Jeux Vidéo 2018 (avec commentaires)

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Joué en multi.
Ah c'est chaud. On a beau créer tout un jeu d'alcool autour avec des règles improbables qui nous font boire toutes les dix secondes...on s'emmerde quand même. Le rythme du jeu de plateau est lent, le jeu se répète sans cesse d'un joueur à l'autre, on peut déclencher les mêmes pièges 4 fois d'affilé avec toujours la même animation de 15 secondes.
Par contre j'avais plutôt un bon souvenir des mini-jeux et j'avoue que c'était aussi la douche froide. C'est basique, peu intéressant, jamais profond mais surtout pas très drôle au final.

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J'y joue régulièrement.
Un jeu de gestion très réussi dans tout ce qu'il entreprend. La partie création est dense, riche, complexe mais demeure accessible et permet de vraiment laissez libre cours à notre imagination pour faire le parc d'attraction de nos rêves. Par contre, n'imaginez pas que ça se fera en une après-midi, ça prend beaucoup de temps et le jeu pousse un peu le joueur à penser ce qui peut sembler être du détail que ce soit dans les décors ou dans les attractions elles-mêmes.
Quant à la partie gestion pure, pas grand-chose à redire de ce côté là non plus. Là aussi, il y a énormément d'éléments à gérer : salaires, entretien du parcs et des attractions, longueur des files d'attente, stands de nourriture,... On peut vite se laisser déborder quand on débute mais les scénarios prédéfinis permettent de se faire la main.
Enfin, tout l’enrobage du jeu, esthétiquement et musicalement, est aussi très agréable.

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Arrêté.
Plus le jeu avance, plus ça manque de précision, notamment dans les combats et surtout face aux boss. Malgré tout, c'est une réelle surprise trop mignonne ! Un mélange de Pikmin et de city builders rafraîchissant et original.
C'est très accessible mais c'est un titre qui réussi à se renouveler avec des nouvelles régions et des nouvelles options à débloquer. C'est souvent rigolo, toujours mignon.
Une excellente surprise.

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Joué en multi.
Après quelques heures sur le jeu, et en relativisant sachant que ce n'est pas la version finale, je dois tout de même admettre que ça ne m'emballe pas du tout.
Mes decks sont pour l'instant très basique et il est certain que ça se complexifie plus sur le long terme, mais au stade où j'en suis, le jeu est quand même très porté sur "Faire des dégâts" et "Accumuler des points". Un peu basique et surtout frustrant quand on sort du mini-jeu de The Witcher 3 qui me paraissait beaucoup plus stratégique, plus porté sur les pièges, le sacrifice et la récupération de cartes,...
Ce n'est pas déplaisant non plus, mais impossible de faire plus de deux parties sans m'ennuyer.

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Terminé.
Du gros gros fanservice un peu mignon, pas mémorable non plus. C'est assez court et ça se découpe en deux partie : une "exploration" qui nous rappelle que ce RE5 n'est pas franchement bien designé et une "action-survie" plus amusante. Cette dernière est même assez stressante et demande une bonne coopération entre les deux joueurs.

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Terminé. Second run.
Plus d'un an après sa sortie initiale, FFXV a changé. Il y a eu des tas de mises à jours, des ajouts, des modifications,... Et ma crainte était de voir un jeu que j'aime, certes imparfait, dénaturé.
Le résultat, c'est beaucoup d'ajouts complètement anecdotiques (la voiture tout terrain, le mode photo) qui ne doivent ni contenter les réfractaires, ni les défenseurs du jeu, c'est curieux. Certaines nouvelles cinématiques sont correctes (pas beaucoup) d'autres sont placées de façon plus maladroites.
Malgré tout, FFXV reste FFXV avec ses défauts et ses qualités et pour moi ça reste un sacré road-trip aux musiques enchanteresses un peu handicapé mais terriblement sincère.

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Terminé.
C'est une heure dans une grotte à regretter le gameplay plus varié de Noctis. Ça n'apporte rien à rien, ni en terme de gameplay, ni en terme d'histoire. Pour résumer, c'est simplement Gladiolus qui veut tester sa force en allant tataner Gilgamesh, voilà.
Allez, ok, le dernier fight est plutôt cool, d'autant plus grâce à la composition de Keiichi Okabe, mais c'est bien la seule musique de qualité de ce dlc.

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Joué en classe.
C'est tout con dans le principe sauf que c'est assez bien écrit pour immédiatement être super drôle, d'autant plus que j'y ai joué aux côtés d'une amie et ça nous a fait la journée.
Le fil rouge et les différents objectifs permettent aussi de faire évoluer les parties sans que cela deviennent trop redondants.
J'imagine que cet épisode n'apporte pas énormément par rapport au premier mais vu que c'est le seul auquel j'ai joué, je peux affirmer que je me suis bien amusé et que c'est une bonne surprise !

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Second run. Arrêté.
Toujours une ambiance charmante, des musiques superbes et une écriture pas inintéressante.
Le truc c'est que, comme à chaque fois que j'essaye de le relancer, je redécouvre arrivé à la moitié, que c'est terriblement redondant. Les phases de gameplay ne se renouvellent pas assez pour un si grand nombre d'enquêtes.
Je pense que j'aurai préféré une enquête qui aurait servi de fil rouge plutôt qu'une succession comme c'est le cas.

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Terminé.
Wow... C'était génial... De l'ambiance un peu existentialiste, au ton rassurant des menus du jeu en passant par la bande son techno aux tonalités de Vangelis, Celeste est un titre qui déborde d'amour ! Et je pense que tout cet aspect joue énormément dans mon appréciation du jeu.
Sauf que même sans tout ça, Celeste est un bijou de gameplay et de level design. Du genre à renvoyer Super Meat Boy sur le bas côté de la route et pourtant Dieu sait que je l'adore. Mais là, c'est un autre level. C'est d'une intelligence folle, à la fois accessible mais aussi terriblement exigeant sans jamais être frustrant. On s'émerveille à chaque nouveau niveau des mécaniques nouvelles tant elles sont bien dosées et tant la courbe de progression est jouissive.
Et puis la Switch est le support idéal pour savourer l'aventure. A noter tout de même que s'il est très probable que je le relance pour aller collecter quelques fraises et tenter les faces B, je n'ai terminé que l'aventure de base...et j'en suis déjà très heureux.
C'est un vrai coup de cœur, et probablement mon jeu de ce début d'année !

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Terminé.
Ca ressemble à Dissidia, ça s'appelle Dissidia, mais ce n'est pas Dissidia. Et croyez moi si vous aimiez les premiers épisodes PSP, l'arrivée sur PS4 va être rude. Terminé la verticalité des maps, fini les storyline par personnage. Dans le gameplay c'est à la fois plus lourd et plus bordélique (3 vs 3 forcément, d'autant plus quand on invoque).
Et pourtant, il y a quelque chose. Une fois que l'on s'est tapé quelques heures difficiles sur le titre à faire monter de niveau nos alliés (une absurdité) et à accepter la notion de grinding, Dissidia NT se révèle plus fin qu'il n'en a l'air. On s'en sort mieux dans les combats, on apprend à esquiver, à contrer, à profiter le l'IA de nos partenaires,... Je regrette l'ancien système de fight, mais finalement celui-ci n'est pas non plus dénué d'intérêt ou de plaisir. D'autant plus que chaque personnage se manie vraiment différemment, ce qui créer une vraie richesse à la fois dans le gameplay et dans le plaisir de la découverte.
Même le scénario principal, assez court, m'a procuré un certain plaisir. Et pourtant, les combats sont entrecoupés de cinématiques cheap (que ce soit dans la mise en scène, les musiques ou l'écriture) qui ont aussi quelque chose d'adorable. Et ce scénario offre des combats de boss, la encore pas inintéressant. Ca m'a beaucoup rappelé des boss de MMO (FFXIV au hasard), qui se base sur les AOE et notre placement, sauf que tout est dynamique ici. Ce n'est pas parfait, encore une fois à cause de l'aspect bordélique de certains fights, mais j'ai aussi eu beaucoup de plaisir à les faire, surtout que là, l'aspect épique est bien présent.
Bref, Dissidia NT, c'est beaucoup d'abnégation au début, mais ça s'améliore vraiment plus on y joue. Je ne suis quand même pas certain de dépasser la vingtaine d'heures dessus, mais je le relancerai tout de même pour retenter quelques combats en ligne. Loin d'être aussi bon que ce que j'espérais, il demeure un petit plaisir coupable.

Annotation :

Joué en multi.
J'ai eu l'occasion de rejouer à la version Wii U ainsi qu'à la version Switch. Au final, les deux se valent, j'ai pas mal critiqué les ajouts de la Deluxe mais en définitive ça ne change pas le coeur du jeu même en cherchant à rebalancer un peu l'équilibre. Et puis l'aspect portable est vraiment formidable.
Prendre la console un week end, se faire quelques parties dans le lit, confortablement installé, ça n'a pas de prix.

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Relancé pour quelques parties.
En attendant ma réception de Dynasty Warriors 7, je me suis souvenu que je possédais cet épisode et autant, j'avais bien joué au mode où l'on peut jouer son propre personnage, autant je n'ai fait quasiment aucun scénario principal.
C'est toujours plaisant, fluide et assez jouissif mais ça reste un titre qui me laisse assez froid malgré tout. Non seulement, je ne connais pas la grande Histoire ce qui me laisse sur le carreau quand des personnages censés être iconiques apparaissent, mais en plus la narration n'est pas des plus claires.
Au final, (et je ne suis pas sur que ça change avec DW7) c'est aussi un épisode qui me laisse dans l'esprit une image assez terne, à la fois grise et marron qui me déprime un peu. C'est bien pour ça que je place Hyrule Warriors au dessus de tout les autres en terme de muso. Parce qu'en plus d'avoir des mécaniques plus intéressantes, il hérite de l'univers super coloré de Zelda.

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Arrêté.
Le titre est vraiment super mignon, propose une bande son franchement bonne et représente pour moi un bon Metroid-like. Vraiment, il n'y a pas grand chose à redire, les mécaniques sont efficaces, les boss plutôt originaux, et même un scénario sympathique. Seulement, j'en attendais peut-être un peu plus, ce qui est peut-être bête, mais au final, je n'ai eu aucun emballement. Et vu que je l'ai laissé de côté un bon moment au profit d'autres jeux, je ne pense pas le relancer de sitôt.

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Deux parties relancées
La meilleure feature du jeu est vraiment le fait qu'on évolue dans le temps et qu'on voit le marché évoluer de façon assez fidèle. J'ai toujours quelques questionnement sur leur définition dans le développement (design du monde au profit des graphismes ?). Ceci dit, j'ai fait une longue partie jusqu'à la génération PS360, avec quelques hits donc inconsciemment, j'ai du comprendre le raisonnement.

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Joué en multi.
Toujours à deux mais avec quelqu'un qui découvrait le jeu, et c'est toujours extrêmement drôle...et exigeant.
A terme, pour moi qui refaisait les missions, je trouve quand même le concept redondant mais je chipote un peu.

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Terminé (mauvaise fin).
Je n'ai pas bien compris l'intérêt du multijoueur. En mode rivalité, les règles sont absolument absurde et incohérente. En mode histoire, il faut bien souvent se mettre d'accord... Donc au final, autant y jouer en solo, c'est plus rapide.
Pour le reste, c'est jeu narratif basique, sans grand intérêt. Plus proche d'Heavy Rain pour sa trame qui pompe tous les clichés du genre aux téléfilms TF1 mais sans l'ambition. Les embranchements sont bien présents mais j'avoue que même en ayant raté l'enquête, j'ai deviné qui était le "méchant" et j'ai sincèrement la flemme de me retaper les 2h d'aventure... Et puis le fait de jouer sur smartphone, ça supprime le peu d'interactions qu'on pouvait avoir dans le genre, c'est horrible.

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En pause
Non mais oui, je le reprendrais surement un jour...mais bon, rien que le début, ça calme direct tellement c'est bof. Et puis le premier dlc m'a vachement calmé aussi.

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En pause
C'est dingue parce que c'est surement le jeu que j'attendais le plus en ce début d'année et au final, je l'ai rapidement abandonné. Pourtant, c'est bien. C'est même une évolution qui fait du bien à la série. Tout est plus fluide, plus agréable à prendre en main, ça fait honneur à la PS4... Mais je ne sais pas, je n'arrive pas à m'investir dans l'aventure, que ce soit seul ou avec un ami, je n'ai pas eu les frissons que j'ai pu avoir sur le 3 Ultimate...
Je le relancerai tout de même plus tard dans l'année quand j'aurai plus de temps.

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Joué en multi.
Ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas relancé un Soulcalibur...et quel bonheur de constater que je n'ai pas perdu mon amour pour la série. C'est vraiment curieux, c'est un des seuls jeux de combats dans lequel je comprends ce que je fais, et je m'en sors d'ailleurs plutôt pas mal. J'apprécie d'ailleurs toujours autant le casting et utiliser/essayer tous les personnages. Si j'avais le temps, je serai tenté de refaire la campagne.

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Joué en multi.
Toujours de la bombe. Toujours le grand sourire en y jouant. Toujours bordélique et jouissif.
J'y ai un peu plus joué dans les quelques modes coop' (qui sont les mêmes qu'en solo mais à deux) et on a eu beaucoup de plaisir à enchaîner les combat et retrouver cette tonne de personnages funs à jouer.

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Relancé pour quelques courtes parties...
... Le temps de me rappeler que c'est un éditeur extrêmement riche, accessible et complet, qui permet de faire des niveaux vraiment cool. Le temps aussi de me refaire les deux niveaux que j'avais fait à la sortie et dont je suis toujours un peu fier.
J'ai aussi voulu tester les niveaux de Seblecaribou dont un qui m'a fait rager.
Malheureusement, je me suis rapidement souvenu aussi que toutes ces qualités sont noyés sous une couche d'ergonomie foireuse et mal pensée.

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Terminé (3 campagnes sur 4).
Eh c'était pas mal du tout. Je suis loin d'être fan des muso (à part Hyrule Warriors qui a une vraie place dans mon coeur), tous ceux que j'ai fait finisse par me lasser extrêmement rapidement.
Et puis arrive Dynasty Warriors 7, qui dans les faits applique la même formule que les autres à la seule différence près que cet épisode raconte quelques chose, et il le fait plutôt bien.
La vraie force de ce titre est de mettre en avant sa narration, histoire, ses personnages. Il le fait de manière "normale" et même banale face à d'autres jeux, sauf que l'histoire des 3 Royaumes a un grand potentiel dramatique et épique et la mettre un temps soit peu à l'honneur rend toute l'aventure bien plus prenante et forte.
A côté de ça, c'est un muso classique mais efficace. Il manque un peu du punch des épisodes suivants mais en contrepartie, il dispose encore d'une carte et d'objectifs clairs et lisibles.

Annotation :

Terminé.
Fait entièrement en coop' avec la même personne de bout en bout.
C'était franchement sympa. Petite crainte au début, le premier acte étant franchement longuet, et peu intéressant (tant dans l'écriture que dans les interactions). Puis finalement, l'aventure démarre et l'on se retrouve face à un Uncharted 4 en coopération et on se demande pourquoi ça n'a pas été fait plus tôt. L'ambiance est cool, les personnages aussi, l'écriture est remplie de clichés et de stéréotypes du genre, mais c'est fait avec beaucoup de sincérité et surtout une excellente mise en scène. Non seulement on sent une maîtrise des codes du cinéma dans la réalisation mais on trouve aussi de vrais bonnes idées bien exploitées par le média jeu vidéo.
Au final, c'est une très bonne surprise, au rythme maîtrisé, aux situations variées (qui d'ailleurs ne propose de gunfights qu'à la toute fin de l'aventure). On ressent le budget limité et pourtant, c'est une vraie réussite.

Annotation :

Joué en coop'.
Nous sommes vraiment passé par plusieurs mondes arides, désertiques et inintéressant pour en trouver un plus agréable. Du coup, c'était franchement frustrant.
Finalement, j'ai pu fabriquer ma maison avec un peu d'amour et l'aide de ma copine qui a réussi à trouver un peu de plaisir sur le jeu en explorant.
Mais ce n'était pas gagné...

Annotation :

En pause.
C'est étrange parce que toute ma légère progression sur l'aventure était plutôt plaisante. C'est à peu près ce que j'attendais du jeu : un X-com light dans l'univers coloré de Mario.
Et pourtant, je n'arrive pas à le relancer. On verra dans l'avenir.

Après avoir retenté, mon non emballement devient clair. C'est très sympa mais le jeu est beaucoup trop didactique et surtout beaucoup trop simple ce qui fait que malgré toutes ses qualités, on s'ennui quand même sévèrement.

Annotation :

Deux campagnes terminées.
Il y a quelque chose comme 70 ou 80 personnages et autant de campagnes du coup, donc en terme de longévité, ça va c'est plutôt honnête. Les Dynasty Warriors ont toujours été généreux là-dessus.
C'est vraiment intéressant de voir l'ambition qu'a pu avoir ce titre après des années à refaire le même jeu avec très peu d'évolution. Ici c'est radical, DW9 propose la Chine entière en monde ouvert. Et des changements il y en a et en théorie pas des mauvais : le système de quête n'est pas inintéressant, le jeu affiche toujours un grand nombre de soldats à l'écran, on imagine des grandes batailles pour conquérir des forteresses, etc. Sauf que tout, absolument tout est raté. Les conquêtes de forteresse se résument à utiliser le grappin pour escalader et aller tuer directement le boss, le monde est beaucoup trop grand mais surtout inintéressant. Et là on touche au point le plus navrant du jeu : sa partie technique est déplorable. C'est vraiment moche, le clipping est omniprésent, l'aliasing aussi, c’est gris, terne, cheap dans les animations, constamment bugué,... J'aurai pu pardonner tout ça (et encore, en faisant preuve d'énormément d'abnégation), mais au final le jeu est extrêmement redondant et ce, très vite. Surtout que contrairement au 7, cet épisode, ne fait aucun effort de mise en scène et de narration.

Annotation :

Joué en multi.
Petite désillusion quand même.Le jeu est vraiment ultra bordélique, et il n'hésite pas à balancer des tas d'ennemis sur les joueurs qui ont déjà du mal à se repérer. Il y a aussi pas mal de soucis de caméra étant donné qu'elle est fixe.
Bref, mes souvenirs d'enfants sur ce titre restent formidables mais c'est un de ces jeux que l'on ne devrait pas forcément relancer autant d'années après.

Annotation :

Terminé.
C'était un excellent épisode. Mais pas le meilleur.
Les rares quêtes annexes que j'ai faites n'étaient pas géniales et les "grosses" activités sont médiocres (guerres de clans, baseball). Je compte tout de même en faire une bonne partie par la suite.
J'ai donc eu envie de me concentrer uniquement sur l'histoire comme dans les deux premiers sur PS2, sauf qu'après 9 épisodes, on fini quand même par voir les ficelles de la formule. Je dois avouer que tel Kazuma, j'étais fatigué de faire autant de combats.
Malgré tout, l'exploration reste cool, avec les quartiers plus ouverts et plus immersifs que jamais, c'est impressionnant techniquement (et on sent que la PS4 galère). On apprécie le contraste entre la démesure de Kamurocho et le calme d'Onomichi. Et puis en combat, le nouveau moteur physique est super jouissif.
Quant à l'histoire, son ton, ses personnages, son ambiance, c'est simplement un sans faute. C'est prenant, émouvant, drôle,... Les nouveaux personnages réussissent à nous faire oublier les anciens (quasiment totalement absents, le jeu évite simplement le fan-service) et le tout est rythmé par une des meilleures OST de la saga : un pur bonheur.
Je ne sais pas encore où je situe cet épisode dans mon top, mais c'était quand même très beau. Et une magnifique conclusion pour un des meilleurs héros de jeux vidéo.

Annotation :

Relancé en solo et en multi.
J'ai un peu plus avancé dans la campagne principale et elle est rigolote même si ça sent le petit apéritif entre deux modes survie.
Quant à ce dernier, j'y ai surtout joué à deux et c'est beaucoup plus rigolo. Un peu moins exigeant, peut-être moins frustrant aussi. Le concept se prête super bien à la coopération.