Anticonformisme léger

Annotation :

Je vois déjà les piques se tourner vers moi et les accusations de "fake geek girl" fuser. Ce qui se passe, c'est que j'y ai joué sur PC. Le portage est absolument minable et bourré de bugs. Je crois que ça m'a vaccinée à vie.

Annotation :

Abzû, c'est une plongée sous-marine qui se transforme en sortie pour voir l'aquarium du coin. C'est linéaire, pas très diversifié et les décors en plastique te font regretter ton canapé chaud.

Annotation :

On vous fait ici la promesse du fleuron, splendide alchimie à l'équilibre entre un Touhou et un Devil May Cry. Mais voilà, avant, vous devez regarder une cinématique moche et mal écrite. Vous faites l'effort. Tout ça pour finalement tomber sur une vieille boîte de pâté en conserve.

Annotation :

Malgré un attachement tout particulier pour la série, une séance d'infiltration très mal pensée, très frustrante et surtout très tôt dans le jeu l'a vite fait retourner dans sa boîte.

Annotation :

Il paraît que ce qui est plaisant ici, c'est la configuration de l'IA de ses compères pendant les combats. Eh bien pour ma part, quitte à mettre pause toutes les cinq secondes, je préfère autant regarder un DVD rayé.

Annotation :

Parmi les difficultés possibles lorsque j'ai commencé le jeu, j'ai pris la plus haute. Quand bien même, et sans exagérer, marteler le clic droit tout en restant volontairement dans les AoE du début à la fin du jeu n'a pas suffit à me tuer. Peut-on mourir ?
(Et me parlez pas des niveaux de parangon ou de l'extension, un jeu devrait être amusant à sa sortie, pas 10 patchs plus tard et une fois qu'on l'a déjà fini)

Annotation :

Au-delà de son aspect visuel parfaitement réussi, Cuphead ne renouvellera pas le genre tant il peine à se renouveler lui-même au fur et à mesure de sa progression.