Gaming 2023 - Liste commentée -

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04/01/23

Incroyablement beau, et le dialogue musique image marche vraiment bien. Je l'ai fait la plupart du temps en nomade sur la switch avec casque et c'était très envoûtant. Plus grosse claque encore lors du dernier segment que j'ai mis sur la TV, où c'était littéralement un wallpaper de chaque instant.
Mais après.. bah c'était pas touchant pour un sou. J'avais déjà un peu ce sentiment qu'au fond le jeu n'avait pas vraiment grand chose à dire, mais l'écoute de l'épisode qui lui est consacré de Fin du Game a fini par m'en persuader. J'ai vraiment eu ce sentiment qu'il y avait cette idée de faire un truc joli à parcourir et puis c'est tout. Quasi aucune réflexion sur les possibilités qu'offrent le média jv pour conter des histoires. Après pour la toute petite durée de vie ça vaut tout de même le coup d’œil, surtout qu'il est souvent en promo j'ai l'impression.

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14/01/23

Terminé en mode normal. Un peu sur ma faim pour l'instant. Le concept est cool, l'histoire se suivait bien, mais c'était clairement trop facile. Pour le peu que j'en ai vu le jeu semble bien plus se dévoiler lors de son mode difficile. Je donnerai vraiment mon avis à ce moment-là.

16/01/23

Critique en ligne : https://www.senscritique.com/jeuvideo/katana_zero/critique/280435412

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20/01/23

On commence donc par ce Shovel of Hope. Une expérience courte, mais plaisante. J'ai accroché à l'univers, et il y a une bonne courbe de difficulté. Aussi, le gameplay passe bien. En même temps j'avais adoré Duck Tales, donc rebondir sur des trucs ça me parle. Cela-dit, j'ai un peu souvent eu l'impression de récupérer de la tune sans trop savoir quoi en faire. Surtout passé un certain niveau de vie, et une fois qu'on a trouvé l'armure et l'amélioration d'arme qui nous convient (je n'ai quasi pas utilisé d'items, le jeu aurait été trop facile sinon). Récupérer toutes les partitions, ainsi que le new game +, ne m'a pas trop emballé. Les défis sont vraiment cools cela-dit. J'ai pris plaisir à les faire.

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23/01/23

Tellement plus punchy que le Shovel Knight classique, c'en est bluffant. Le personnage est ultra agréable à contrôler, et c'est un véritable plaisir de parcourir les niveaux et ost revisités. Par contre, déjà que Shovel of Hope était pas bien compliqué, là c'est une promenade de santé. Peut-être que c'est parce que le défi optionnel de la tour à grimper m'a suffisamment rodé, mais je suis vraiment mort très peu de fois durant ma run comparativement à SOH. Je vais zapper Plague of Shadows je pense. Refaire les mêmes niveaux mais avec un perso différent me donne 0 envie. Curieux de terminer cette compilation avec King of Cards cela-dit.

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05/02/01

Le jeu de base était déjà très efficace et propre dans son exécution, mais c'est vraiment avec ses DLC qu'on voit tout le talent que Yacht Club Games avait encore sous le pied. Énorme coup de cœur pour Specter of Torment qui tranche comme jamais avec l'inertie propre à Shovel Knight, avec pour le coup un gameplay ultra dynamique et souvent jouissif. Je suis passé à côté de Plague of Shadows, qui semblait plus être une première tentative de DLC qu'autre chose au vu de sa pauvreté. Pour King's Knight, j'ai dû pousser jusqu'à la moitié à peu près, mais comme j'avais enchaîné les DLC il y avait un sentiment de trop plein. De ce que j'avais pu en voir, ça m'avait l'air d'être tout aussi solide et inventif que le reste.

En bref, 40 boules qui valent totalement l'investissement. C'est riche, très riche. Coup de cœur pour les défis, qui valent clairement le détour. Surtout si, comme moi, on avait initialement un peu boudé les objets.

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05/02/23

Complètement abandonné en cours de route. De très loin le FF ayant le plus mal vieilli que j'ai pu faire jusqu'à présent. J'avais tout de même eu envie d'y jeter un coup d’œil, histoire de voir si la magie allait prendre, comme pour le 9 et le 10, mais non. Grosses difficultés à accrocher aux personnages, l'univers a l'air intriguant mais le scénario ne m'a pas plus accroché que ça, le système de combat m'a semblé étonnamment pauvre... Tout le début à Midgar était suffisamment rythmé pour que je reste accroché (même les 300 000 étages de la tour, les énigmes étaient amusantes), mais dès qu'on arrive sur la mappemonde... berk. J'ai pas poussé plus loin que le dirigeable. Mention honorable tout de même, car clairement le jeu semble vraiment être inventif dans l'enchaînement de ses séquences. Elles se renouvellent bien. Il y a même un côté humoristique lancinant qui sait fait sourire (ce à quoi je ne m'attendais vraiment pas), même si on est à des années lumières des tranches de rire que m'avait procuré le IX. Le reboot m'intéresse déjà plus.

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05/02/23

Abandon. Clairement, si P5 est le plus abouti dans son esthétique et accessibilité, P4 dans son scénario, P3 tape un peu à côté partout. Même après une bonne quinzaine d'heures, il n'y a toujours rien qui décolle. Un soupçon d'intrigue, tout au plus. Aussi, il n'y a pas de Social Link dédié pour chaque membre de notre crew. Certain-es disent que ça donne un côté plus réaliste à P3 à l'inverse de 4 et du 5, sous couvert qu'ils s'agiraient juste de no name réunis pour une seule cause, mais sans affinités particulières. Perso j'ai juste trouvé que ça participait à les rendre affreusement creux. Pour les autres SL, certains sont plus attachants que d'autres (j'ai beaucoup aimé les interactions avec la joueuse de MMO par exemple), mais aucune ne décolle vraiment. Et tout l'aspect combat... bah c'est du Persona on ne peut plus classique, mais couplé au système de donjon le plus chiant du monde. Le Tartarus est soporifique au possible (génération aléatoire des étages). J'ai vraiment vécu le fait de m'y rendre comme une tâche ingrate. Du coup, un 5, parce que le jeu a tout de même une ambiance, et qu'il est épuré de tout le côté verbeux, bas de plafond, et horriblement edgy du 5. Je regarderai un walktrough, histoire de check si le scénario décolle à un moment.

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12/02/23

Une éternité que je n'avais pas fait une campagne solo d'un COD. La recette est inchangée depuis à minima COD 4 : du pop corn, et un semblant de scénario. Sauf que les épisodes post BO1 m'avaient un peu trop perdu. WWII au contraire, de par son ancrage historique, m'a fait au contraire renouer avec les épisodes sur PS2. Ceux avec lesquels j'ai grandit. Et c'était plutôt pas mal au final. Bon on s'en cogne total de l'histoire. C'est plat, fait avec les gros sabots : aucune once de surprise à l'horizon. Mais les phases de gameplay parviennent mine de rien à toujours procurer leur petite dose d'adrénaline, de nouveauté. Ça se renouvelle bien. Et au final, heure après heure, on se prend plutôt bien au jeu. Rien de révolutionnaire, on s'entend. Mais c'est efficace. Et puis c'est beau aussi quoi. PS4 okay, mais sur un grand écran, si tant est que l'on ne lorgne pas trop de près sur les textures, ça souffle bien sur les mirettes.

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19/02/2023

Petite envie Sims ces derniers jours. Ça tombe bien, l'édition de base est gratos depuis un an comme ça. J'avais surtout passé du temps sur les 2 à l'époque, donc forcément la myriade de nouvelles options d'interaction et de personnalisation, ça fait toujours un petit quelque chose au début. Après on s'y habitue, la routine s'installe, et on se dit que tout de même, 40 balles pour varier les plaisirs avec le moindre DLC, c'est un poil cher payé.

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19/02/2023

C'était dingue. J'ai passé une petite semaine de vacances incroyable avec ma moitié à enchaîner les tranches de rire grâce à l'acting, l'écriture, les petites subtilités dans les animations, et les moments d'émerveillement face à tant d'inventivité dans le game et level design, et puis surtout, damn, qu'est-ce que c'était riche ! Il y a tant à faire, tant à visiter, tant à expérimenter. J'ai senti un tout petit ventre mou à un moment (les taupes et le jardin un peu), mais tout le reste était ultra stimulant, addictif presque. On avait vraiment du mal à lâcher la manette. Dans son genre, je considère que c'est vraiment une réussite à tous les niveaux. Une super expérience à deux.

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23/02/23

Je n'avais pas encore eu l'occasion jusqu'à présent de me faire une run complète sur la version originale SNES. C'est maintenant chose faite.

Clairement, la version GBA est bien plus accessible : possibilité de save à n'importe quel moment, physique un peu revisitée ; il y a vraiment une inertie particulière à la version SNES qui rend tout un peu plus difficile.

Plus riche aussi, avec tous les mini-jeux rajoutés. Le mode héros débloqué une fois le jeu terminé, où on joue uniquement Diddy sans checkpoint. Un challenge vraiment cool que j'aurais adoré voir sur SNES. La possibilité, encore une fois, de pouvoir save quand on le souhaite sur GBA rendant l'expérience tout de suite plus aisée.

Plus intéressante enfin. L'intérêt des DK, comme beaucoup de jeux de plateforme, étant de viser le fameux 100%. Et le 100% sur SNES donne clairement moins envie que sur GBA. Il n'y a aucun indicateur nous disant si on a trouvé toutes les lettres dans un niveau ni tous les secrets. Et il faut à chaque fois retourner voir Funky Kong pour pouvoir se déplacer rapidement de niveau en niveau, de monde en monde. Ce qui sur GBA est accessible via un menu, quasi dès le début.

Du coup, je pense préférer encore aujourd'hui la version GBA. Même les vies perdent complètement leur intérêt (même si sur SNES on parvient en très peu de temps à faire en boucle le premier level à un très confortable stock de vies). Même aussi s'il y a beaucoup de sons qui ont disparu lors du passage sur GBA, et que clairement, c'est un peu moins beau que l'original, limitations de la GBA oblige. Mais sinon ça reste à ce jour la version ultime de ce jeu de plateforme ouf, qui aura clairement bercé une bonne partie de ma préadolescence. Sa suite le surpassera sur quasi tous les plans, mais encore à ce jour, ce premier opus mérite le détour.

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28/02/23

Critique en ligne : https://www.senscritique.com/jeuvideo/banjo_kazooie/critique/25257737

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26/02/23

J'avais initialement l'envie de rédiger une critique fleuve, mais il y avait trop à dire dessus, donc abandon de la mission. Du coup : juste bluffant. La formule initiée avec Limbo est ici sublimée à tous les niveaux. C'est clairement du travail d'orfèvre. On voit que tout a été pensé dans les moins détails pour arriver à un tout qui se tient, et qui surtout, mérite de se faire d'une traite, histoire de vraiment pleinement vivre l'expérience proposée. Et avec un casque. Surtout avec un casque.