Au lancement, j’ai eu une grosse frayeur : FSR et FG ne marchaient pas, et j’étais prêt à laisser une note négative. Heureusement, le patch Day One est venu exterminer ces bugs avant que ça ne tourne au cauchemar. Malgré tout, il faut avouer que mettre une nouvelle couche de peinture graphique ne justifie pas les 70€ demandés. À part pour les masochistes, sûrement ?
Comparé au roi des remakes, Resident Evil 4, Until Dawn Remake fait pâle figure. Rien de neuf, l’histoire est inchangée (et toujours excellente), mais franchement, l’original aurait suffi.
J’ai pris plaisir à le refaire pendant 10 heures, dont une bonne heure juste pour ajuster les paramètres graphiques. Eh oui, on est sur une optimisation en dent de scie avec des framedrops, surtout dans le sanatorium qui, ironiquement, reste l’endroit le plus malade.