Films historiques indiens

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L'action se déroule à l'époque de la civilisation de la vallée de l’Indus, au XXIe siècle av. J.-C., dans l'une des plus anciennes villes du monde, Mohenjo Daro.

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4e siècle avt J-C

Le film relate l'affrontement entre Alexandre le Grand (dont Sikandar est le prénom persan) et le roi indien Pûru. Bien sûr Pûru est particulièrement valorisé au contraire d'Alexandre.

Le roi Pûru de Paurava était un dirigeant important dans le sous-continent indien au 4ème siècle avant notre ère. Il a combattu férocement Alexandre le Grand. Selon les rapports grecs, le roi Pûru, blessé mais invaincu, s'est rendu à Alexandre, qui en a fait un satrape (essentiellement un régent grec) avec le contrôle de son propre royaume. Alexander a continué à avancer en Inde, gagnant des régions contrôlées par 15 des rivaux de Pûru et 5 000 villes et villages importants. Il a également fondé deux villes de soldats grecs: Nikaia et Boukephala, le dernier nommé d'après son cheval Bucephalus, mort dans la bataille.
Les troupes de Pûru ont aidé Alexandre à écraser le Kathaïoi, et Porus a obtenu le contrôle d'une grande partie de la région à l'est de son ancien royaume. L'avancée d'Alexandre s'arrêta au royaume de Magadha, et il quitta le sous-continent, laissant Pûru à la tête de la satrapie du Pendjab aussi loin à l'est que les rivières Beas et Sutlej.

Curieusement, son histoire est écrite dans de nombreuses sources grecques (Plutarque, Arrian, Diodore et Ptolémée, entre autres) mais à peine mentionnée dans les sources indiennes, ce qui conduit certains historiens à s'interroger sur la fin «pacifique».

Pûru était l'un des derniers membres de la dynastie des Puru, un clan connu à la fois en Inde et en Iran et qui serait originaire d'Asie centrale. Les familles du clan étaient des membres des Parvatiya ("alpinistes") mentionnés par les écrivains grecs.

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3e siècle avant J-C.

Le film raconte l'ascension romancée d'Asoka (Shahrukh Khan) qui deviendra le plus grand empereur de l'Inde antique, de son amour pour Kaurwaki (Kareena Kapoor), une princesse du Kalinga (aujourd'hui l'Orissa), de la conquête de ce territoire et de sa conversion au bouddhisme devant l'horreur du champ de bataille.

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Prithivîrâja Châhumâna III (1149-1192) est le dernier des grands râja Châhumâna d'Ajmer, le dernier roi hindou de Delhi, célèbre comme le modèle du chevalier rajpoute. Sa vie, ses exploits et sa mort tragique sur le champ de bataille sont le sujet de plusieurs poèmes épiques, dont le plus célèbre est le Prithivîrâjasau écrit par Chand Bardai, le poète de sa cour. C'est sur ce poème que le film s'appuie.

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Humâyûn (Kaboul, 17 mars 1508 - Delhi, 27 janvier 1556), fils de Bâbur et de sa troisième bégum Mahum, est le second empereur moghol.

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Se passe au XVIème siècle lorsque l'Inde était dominée par la dynastie des empereurs musulmans moghols.

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L'histoire légendaire de l'amour impossible de Salim, prince héritier du trône moghol, et d'Anarkali, esclave et danseuse à la cour, au XVIe siècle sous le règne du grand empereur Akbar. Cette histoire n’est attestée par aucune document historique. Elle a donné lieu à de nombreuses adaptations cinématographiques, c’est cette version qui la plus célèbre.

Le contexte historique, le règne d'Akbar réputé pour sa tolérance, permet au réalisateur de mettre en avant les valeurs de coopération et d'amitié entre les communautés en multipliant les scènes au cours desquelles l'empereur musulman prend part aux rites hindous et s'appuie sur des ministres rajpouts. Cependant K. Asif justifie qu'il y a un prix à payer pour quelques-uns, le bonheur du jeune couple, pour le bien du plus grand nombre, la sauvegarde de l'Empire.

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Le film est basé sur la vie du guerrier Maratha, Baji Prabhu Deshpande.

Le film raconte la dernière bataille historique de l'arrière-garde qui a eu lieu le 13 juillet 1660 à un col de montagne à proximité du fort Vishalgad, près de la ville de Kolhapur, Maharashtra, Inde entre le guerrier Maratha Baji Prabhu Deshpande et Siddi Masud du sultanat d'Adilshah, connu comme Bataille de Pavan Khind.

Il s'agit du troisième film d'une série de huit sur l'Empire Maratha. Après Farzand et Fatteshikast, Digpal Lanjekar a annoncé Pawankhind comme un film sur les héros méconnus de Maratha. Il a été suivi par Sher Shivraj. Le film a été un énorme succès commercial et il ets devenu le troisième film marathi le plus rentable de tous les temps et le film marathi le plus rentable de 2022.

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Film historique qui se déroule en 1665. Il raconte les tentatives de Tanaji, chef militaire du Maharashtra, pour reprendre la forteresse de Kondhana prise par l'empereur moghol Aurangzeb plusieurs années auparavant (1647).

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Tanaji Kaloji Malusare était un commandant militaire de l’empire Marathe et un compagnon de Shivaji. Un poète local, Tulsidas, a décrit les exploits et le sacrifice de sa vie lors de la bataille de Sinhagad. Tanaji est devenu une figure populaire du folklore indien. Cette bataille eu lieu en 1670 contre les moghols, le fort resta dans l’empire Marathe jusqu'en 1689.

Sinhagad, qui signifie Fort du Lion est une forteresse située à environ 30 km au sud-ouest de Pune dans le Maharashtra, en Inde.

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Film historique d'animation punjabi qui a pour sujet la mort héroïque des jeunes fils sikhs du 10e gourou sikh Guru Gobind Singh Ji : Sahibzada Ajit Singh, Jujhar Singh, Zorawar Singh et Fateh Singh en 1704. Les deux aînés moururent sur le champ de bataille. Les deux cadets furent emmurés vivant pour avoir refusé d'adopter la religion que le souverain moghol de Sirhind voulait leur imposer.

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L'histoire du film relate librement la vie du peshwa Bajirao I (début du XVIIIe siècle) qui, tout en luttant contre l'empire moghol, est déchiré entre l'amour passionné qu'il porte à sa maîtresse musulmane, Mastani, et l'affection qu'il porte à son épouse, Kashi.

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Récit de la troisième bataille de Panipat. Elle eu lieu le 14 janvier 1761 à Panipat (État d’Haryana, Inde), située 98 km au nord de Delhi. La bataille opposa les forces expéditionnaires des Marathes, soutenues par les Français, à la cavalerie légère des Afghans dirigés par l'empereur Ahmad Shâh Durrani, se terminant par la défaite de l'armée marathe.

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L’histoire est fictive mais elle se met en scène la période où la compagnie des Indes régnait sur l’Inde. Elle commence en 1795 et continue en 1806.

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Le film rapporte l'événement déclencheur de la révolte des cipayes (1857), soldats hindous et musulmans combattant pour les britanniques. Elle est considérée par les indiens comme la première guerre d'indépendance.

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Lakshmî Bai née le 19 novembre 1828 à Varanasi et morte le 18 juin 1858 à Gwâlior, maharani de la principauté de Jhansi en Inde du nord.

Refusant de renoncer à son royaume, Lakshmî Bâî rassemble en pleine révolte des cipayes une armée de volontaires forte de 14 000 femmes et fait améliorer les défenses de la ville qui est attaquée par les Britanniques le 25 mars 1858. La bataille de Jhansi est féroce, hommes et femmes participent à repousser les assiégeants et la rani elle-même mène ses troupes pour la défense de la ville qui finit par tomber, après deux semaines de siège.

Elle est devenue un symbole de la résistance à la colonisation britannique.

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« - La dernière fois, vous m’avez défié, je me suis fait la promesse de vous expulser de ce palais. Le jour est arrivé. Vous allez incliner votre tête et partir. Plus de trône, plus de bijoux, plus de palais. Plus rien !
- Sir Gordon. Nous sommes en Inde. Qui est capable de renoncer aux biens de ce monde, est le véritable vainqueur. Ce n’est pas ce trône qui fait de moi une Reine, mais c’est l’amour et la foi du peuple Jhansi. »

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Maurh est basé sur la vie de Jeon et Kishna Maurh, qui se sont soulevés contre l'oppression des Britanniques et des zamindars dans le Pendjab avant la partition. L’histoire prend place entre entre 1885 et 1893

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Le film raconte l'histoire véridique de la bataille de Saragarhi qui vit s'affronter 21 soldats Sikhs de l’armée indienne britannique et 10000 Pachtounes.
Cette bataille qui s'est déroulée le 12 septembre 1897 est inscrite dans la liste des « huit histoires de bravoure collective dans l'histoire de l'humanité » réunie par l'UNESCO,

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Histoire du combat de Lokmanya Bal Gangadhar Tilak (1856-1920) qui milita pour l’indépendance de l’Inde. Entre autres, il lutta contre l'imposition en Inde du système scolaire occidental qui faisait perdre aux jeunes Indiens leurs repères culturels. Il fut emprisonné de 1908 à 1914. Ce film rend hommage à cette grande figure marathe.

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1920.
RRR est un film de fiction réunissant deux figures grandes figures historiques qui ont combattu pour l’indépendance en Inde : Komaram Bheem et Alluri Sitarama Raju qui ont tous deux lutté pour les Adivasis, tribus autochtones des forêts de l’Inde opprimés par les Britanniques qui voulaient contrôler les forêts à leur avantage.

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Le film raconte la révolution contre les anglais menée par Mastarda Surya Sen avec quelques hommes, quelques femmes et un groupe d'adolescent. Le 18 avril 1930, ils ont attaqué des points stratégiques à Chittagong. Beaucoup d'entre eux sont morts. Surya Sen a été condamné à la pendaison. Leur exemple a déclenché une vague de rébellion contre les anglais dans le pays. Quelques années plus tard l'Inde obtenait son indépendance.
Le film se base sur le livre Do And Die : The Chittagong Uprising 1930-34 de Manini Chatterjee. Le livre lui-même s'appuie sur le témoignage de ceux qui ont participé à cette révolution et qui y ont survécu.

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Le film explore les diverses hypothèses autour de la mort ou disparition de Netaji Subhas (1897-1945), figure de proue de l'indépendantisme indien.

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Production britannico-indienne.

La partition de l'Inde

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L'intrigue se déroule durant la violente période de l'indépendance en Inde.
La part la plus importante du film, constituée d'un long flash-back, se déroule entre le 16 août 1946, où Muhammad Ali Jinnah lance la journée d'action directe et le 30 janvier 1948 où Gandhi est tué par un extrémiste hindou, alors qu'il se rend à une prière.

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Film de romance qui s'inscrit dans le contexte historique de la partition de l'Inde (1947) quand les britanniques rendirent au pays son indépendance après 3 siècles de colonisation. Un pays fut créé pour les musulmans: le Pakistan tandis que l'Inde demeurait majoritairement hindoue.

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L’intrigue est fictive mais elle prend place dans le contexte historique de la partition de l’Hindoustant en 1947 qui a entraîné des vagues de violence meurtrière et le déplacement de millions de personnes.

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Biopic sur Atal Bihari Vajpayee, trois fois premier ministre. Il a participé à la formation du Bharatiya Janata Party (BJP), l'un des deux principaux partis politiques indiens, il s'agit d'un parti d'extrême droite nationaliste hindou.
A travers ce biopic divers événements sont abordé, notamment: les tensions avec le Cachemire dans les années 50, la guerre de Kargil avec le Pakistan (1999) et les essais nucléaires de Pokhran (1998)

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L’histoire s’inscrit dans les années 80 durant lesquelles des violences secouent le Pendjab : des nationalistes et activistes sikhs luttent pour la création d'un État indépendant, appelé Khalistan.

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L'opération Bluestar a été menée entre le 1er et le 10 juin 1984. Elle avait pour but d'éliminer les Sikhs séparatistes du Temple d'Or à Amritsar, ville du Penjab dans le nord du pays. Les insurgés, menés par Jarnail Singh Bhindranwale, étaient accusés d'avoir entreposé des armes dans ce temple, qui est le plus sacré de la religion sikhe. Les Sikhs ont été traumatisés par la destruction de ce lieu saint.

Le film se déroule dans le quartier de Trilokpuri, à l'est de Delhi, et décrit une période de trois jours qui a immédiatement suivi l'assassinat du Premier ministre Indira Gandhi le 31 octobre 1984, quatre mois après l'opération Blue Star. Dans le film, les histoires des personnages fictifs se concentrent sur les émeutes anti-sikhs de 1984.

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Le film rapporte le drame des Pandits hindous du Cachemire en 1990. Perçus comme des représentants de la présence indienne, ils ont eu le choix entre : se convertir à l’Islam, quitter le Cachemire ou être tués. Les hommes qui choisissaient de quitter le Cachemire devaient laisser leurs femmes derrière eux. Le film se base sur les témoignages de ceux qui ont connu cette période.