Nous nous reverrons bientôt, mortel.
Pendant que les parents jouent à Caesar III, les enfants jouent au Maître de l'Olympe.
Voilà, ça fonctionnait comme ça. En plus, le launcher faisait une super voix qui permettait d'ouvrir et de clore les discussion téléphonique avec tes potes de façon classe. A condition d'habiter sur le mont Olympe en Grèce.
Basé sur le même principe que Caesar, les maître de l'Olympe Zeus est beaucoup plus simple à gérer car les éléments sont plus gros, les maps moins grandes et quelques options permettent de mieux gérer où vont se balader tes personnages arrivent dès le début, demandant moins à réfléchir à la manière dont tu vas poser tes bâtiments. Les citoyens semblent également bien moins demandant dans ce jeu que l'autre, les rendre heureux est assez facile.
Chaque animation des bâtiments est à but humoristique si bien qu'on se prends parfois à sourire tandis qu'on clique sur un bâtiment. Les Dieux sont des manifestions personnifiés qui viennent mettre le barouf sous prétexte de jalousie et les monstres mythologiques ont tendance à pulluler dans les régions où -justement- vous vouliez construire une cité. Quel plaisir de cliquer sur vos citoyens pour savoir comment chacune des profession réagit à la présence de la gorgone qui vient se faire couper les tiffs dans la ville même si en général cela donne surtout : "AAAAAAHHHH !". Il y en a de plus originaux.
Un jeu vraiment sympathique dont je resterais à jamais secrètement amoureuse.