«Two Dots», pois chiche ?
Ce sont de bien jolies pastilles. Certaines sont rouges, d’autres vertes, bleues, violettes. Il faut relier les pastilles de même couleur. Avec ce concept tout bête, Dots s’était fait remarquer en 2013. Mais l’objectif du jeu était limité : battre son propre score, encore et encore. Heureusement, les pastilles colorées ont pu révéler tout leur potentiel dans un deuxième opus, Two Dots, où on progresse par niveaux à la difficulté croissante. Chaque tableau a manifestement été confectionné avec amour : certains sont de vrais casse-tête, lorsqu’il faut faire disparaître des dizaines de pastilles avec très peu de coups à jouer, et d’autres relâchent la pression dans des mises en scène originales (comme ce labyrinthe à la Pac-Man). Pastilles gelées et pastilles en feu viennent pimenter la partie, sur une musique d’ambiance très cosy.
En gros, Two Dots combine le plaisir simple d’éliminer des lignes comme dans Tetris et une nécessaire stratégie d’anticipation que connaissent bien les adeptes de Candy Crush, pour prévoir plusieurs combinaisons à l’avance. Sorti en mai 2014 sur iPhone, et enfin arrivé sur Android en novembre, le jeu s’applique depuis à bichonner ses joueurs en les abreuvant régulièrement de nouveaux niveaux. Mêmes les daltoniens sont les bienvenus.