En 2019 je lus

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Définition et explication du Wabi-sabi, assez simple.
Sobriété de l'ouvrage, très facile d'accès. La suite "Wabi-Sabi, pour aller plus loin" répète un peu la même chose en ajoutant quelques petits éclaircissements.
+ 1000 pour la couverture !

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Suite de Wabi-sabi...
Il le complète, mais n'est pas non plus indispensable.
On a cependant le plaisir de l'avoir à cause des couvertures !

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Des histoires courtes, souvent politiques, parfois absurdes.
Belle maîtrise des dialogues qui frôlent souvent l'improbable.
J'adore de plus en plus les nouvelles & celles-ci sont simples & efficaces.
Beau jeu des dialogues (beaucoup de dialogues d'ailleurs).
- La couve' & la sous-couve' sont très à propos.

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La vie de Maurice, ses amours homosexuels, ses désillusions, etc
Début du livre un peu ennuyeux, maladroit (??) - ça m'a fait penser au livre "les amitiés particulières" pour le côté lourdeau des descriptions d'internat...
Le début entre Maurice & Clive, le personnage de Risley sont expédiés trop vite, mais la seconde partie et les deux dernières pages sont parfaites.

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Des nouvelles qui traitent de Dieu, de la vie après la mort. Il y en a aussi une un brin SF dont le sujet me rappelle énooooorémement le début du "Successeur de Pierre".
"L'Omnibus céleste" & "Royaume Éternel" sont sans doute celles que j'ai préféré.

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Un dictionnaire plutôt sympa pour qui comme moi, a du mal à établir une liste de cinéastes japonais & de films japonais que je voudrais voir.
Et puis bon, une couverture avec un plan d'Ozu, ça ne se refuse pas.

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Un récit assez étonnant avec des pièces qui pop de nulles part, où des gens y disparaissent.
La première partie & la dernière sur les psychologues j'ai moins aimé...

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Un livre plutôt bien, sans pour autant être à la hauteur - selon moi, des éloges qu'il a reçu.
On y suit la vie de Jonas petit gars entre cité/pavillon et de ses "potos", avec lesquels il passe son temps à fumer des bédos et à s'interpeller à grands coups de "wsh gros".
En fait, je trouve le livre hautement prétentieux.

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Dostoïe parle de Paris, des parisiens. Il y a des choses qu'on retrouve encore aujourd'hui, c'est drôle, oui.

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Loin d'être un incontournable pour le cinéphile, ça reste un bouquin bourré d'humour, qu'on adore feuilleter !

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Le livre possède une grosse part de "déjà lu" je trouve, mais le ton de François Theurel est tel, que je ne peux que revoir ses vidéos dans chacun de ses textes.
Sympa à lire donc, donne envie de se caler devant un film et lance quelques pistes pour mieux les regardes.
A mettre entre les mains de vos copains que vous traînez au cinéma !

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Un livre assez craint, mais dont on entend parler touuut le long de son cursus scolaire.
Céline est un grand évocateur d'images, il a ce ton léger et dramatique, la capacité d'incarner ses personnages et à nous faire prendre le temps d'apprécier les déambulations de la vie d'un "pauvre type".

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Joli titre pour 150 pages de branlette intellectuelle servie sous forme d'un journal de bord (ou journal intime, selon).
On enlèvera pas au type qu'il écrit de manière agréable cependant...
(Ps : ça parle de cinéma... son cinéma).

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Troublant, parce que c'est autobiographique et que ça parle du sida. Comment essayer d'être objectif et dire "bof bof" sans se prendre une taulée ?
Pourtant je le dis, j'ai trouvé cette lecture assez laborieuse. Mais voila, Hervé Guibert, Hervé Guibert disent-ils !

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Contrairement à ce que beaucoup disent, je ne pense pas ce livre "indispensable" à qui veut écrire. Stephen King dit des choses dont on est conscient en tant "qu'écrivain" ou "aspirant"... Mais ça reste une gentille tape sur l'épaule, un petit encouragement disons.

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Un livre court (231 pages pour l'édition Robert Laffont) mais qu'il m'a fallu reposer bien souvent, le temps de souffler un bon coup.
Les descriptions sont très fines et décrivent avec justesse la solitude et l'attente de Drogo. Je ne vais pas m’étendre en des mille et mille louanges, mais voici un gros coup de coeur.

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Contente de mieux comprendre le cinéma de Kim Ki-duk, mais le chapitrage du bouquin est assez laborieux, ça passe son temps à répéter les mêmes choses.
Et j'ai pas compris pourquoi le livre switch les photos de N&B à couleurs comme ça, sans que le film de base soit N&B...

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En soi le livre est intéressant, la journée, les rencontres & déambulations de l'écrivain... mais que c'est fade comme récit, comme écriture (ou traduction).
De toute manière, les traductions allemandes j'ai toujours du mal...

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Interview de Philippe Claudel. Il raconte son rapport à la montagne, de son idéalisation à ses montées de jeunesse.
Sympa, sensible, avec quelques textes en références.

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C'est légèrement décevant à côté du désert des Tartares.
Les personnages entrent en scène de façon très... bizarre, avec une description par le stéréotype.... Le final est bien cependant.

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Ce livre c'est une chute libre, le véritable naufrage d'un village.
Y est décrit sur 200 pages la dureté de la vie qui n'offre que peu de joies, les peines, les morts...

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Des descriptions romantiques de déambulations. Au départ je trouvais une certaine beauté là-dedans, mais au bout d'un moment ça devient un peu long, mais looong de l'écouter bavarder comme ça...

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J'aimais le titre et puis je me disais que ça serait un brin sérieux, c'est de la philo pardi !
Au final, je trouve le livre peu passionnant, j'ai beau l'avoir attrapé de ci de là comme on feuillette du Pascal, à aucun moment je n'ai été subjuguée par ce qu'il raconte. Ça répète toujours la même sur 250 pages et ça reste toujours sur le bas côté de la route. J'ai toujours l'effet de pétard mouillé quand je lis son bouquin...

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un brin redondant mais intéressant.
"L'astrophysique nous apprend que le visible n'est, en quelque sorte, que l'écume de ce qui existe." [p.209]

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texte court et poignant sur la condition d'un artiste qui, poussé dans ses retranchements (notamment la faim) est pris d'hallucinations qui font oeuvre (en un sens).
En simple, tu lis Hohl et tu rêves d'une cave et d'un quignon de pain. Joli programme.

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Un livre qui brasse énormément de choses sur Kitano ; de son enfance à maintenant ; son cinéma, ses amitiés et une grosse réflexion sur la société japonaise, sa politique. Au-delà de Kitano on a un portrait assez amer du Japon.
Et le livre se conclut parfaitement avec : « Mais pour tout vous dire, je suis avant tout un japonais comme un autre. »

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Récit d'un homme qui a perdu sa femme, qu'il voit en fantôme dans les traits de sa fille de 21 mois.
Un style élégant et l'envie d'en finir pour cet homme. Ça dénigre Bigard et les gens. Hmm dommage cette vision des jeunes un peu trop trashouille de rave party.

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J'avais adoré le film, j'adore le livre.
Un duel aux confins de l'absurde, qui dure des années.
Frôler la mort c'est saisir en une seconde tout ce qu'on peut perdre.
Et puis... c'est un peu de la bromance non ahah.

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Sous la forme d'un journal à la première personne, la descente douloureuse d'un homme. Peut se lire indépendamment du jardin statuaire et ça, c'est appréciable.
Toujours agréable de retrouver le vocabulaire foisonnant d'Abeille et cette manière d'écrire, finalement si décalée.

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Un livre ma foi ennuyeux, à cause de son côté tout public qui lui fait perdre sa proportion à nous apprendre des choses. Je n'ai rien contre un brin de pédagogie, mais quand la conclusion peut faire office de livre à la place du livre, hm...