes dernières minutes par une action très particulière, les rares "quêtes secondaires” des PNJ ou le reste de vos péripéties n'influent pas le court de l’histoire, cela n'étant pas nécessairement un défaut, le petit studio de Deck 13 pouvant se concentrer sur une seule et même mise en scène piochant à droite et à gauche dans des références SF bien connues.

Le jeu vous accompagnera avec une partie audio solide, peu de musiques, mais une large variété de bruits d’ambiance dans cet immense complexe. Au casque certaines zones procurent de superbes moments d'immersion et en écoutant attentivement l’environnement on peut comprendre ou anticiper certains aspects bien précis. Cela a participé au qualitatif de jeu d’horreur pour certains joueurs, personnellement je ne vois rien d’horreur dans The Surge, mais la partie audio, doublage ou comme le mixage de l'environnement et des combats sont grisants de plaisir et participent au gameplay en démultipliant les sensations.

Pour conclure, pour un jeu dont je n’attendais rien de plus qu'une faible réaction de plaisir ou tout au mieux une légère satisfaction pour m’occuper un temps, j’ai trouvé au travers de celui-ci une œuvre solide au concept assez unique qui mérite d'être peaufiné certes mais qui a déjà montré un résultat tout à fait convaincant avec cette première itération. Preuve de la bonne pioche, Deck 13 réalisera une suite. J’ai trouvé les notes sur Sens Critique très sévères à son égard, en particulier mes éclaireurs avec une moyenne générale en dessous de 5. Si The Surge ne réinvente pas la roue, il possède un gameplay agressif et particulièrement addictif et les vastes possibilités de personnalisation et variations donnent au jeu un cœur très convaincant, le tout agencé dans des environnements certes peu marquants sur le plan visuel mais au level design exemplaire.

The Surge n’est pas parfait mais il possède beaucoup de qualités qu'un large nombre d'œuvres bien mieux notées ne possèdent pas et c'est cela qui m'a motivé à écrire cette critique. Un jeu largement sous-estimé car constamment mis en face des œuvres de From Software ce qui n'a pas vraiment de sens tant The Surge essaye de s'éloigner de l'univers des Souls et autres From Software pour créer sa propre identité. Ne pas égaler les maîtres du genre ne fait pas forcément de vous un raté et ici j'ai eu droit à 25 heures de pur plaisir. Elles auraient mérité d'être un peu plus corsées par moment, mais elles ont été grisantes. Si il ne doit pas nécessairement figurer en haut de votre liste de souhaits, The Surge mérite votre attention et je n'ai envie que d'une chose maintenant, c'est mettre mes mains sur sa suite.

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le 11 oct. 2022

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