En Octobre, c'est Halloween (2017)

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Référence de la comédie d'horreur. Loufoque et jusqu'au boutiste avec des touches foncièrement cartoonesque. Evil dead 1 version Looney tunes en somme. Hilarant.

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Coup de maitre pour le désormais célèbre Bong Joon-ho qui nous livre ici un drame horrifique à la mise en scène inspirée et à l'atmosphère singulière nous faisant presque oublier la piètre qualité numérique de sa créature.

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Trop de blabla plombent cette sequel policière mais les acteurs, les scènes d'horreur, l'éclairage et la réalisation (par l'auteur du livre) sont excellents. Même Friedkin n'avait pas donné autant d'identité à l'escalier de l'affiche. Brad Dourif est magistral.

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Un film minimaliste à la réalisation limite simpliste et pourtant le résultat fascine. Chef d'œuvre de série B ?

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Un (quasi) found footage passable et parfois dérangeant mais rarement convaincant. Dommage.

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Mal écrit mais bien éclairé.

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Des personnages grossiers pour un film emphatique, soporifique et souvent ridicule malgré une atmosphère plaisante ainsi qu'un vrai travail sur l'image et la lumière, uniques atouts de cette œuvre – à mon sens – vide et prétentieuse.

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Une suite pleine de surprises et un tueur à la fois drôle et tout en reliefs.
Un excellent film d'horreur qui ne renouvelle pas le genre mais qui lui fait honneur, ce qui est déjà beaucoup.

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Une comédie sans ambition mais sympathique sur le quotidien des vampires modernes.

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Une curieuse comédie espagnol loufoque et bien conçue.

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Dale Cooper avant Twin Peaks. Un vrai petit bijou à découvrir notamment pour la performance de ses acteurs.

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Un joli film se servant à merveille de ses acteurs au physique hors-norme.
Point de moquerie ou de pitié, les monstres du cirque sont ici les stars et la curiosité morbide du spectateur laisse place peu à peu à une tendresse aveugle.
Un petit bijou du cinéma qui se révèlera trop subversif pour les critiques et le public de l'époque ce qui mettra un terme à la carrière du cinéaste rendu célèbre par son précédent film : Dracula.
Heureusement que le temps fait oublier les apparences.

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Après "Mort sur le grill" et "Evil dead 2", Sam Raimi continu de développer en 1990 son univers fantastique en faisant cette fois passer l'humour et son penchant pour l'imagerie cartoonesque au second plan sans toutefois s'en défaire, les ruptures de ton à base d'effets numériques kitschs, de cadrages penchés malaisants et d'éclairages grossiers et inattendus donnant une identité propre à cette expérimentation cinématographique un brin mutante.

Sa mise en scène singulière et identifiable est encore une fois le grand atout du film porté également par les compositions musicales d'un Danny Elfman décidemment habitué aux villes sombres et enfumées avec "Dick Tracy" sorti la même année et bien sûr "Batman" un an plus tôt.
On retiendra également un grand méchant – certes à des années lumière du Joker iconique de Jack Nicholson mais – qui a pour lui de contrer les motivations du héros en semant le doute dans son esprit (et donc dans le notre, ce qui est le propre d'un super-vilain de comics) et en mettant en évidence le fait que lui-même n'est pas un destructeur mais un constructeur de monde, incarnant donc un paradoxe entre la nécessité de justice et de bien commun dans une société.
Bref, une expérience intéressante et créative à l'image du cinéma de Sam Raimi.

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Un vieux chef d'œuvre qui n'a pas pris une ride porté par des acteurs impliqués. Charmant et inventif.

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Une très bonne surprise pleine d'idées et parfaitement rythmée par le réalisateur des "Charlie's angels" et "Terminator 4". À voir sans hésiter.

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Après l'étonnant "The loved ones", Sean Byrne revient à l'horreur en axant encore une fois le récit sur ses personnages. Un film de bonne facture.

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Sympathique. Vincent Tirel est encore une fois excellent.

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Une surprenante relecture du film de Ishirô Honda nous proposant une créature plus effrayante que jamais pour un budget ridiculement plus petit que celui de Garreth Edwards pour sa version americaine. Loin des séries B et Z bien connues par la bestiole, "Shin Godzilla" s'impose d'emblée comme un must du film de Kaijū. Une vraie réussite.