2023 : jeux vidéo

Annotation :

La scène compétitive continue d'évoluer. Je suis frustré de ne pas avoir de connexion internet suffisamment décente pour jouer en ligne mais c'est ptêt pas plus mal.

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Quelques sessions de plusieurs heures par-ci par-là. Des avancées, un perso que j'avais peu joué approfondi, .... Toujours aussi dangereux ce jeu.

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Replongé dedans quelques heures. Nostalgie. Critique pondue sur un autre blog.

Faudra que je retouche celle de Burnout Paradise, j'étais injuste dans mes attentes du jeu lorsque j'y ai joué. Ça n'empêche pas que ce jeu ne me convient pas, mais je comprends mieux la raison d'être de certains choix qui m'ont déplu.

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Replongé dedans aussi. Critique à venir un jour.

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Testé. Gameplay prometteur. Affaire à suivre.

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Testé vite fait. Faut que je m'habitue aux contrôles et au fov restreint.

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Damn.

Jeu de soirée vraiment fun. Joué avec Maratz et Oriane. Hilarant.

Manque peut-être un mode de jeu ou deux supplémentaires.

Mais on relancera ce jeu de temps à autre, c'est sûr.

Si vous cherchez un jeu à jouer à 3-4 pour la soirée (2 c'est sympa aussi, mais le choix de jeux à votre disposition est plus large), regarder le trailer de Buissons, et si vous n'êtes pas rebuté(e), moi je dis foncez.

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Essayé vite fait. J'aurai beaucoup de bonnes choses à dire dessus, mais des amis y ayant passé quelques centaines d'heures le feront mieux que moi.

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Démarré en coop avec un ami, très agréable, profond, plein d'interactions, un univers bien ficelé, tout pour lui ce jeu.

Le système de combat me plaît beaucoup, l'univers se démarque un peu, le déroulement des évènements est suffisamment permissif et souple pour gérer un tas d'interactions possibles selon les persos et la coop, ...

Il est possible de jouer tout le temps ensemble comme il est possible de se séparer et de résoudre des quêtes chacun dans son coin pendant des heures pour se retrouver de temps à autre. La caméra se scinde quand les joueurs s'éloignent l'un de l'autre, et fusionne quand ils sont à proximité.

Bref, si le tour par tour ne vous rebute pas, ni l'idée de se lancer une centaine d'heure dans un truc qui demande de lire un peu de texte quand même (intégralement doublé, cela dit), ce jeu pourrait vous plaire. Les possibilités de build sont immenses, et la "replay value" est conséquente. Mon ami a dû le finir 3-4 fois, ce jeu, et découvre quand même tout un tas de nouvelles choses lors de notre run coop.

Ptêt qu'on fera Baldur's Gate 3 derrière tiens. Même studio, mécaniques semblables.

Annotation :

En coop en très bonne compagnie c'est pas mal. Ça a vieilli un peu mais nettement moins que d'autres fps de l'époque, et l'univers a un truc.

Annotation :

Testé une heure ou deux. Un platformer dans lequel on ne peut pas sauter. Le gameplay est bien fichu.

Tout repose dessus, et c'est fluide, facile à prendre en main, sans pour autant être trivial à maîtriser. J'adore la bouille et les réactions du serpent aussi, je pensais pas que ce serait aussi important mais ça l'est. Il donne la sensation d'être vivant et réactif aux maladresses du joueur.

Après, c'est de la collectionnite plus ou moins aiguë. Je sais pas si j'aurais la patience d'y jouer de bout en bout. Mais ce jeu se démarque, c'est certain.

Annotation :

Ni porno, ni culinaire, un jeu de puzzle pas super intéressant avec des poissons qui parlent tout le temps avec des voix agaçantes.

Affaire pas à suivre.

Annotation :

Regardé Maratz y jouer.

Un peu la flemme d'en parler, enfin, d'en écrire. Je recommande pas d'y jouer, c'était longuet.

Annotation :

Les russes ont pris d'assaut NYC dans une réalité alternative où la guerre froide est devenue les US vs un monde communiste.

Evidemment, pas d'internet, pas de smartphones, pas de drones, on est dans de la guerilla à l'ancienne. Caché dans les égouts, on planifie et exécute la libération progressive de différentes parties de la ville.

Difficile de croire que les russes n'ont pas idée de jeter un œil aux égouts et que leurs services de renseignement sont aussi pathétiques, mais je n'ai pas encore fini le jeu, loin de là.

En tout cas, les allers-retours via les égouts entre les différentes zones de combat donnent une certaine sensation de continuité et de progression assez naturelle dans le conflit.

Quelques autres idées contribuent à rendre le jeu animé. Le joueur est épaulé d'une petite escouade allant jusqu'à douze bonshommes auxquels on peut donner quelques ordres sommaires. Un peu différent de la situation du héros à la con (ou héroïne, les derniers jeux Lara Croft ne sont pas en reste) qui va aligner 200 gugusses une main dans le froc.

Bon, ça reste stupidement patriotique, et souvent absurde, hein. On hisse un drapeau sur un bâtiment et paf, c'est bon, libéré. Peu importe qu'il y ait 20 gugusses encore en train de patrouiller en bas et qu'on n'est que trois sur le toit, et peu importe que les russes dans les quartiers alentour semblent se foutre du vacarme des échanges de balles. Muh aMUHrica woooooooOOOooo.

Edit : cf critique
https://www.senscritique.com/jeuvideo/freedom_fighters/critique/42010688

Annotation :

Démarré chez des amis, pas fini. Atmosphère et mécaniques très réussis, dans l'ensemble.

Dur de trop en dire sans spoiler. Ça vaut le coup se se lancer dedans à l'aveugle.

Graphiquement, le style noir/blanc 1-bit en jette dès les premières secondes, mais le jeu présente aussi plusieurs scènes vraiment impressionnantes et marquantes. La musique et ses cuivres accentuent le côté dramatique. Bref, le jeu a de l'impact là où je ne m'attendais à rien, et son atmosphère prend particulièrement aux tripes. Ma phase de découverte était empreinte de moments où j'étais un peu éberlué par ce que je voyais. C'est pas souvent, dans le jeu vidéo, et l'aspect figé et inattendu de certaines scènes y contribue beaucoup, outre l'ambiance graphique/sonore.

Côté mécaniques, le système est fichu de sorte à être souple sans être exploitable, permettre d'avancer et de se rendre compte de ses erreurs sans, là non plus, qu'on puisse trop gruger. Rien d'abscons, de l'aide cachée bienveillante mais ni pédante ni infantilisante.
Naviguer dans l'UI, élément très important pour ce type de jeu, est fluide une fois qu'on comprebd les raccourcis. C'est imparfait, mais bien mieux bricolé que la plupart des jeux d'enquête et point'n'click à mes yeux.

Et quant à l'histoire... je n'ai pas tout les éléments encore, mais j'apprécie beaucoup la façon organique dont on bricole une théorie (pas toujours possible dans un p'n'c avec la façon dont les histoires se déroulent) qu'on réévalue au fil des découvertes.

Et j'ai fort envie de découvrir la suite.

Edit : fini, intéressant à plein d'égards.

Annotation :

Du grind, des sacs à PVs, une map pas si ouverte que ça, meh.

L'ambiance et l'humour sont moins présents à deux, c'est pas le style de jeu où on s'arrête pour écouter les pnjs en coop.

En gros, pas la foi de continuer.

Annotation :

Très joli, très bourrin, très limité dans le gameplay. Relativement quelconque. Dispensable question histoire.

Flemme de le continuer.

Annotation :

Woof woof woof zzz woof bark bark hacking woof.

Des passages très drôles au début parce que la manette wii u que j'utilisais déconnait un peu et faisait que je conduisais comme un manche à balai. En plus, j'arrêtais pas de confondre x et y sur cette manette et m'éjecter de la bagnole et faire d'autres conneries involontairement.

Hilarité accidentelle mise à part, j'ai du mal à prendre le jeu au sérieux quand le protagoniste qui passe son temps à pirater tous les smartphones des passants déplore le fait qu'une grosse structure utilise des données personnelles de citoyens... t'exploite la même information, bonhomme.

Pareil, après avoir roulé sur la moitié de la ville impunément (alors qu'il y a des séquences avec les flics à plusieurs moments) en conduisant comme un abruti avec deux mains gauches et une manette défectueuse, j'ai du mal à prendre au sérieux le protagoniste qui déplore le risque de dommages collatéraux ou chais pas trop quoi. L'histoire avait l'air de se casser la gueule ou d'aller nulle part assez rapidement, et le perso principal est relativement insipide.

En fait ouais, à part quelques éléments de contexte et des effets de caméra intéressants, insipide résume très bien ce aaa à mes yeux...

Open world whatever, même structure bancale que the Crew, mais the Crew avait moyen d'occuper quelques heures sans paraître trop creux, c'était un vrai jeu quoi. Et mêmes soucis que Burnout Paradise dans le sens où l'open-world est plus un menu dans lequel les missions font l'équivalent d'un changement de mode de jeu, sans aucune continuité et cohérence... ludo narrative dissonance cognitive vide de sens trucmuche

Annotation :

Comme Buissons, excellent jeu de soirée en bonne compagnie, bien drôle

Annotation :

Fait le 1er monde, je n'y toucherai plus. C'est pataud, lent, facile, un peu vide comme beaucouo de jeux mario récents, et on s'empresse de me récompenser au moindre saut pas complètement raté.

Je ne suis pas le public visé. Je trouve ça sans intérêt, mais peut-être pas néfaste comme Odyssey.