Journal JV Edition 2021

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Voilà que se finit l'année sur la suite des aventures de 117, certainement l'une de mes séries préférées mais à la fois une suite de jeux qui compte quelques épisodes qui m'ont extrêmement déçu sur le plan personnel. Infinite est certainement l'épisode le plus important depuis longtemps pour le futur de la franchise. Si il ne réussit pas tout il n'échoue pas non plus. Mais pour mon avis complet je vous conseille la lecture de ma critique ci-dessous :)

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Halo_Infinite/critique/224788445

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Voilà qu'après tout ce temps, j'ai enfin pu m'essayer à Uncharted 4, épilogue d'une série globalement acclamée par les joueurs et la presse dont je ne comprends toujours pas la complaisance à son égard. Pour aller droit au but, je trouve dans l'ensemble la série fortement surcotée et ce quatrième opus ne déroge pas à la règle malheureusement.
Le gap technique et l'ouverture des niveaux n'auront pas changé grand-chose à tout ce que je reprochais déjà à la série.Le gameplay se résumant encore et toujours à des phases d'escalade interminables où l'on passe notre temps à matraquer X bêtement ou à des phases de tirs prenant place dans des "arènes" qu'on devine dès notre arrivée sur les lieux du combat, de part la pauvreté du level design, en bref tout ce qui a de plus vidéoludiquement simpliste et qu'on essaye d'éviter depuis longtemps. Ces phases de tirs restent en plus de cela plutôt répétitives et si l’alternance de l’exploration et le combat à le mérite d'être bien dosé en début d'aventure marquant une amélioration face à ses aînés, Uncharted 4 retombe rapidement dans les travers de la série sur son dernier tiers, se transformant par moment en Gears Of War…
Concernant le scénario, on notera un progrès au niveau de l’écriture des personnages, mais on revient de si loin que je n'ai pas réellement réussi à "m'attacher" à ceux-ci au point que la conclusion ne m'a fait ni chaud ni froid, c'était juste une fin sans émotions dans mon cas. Il convient de ne pas oublier quand même qu'encore et toujours bon nombre de raccourcis scénaristiques sont utilisés ce qui donne vraiment envie de se cogner la tête contre les murs par moment. Je tombe dans une rivière mais ce n'est pas grave car ma femme passait par la au hasard à l'autre bout du monde pour me sauver, ou encore, les PNJ veulent accompagner le joueur vers le dernier niveau mais ne peuvent pas car il y a un mur de pierre de 1,50 mètre entre eux et nous alors qui viennent de gravir quatre montagnes et escalader 20 mètres de corde 10 minutes avant… Vous l'aurez compris ces résolutions plus que ridicules pour faire avancer le scénario m’ont sorti plus d’une fois du jeu.
Bien que Uncharted 4 marque un vrai pas en avant et reste une claque technique incroyable, au final cela ne suffit pas à faire de celui-ci un bon jeu et voir une œuvre comme Uncharted 4 à 8 sur SC m'emmène à me poser des questions. N'hésitez pas expliquer en commentant pour ceux qui auraient considéré ce jeu comme exceptionnel de venir en discuter.

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Il semble s'être écoulé une éternité entre la sortie du troisième épisode et celui-ci et pourtant après plus de 13 ans on a enfin la chance de redécouvrir l'une des plus grandes licences du STR et même si tout n'est pas parfait Age Of Empire 4 représente sans aucun doute un digne héritier à la série. Après plus d'une cinquantaine d'heures essentiellement passées en solitaire dans la campagne et en escarmouche face à l'IA je pense posséder suffisamment de recul et de compréhension pour affirmer s'en me tromper que j'ai passé de très bons moments sur ce AOE 4.
Proposant une campagne longue et variée, d'une grosse vingtaine d'heures, reposant sur 4 moments marquants de l'histoire au travers des civilisations comprenant les Anglais, les Français, les Russes et l'Empire mongol. L'ensemble des campagnes sont mises en scène de manière très intelligente avec une voix off narrant les événements historiques et de superbes cinématiques pour saisir les contextes de lieux et batailles des périodes en question. Le jeu apporte tout un pan éducatif par l'intermédiaire de vidéos éducatives qui sont proposées entre chaque mission sous la forme de courts documentaires sur la fabrication de l'équipement de l'époque ainsi que la culture.
Techniquement AOE4 n’est pas la claque qu'ont pu apporter ses prédécesseurs et si le jeu reste quand même très agréable à regarder et c'est essentiellement pour sa variété bien plus que pour la résolution de ses textures. La force d'AOE4 repose sur les points que nous avons abordés plus haut, sur sa dimension scénarisée, mais aussi par les vraies différences qui s'appliquent à chaque civilisation. Peu de place au re skin de chaque bâtiment ou troupe, nous avons droit à 8 civilisations radicalement différentes visuellement au travers des 4 âges présents. D'autres détails tels que le langage respectif des peuples évoluant au fur et à mesure des âges, la partie sonore réussie que cela soit musicalement ou en matière de bruitages complètent le tableau.
Le gameplay, apporte une nette amélioration sur la façon de jouer chaque faction, jouer les Mongols vous imposera d'être nomades et sans base, jouer les Chinois et vous pourrez construire de grandes murailles rapidement, jouer les Russes et cela vous demandera de travailler la chasse et le bois, les différences s'appliquant à chaque couche des sociétés. Le bilan du quatrième opus est très positif et on espère un mode éditeur de carte rapidement ainsi que de nouvelles campagnes.

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La déception de cette fin d'année.

Mon avis complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Back_4_Blood/critique/237446481

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Pas si simple de trouver les mots après la claque God Of War, se dire que le simple endgame de celui-ci n’est pas loin d'outrepasser certains des autres épisodes de la série, souligne à quel point le studio à parcouru du chemin durant ces 8 années de développement. J’ai simplement été ébloui par le travail de Santa Monica, à ce niveau de réinterprétation de la série, je pense que même le mot reboot est faible.
Il serait facile de commencer par la beauté technique et artistique, mais cela est déjà connu de tous, GOW est à tomber. En termes de polygones certes, mais surtout en termes de direction artistique, on à droit à de superbes interprétations des légendes nordiques et une variété de lieux et décors incroyablement riches. Si sur ce point je m’y attendais en quelque sorte, quand n’est il du choc que j’ai pris pour ce qui est des sensations et de la narration.
De nature à me méfier des blockbusters actuels, GOW réussit tout parfaitement, son histoire s’étalant sur des dizaines d’heures, m’a captivé du début à la fin et l’unique plan séquence de la première à la dernière seconde de l’aventure force le respect. Si un jour au m’aurait dit que la narration est ce que je retiendrai en premier lieu dans un GOW je ne l’aurai pas cru, imaginer le travail accompli par l'équipe de développement donne le vertige. Tout respire le travail millimétré et je ne vois qu'un quasi sans faute.
Bien sûr, en se penchant dessus, on trouvera toujours à redire d’un jeu avec une si grande ambition et taille, comme le gameplay qui peut se heurter à une certaine répétitivité avec le bestiaire rencontré, mais honnêtement est ce que cela dérange sur les presque 50 heures de jeu pour le 100% ? Pas vraiment et cela serait vraiment avoir une dent contre Sony ou les triple A pour ne pas apprécier GOW tel qu’il est. Un excellent jeu proposant une technique irréprochable, un gameplay réinventé solide, un level design intelligent inspiré des plus grands (From Soft), une variété de zones à donner le vertige, une BO superbe et une histoire qui donne simplement envie de vite pouvoir mettre la main sur sa suite.
God Of War 2018 est un très bon jeu et une des plus belles surprises que j’ai eu la chance de faire ces dernières années, il n'y a pas eu de miracle Santa Monica à eu le temps de mûrir le projet pour nous donner une œuvre abouti d'une grandeur à faire pleurer ses aînés et qui frôle le sans fautes, on peut remercier Sony pour la patience et l'argent ? Surement.

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Sans être un grand amateur de la série, j'ai lors de sa sortie sur PS2 un peu joué à l'épisode original, mais sans pousser bien loin l'expérience. Mon dernier vrai contact en date sur la série des God Of War remontait aux épisodes PSP, il y a un peu plus de 10 ans maintenant.
Ayant plutôt apprécié ceux-ci à l'époque, j'avais toujours dans un coin de ma tête la secrète envie de faire les 3 premiers épisodes.
Nous voilà en 2021 et plus de 2 ans après la sortie du reboot nordique de la série, je me suis demandé s'il n'était pas temps avant de justement me lancer dans ce reboot de toucher à la série originale de manière plus sérieuse pour avoir un point comparaison.
Au final, j’aurai sauté directement sur le remaster HD de l'épisode 3 sur PS4.
Cela a été une expérience plutôt très agréable, un vrai tour de force visuel en tout cas pour la PS3 et c'est certainement la mise en scène et le jeu des mouvements de caméra qui m'aura le plus impressionné dans cet épisode. Certains passages lors de combats à grandes échelles sont littéralement à couper le souffle jouant de manière juste et fluide avec les dimensions titanesques de certains boss.
Jongler entre cette mise en scène scriptée tout en n’oubliant pas le gameplay reste un exercice périlleux, mais réussi de la part de Santa Monica. D’ailleurs, celui-ci reste toujours assez atypique dans le monde des BTA, mais n’est pas forcément le plus simple à prendre en main surtout au niveau du système d’esquive et ne fait pas partie du meilleur exemple de variété.
Concernant le rythme du jeu, c’est là ou j’ai eu bien plus du mal avec les phases d'énigmes et puzzles, même si ceux-ci restent peu nombreux, ces phases ont souvent coupé mon élan et mon excitation lors de mes sessions. Il faut croire que Santa Monica ne se sentaient pas à l’aise avec ces phases de calme plat se disant qu’ils devaient bien remplir cela avec des caisses à pousser et des boutons à tourner. C’est dommage, car il y avait moyen de trouver un rythme mieux maîtrisé surtout sur l'équivalent de 6 ou 7 heures de jeu.
Ne boudons pas notre plaisir, l’ensemble reste très solide surtout remis dans le contexte de cette fin d’année 2010 lors de sa sortie, mais dommage qu’ils n’aient pas pris plus de risques et surtout intégré un scénario.
Il est maintenant temps pour moi de passer au reboot de 2018...

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L'avis complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Cloudpunk/critique/233435714

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Quake 1 est de retour aux affaires en 2021, Dimension of the Machine arrive près de 5 ans après Dimension of the Past, une autre extension officielle concoctée par nos amis de MachineGames ( Wolfenstein New Order…) qui personnellement m’a bien déçu par le manque flagrant de travail et d’investissement dans celle-ci paraissant être un simple réagencement des niveaux d’origines qu’une véritable extension.
2021 et pour l’anniversaire de Quake on était en droit d’attendre du contenu pour celui-ci et Dimension of the Machine pointe le bout de fusil.
Cette fois-ci MachineGames ont semble-t-il, au vu du résultat final (spoilers, j’ai aimé), investi du temps et du talent dans cette extension.
Si la base reste très proche de Quake original, c'est-à-dire les ennemis et armes du premier épisode, le reste est cependant remanié de fond en comble.
Les limites techniques inexistantes aujourd'hui concernant la taille des niveaux ainsi que le nombre d’ennemis à l'écran ou sur la carte, on permit à MachineGames de s’en donner à cœur joie.
Oubliez les parties de 5 minutes ici on se rapproche bien plus d’un FPS traditionnel avec une mise en scène et une avancée dans de grands niveaux à l’opposé d’un format arène. En soi Dimension Of the Machine nous laisse une impression de revenir vers une logique de construction proche de ce qu’on pouvait trouver dans des FPS fins 90 débuts 2000, mais cela avec le recul et l'expérience des années jusqu'à aujourd'hui.
Sans crier au génie, je dois bien avouer que j’ai trouvé les différents niveaux présents d’une grande qualité, avec très peu de retour en arrière (backtracking google FYI) et une certaine philosophie des Souls dans les connexions qui peuvent s’établir pour relier les zones d’un même niveau entre elles. Autre point qui mérite de saluer l’effort investi dans ce pack, c’est la volonté de pousser le moteur de Quake sur de nouveaux horizons en matière d'esthétique et d'éclairages.
Pas de recyclage ici, mais un ensemble de plusieurs univers bien distincts et identifiables et de nouvelles inspirations qui ont peu ou pas été abordées jusqu'à aujourd'hui sur la scène officielle de Quake.
Au global, car je souhaite rester court pour ce commentaire Dimension of the Machine est une extension très réussie qui, si elle ne réinvente pas Quake premier du nom, réussi avec la manière son interprétation sur la base du même moteur sans les contraintes de l’époque et renforcé par l'expérience de 25 ans d’histoire du jeu vidéo supplémentaire.

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Ne vous fiez pas à la note SC... il n'y a que 8 notes au total au moment où j'écris ces lignes, plus de 4 ans après la sortie de ce pack et honnêtement celui-ci ne vaut guère plus que la moyenne.

Zéro nouveauté, un Level design bien en deçà du jeu d'origine, un équilibrage à revoir en hard et une fin couloir sans intelligence font que ce pack de mission créé par Machine Games ne possède clairement pas la profondeur de ce que ID avait su produire en 96...

Avec tant de recul et même sous le même moteur il est certain que nous étions en droit d'attendre bien plus, comme on peut le voir avec des œuvres comme Ion Fury.

Place maintenant à Dimension of the Machine et voir si en 2021 ils ont enfin mis du cœur à l'ouvrage.

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La différence majeure entre de pack de mission et le premier ? Le level design qui à vouloir trop en faire devient un peu fouillis et répétitif. De plus les niveaux sont bien trop remplis avec environ 2 fois plus de mobs à certains moments que dans le Quake de base ce qui fait qu'on passe facilement 25 minutes sur un niveau tellement ils sont vastes et déborde de monde.

L'ajout de certains "monstres" comme les épées volantes n'étaient pas réellement nécessaires et la très grande majorité des nouvelles armes se contentent d'être des Skins rouge plus puissantes…

En dehors de cela le challenge est très présent et certains décors sont assez dépaysants vis-à-vis du jeu original et la première extension. Certaines énigmes sont assez excitantes à "déchiffrer" mais comme expliqué plus haut trop souvent exploitées.

En somme un pack de mission qui à vouloir trop en faire se perd un peu et n'apporte pas de vraies nouveautés majeures mais qui dans l'ensemble reste très agréable à faire.

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Mais quelle surprise ! Vous savez ce qu'à quoi j’ai pensé à la fin de cette extension ? J’ai retrouvé la même sensation que lorsque j’avais fini Opposing Force. On ne dépasse pas certes l'épisode original, car cette extension repose quand même beaucoup sur tout ce qui a été créé au sein de Quake, mais on applique ici un filtre qui polit chaque aspect du jeu au point d’en arriver à magnifier une œuvre qui frôlait déjà la perfection et apporter une part dans la réalisation qui dépasse l'épisode original sur de nombreux points.

Tout d’abord j’ai adoré la cohérence visuelle de cette extension qui en plus d'amener quelques nouvelles figures propose une avancée plus construite avec un bestiaire évoluant de manière plus logique avec l'environnement où il se trouve.

De plus, le schéma de répétition à chaque épisode qu’on trouvait dans Quake laisse place ici à une aventure plus linéaire qui monte en puissance tout du long sans un retour à zero toutes les 5 ou 6 missions, j’ai personnellement préféré cette formule.
En plus de cela, la mise en scène avec une mini scénarisation est plus présente ainsi que de nombreux éléments “vivants” dont on peut interagir avec eux.

Le chalenge se retrouve ici plus corsé mais aussi bien plus équilibré, en prenant le temps de fouiller on peut s’en sortir facilement même si les secrets sont parfois un peu tordus à trouver, la récompense est souvent bien utile pour l'avancée du joueur.

L’extension se conclut sur exactement ce qu’il manquait à Quake, un vrai boss et non pas un simple couloir avec des mobs puissants. Sans être mémorable car c’est essentiellement un sac à pv c’est exactement ce que j'espérais comme conclusion.

Quake Scourge of Armagon sortie en 97 est encore un tour de force dans l’univers du FPS que je recommande très chaudement !

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Il est bien impossible de me rappeler exactement quand la première fois, j’ai pu mettre la main sur Quake, la seule chose dont je me souviens, c’est que mon PC de l’époque à l’orée des années 2000 ne faisait pas correctement tourner Half Life premier du nom et c’est aussi pour cela qu'en quête de FPS, je m’étais tourné sur Quake.

N’ayant jamais sérieusement complété le jeu du haut de mes 8/9 ans, cette remise au goût du jour tombe à point nommé au cours d'une année ou j’ai repris goût au Fast FPS par l'intermédiaire de Prodeus et Dusk.

Quake reste toujours une référence au même titre que Doom et j’ai été le premier surpris de voir que plus de 24 ans après, le jeu reste un bonheur à parcourir et n’a pas pris une seule ride, certes le lissage graphique et l’amélioration des commandes de cette version 2021 aidant bien au passage.

Il n'empêche que l’ambiance et le dynamisme qui parcourt cette œuvre aura inspiré des grands noms du JV et y retoucher à notre époque nous donne un aperçu de tout ce qu’il a créé de toutes pièces pour inventer le FPS 3D moderne tel que l’on connaît.

Quake est à mon humble avis une œuvre à absolument faire si un tant soit peu, on s'intéresse à l’histoire du JV et son évolution en particulier en ce qui concerne les jeux de tirs.

Alors bien sûr, sûrement que les limitations de l’époque n’ont pas permis à l'équipe d'apporter toute la variété voulue au niveau des environnements et bestiaires mais qu’importe, car une fois celui-ci lancé il est difficile de lâcher et surtout on a envie d’y revenir autant que possible d’autant plus que cette version nous offre les Mission Pack de l’époque pour plus de niveaux ainsi que de toutes nouvelles zones créées par Machine Games.

N’ayant pas encore complété celles-ci, mon commentaire arrivera plus tard séparément dans la liste.

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Plague Tale, un jeu qui souffre de trouble dissociatif de l'identité, si il prend place dans des lieux plus ou moins inspirés de la région où l'aventure se déroule (en Aquitaine) et possède une volonté de suivre des évènements historiques, celui-ci vire rapidement dans une direction fantastique et ne s'entrave plus de règles qu'il aurait fallu un minimum respecter si la volonté était de coller à des faits historiques ainsi qu'éviter les anachronismes.
Si le jeu s'était tourné dans une direction ou le réalisme se plaçait au carrefour de l'ensemble des couches du jeu que comprennent le gameplay, le game design ainsi que l'histoire, j'aurai pu excuser bien des choses mais sans cela il faut bien avouer que à la clôture de rideaux je ne sais toujours pas ce qu'a voulu vraiment faire Asobo de son bébé.
Ce revirement fantastique aurait permis d'explorer un gameplay plus "excitant" et une direction plus originale, malheureusement on se retrouve ici avec un jeu cloisonné qui ne fait que répéter ce que vous avez déjà vu des centaines de fois.
L'histoire ne vous bousculera pas beaucoup et reste prévisible cependant j'ai apprécié son côté cru qui ne cache pas vraiment ce qui doit être vu et aussi la relation entre Hugo et sa sœur. Le raté intervient sur la fin où on sent une légère accélération du mouvement alors qu'à ce moment-là du jeu on avait toujours eu la sensation d'avancer sur une fresque de temps de manière réaliste.
Malgré tout cela je dois confesser que j'ai pris un réel plaisir à parcourir Plague Tale, paradoxal au regard de tous ces défauts mais c'est en cela que ce jeu reste assez particulier. Frôlant la déception mais en même temps possède quelques points importants qui méritent notre attention. Il reste un jeu agréable à parcourir grâce notamment à son atmosphère très forte qui dans mon cas m'a vraiment tenu en haleine du début à la fin malgré les rares accros.
Techniquement et artistiquement le jeu est solide et procure de superbes panoramas le tout accompagné par la bande originale d'Olivier Derivière qui est à mon humble avis sa meilleure.
La mécanique des rats est pour moi l'un des points les plus réussis et on sent clairement que c'est cette direction qui sera exploitée dans sa suite, ce qui permettra je l'espère d'explorer un gameplay plus riche. Asobo a le talent pour faire de Requiem un jeu qui s'assume pleinement et s'ouvrira sur une conception plus intelligente en gommant les erreurs de jeunesse que possède Innocence.

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Une longue attente pour ce premier projet de Neon Giants, mais une attente qui, si elle n'atteint pas l'aboutissement qu'on aurait souhaité, nous donne cependant une oeuvre originale et suffisamment qualitative sur certains points que je recommanderai sans soucis The Ascent si vous êtes curieux de vous aventurer dans un monde cyberpunk. The Ascent regorge de bonnes idées et surtout d'une plastique qui frôle la perfection.
Je vous invite à lire ma critique ci-dessous pour l'ensemble de ma pensée sur The Ascent.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/The_Ascent/critique/221496761

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Commentaire à venir

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Quand je repense à ce contenu supplémentaire je ne peux que me souvenir en premier lieu du gap de difficulté que celui-ci donne au joueur qui oserait s'y aventurer un peu top tôt dans l'aventure.
Pour être tout à fait honnête ce DLC n'est clairement pas le plus intéressant de la série que cela soit visuellement ou dans sa construction cependant il possède aussi un des plus majestueux boss de toute la série qui agit comme un mur de difficulté qui poussera le joueur dans ces derniers retranchements tout en possédant une mise en scène générale grisante de plaisir.
Globalement ce qui prédomine c'est un sentiment positif clairement mais aussi une légère frustration que ce contenu supplémentaire ne possède pas tout les atouts déjà aperçu dans le reste de la série, cependant c'est certainement car celui-ci agit comme une introduction à la conclusion de Dark Souls 3 et son dernier DLC qui lui est l'aboutissement ultime que nous attendions.

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Dark Souls 3, voilà un nom qui résonne dans ma tête depuis des années.
Après m'être lancé dans l'aventure Dark Souls en 2019 avec la version remastered de DS1 j'ai par la suite fait l'ensemble de la série des Soulsborne pour finir en 2021 sur cet épisode qu'on pourrait juger au pire de magistrale au mieux d'une conclusion à la hauteur de l'héritage qu'elle se devait de respecter et conclure.
Ce n'est pas sans un pincement au cœur que je suis venu à bout du dernier boss du jeu. Si j'aurais mis le temps à me lancer dans la série, cette traversée aura été certainement une des plus marquantes de ma carrière de joueur.
L'investissement requis ainsi que tout ce qui entoure la série procure une sensation assez unique qui reste difficilement explicable.
Dark Souls 3 présente l'aboutissement de tout le savoir-faire de From Software avec une mise en scène et un challenge pensés et conçus au pixel prêt.
Certains de ces moments de jeu vidéo n'ont pas leurs équivalents dans l'industrie et ce n'est qu'une fois un Souls fini qu'on a compris le message de Miyazaki.
Il n'y a pas de difficulté intrinsèquement impossible simplement un apprentissage qui peut parfois prendre un peu plus de temps mais au final un résultat qui élève la personne que vous êtes derrière la manette à un niveau que vous ne soupçonniez pas.
Après ces 3 épisodes et la parenthèse qu'aura été Bloodborne je veux simplement dire merci aux équipes de From Software de croire encore en un jeu vidéo qui ne prend pas les joueurs par la main et nous amènent même à apprendre sur la personne que nous sommes pour se dépasser.
Encore merci pour cette série.

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Un seul et unique DLC pour Bloodborne mais quel DLC !
Des environnements à couper le souffle, une difficulté sacrément rehaussée en comparaison du jeu de base et une série de boss tous aussi épiques et marquants que les meilleurs de l'ensemble des soulsborne.
Un DLC immanquable pour ceux qui se lanceraient dans le jeu de base.

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42 heures DLC compris (Build FOR/COM Ludwig) j'ai mis du temps à me lancer après DS1 et DS2 en 2020, mais dans cet ordre que l'on m'a conseillé, Bloodborne pourrait presque paraitre comme une formalité tant l'école DS2 a été formatrice dans la douleur...
Une œuvre qui frôle la perfection et bien plus facile à apprécier et appréhender dans son entièreté que les Souls, et qui donne un sentiment si enrichissant et qui à l'instar de ses ainés dépasse le simple cadre du jeu vidéo.
Le "World Design" et les boss sont clairement les deux points qui m'ont le plus marqué dans Bloodborne, qui montre que Miyazaki et ses équipes ont atteint la quasi maturité de leur concept.
Il ne remplace pas DS1 dans mon cœur mais celui-ci est à la fois si proche et différent que la comparaison n'est pas vraiment nécessaire ou pertinente.
Pas grand chose à ajouter de bien intéressant qui n'aurait pas été dit, si vous ne l'avez fait juste foncez, il n'est pas fourbe et ne vous abandonnera jamais seul la ténacité du joueur pourra être le maillon faible.
Seul défaut réel c'est la technique du jeu si le 30fps n'est pas réellement pénalisant on regrette l'absence d'une meilleure finesse d'affichage tellement l'œuvre et riche en références et donne envie de jouer les archéologues.

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L'avis complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/S_T_A_L_K_E_R_Call_of_Pripyat/critique/200829939

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N'ayant jamais touché de près ou de loin à l'épisode original, ce remaster a été l'occasion parfaite pour découvrir la série.
je dois dire que j'ai passé une dizaine d'heures de pur plaisir vidéoludique comme on en faisait qu'à cette époque des balbutiements de la 3D.
MediEvil c'est le fun immédiat, un gameplay dynamique qui se renouvelle tout au long de l'aventure par un bestiaire évoluant à chaque niveau et un arsenal toujours plus sympa à utiliser.
Ici le remaster ne se permet qu'un lissage technique donc les sensations restent dans leurs jus de l'époque, ca glisse, ca répond avec des animations rapides et franches et on garde le charme de toutes ces actions plateformes de l'ère 64 bits.
Artistiquement cet épisode PS4 respecte assez admirablement l'épisode PS1, je vous invite à regarder les comparatif Youtube pour vous forger un avis mais j'ai personnellement trouvé le style très respecté et un bel hommage à cette époque en gardant des très grossiers que cela soit pour les personnages ou décors tout en magnifiant les détails, en ce sens on est proche de la réussite qu'a pu être le remaster de Crash Bandicoot et Crash Team Racing.
Entreprendre un remaster uniquement visuel a été de mon humble la bonne décision et dans mon cas cela m'a permis d'apprécier à sa juste valeur le jeu tout en profitant de la nouvelle partie graphique.
Les doublages sont à mourir de rire et on traverse l'histoire sans avoir envie de lâcher la manette, les 20 niveaux disponibles fortement variés entraînent le joueur dans des moments assez épiques avec un certains nous laissant le plaisir de parcourir les niveaux dans leurs moindres détails à la recherche des secrets.
Le jeu possède une légère re jouabilité mais les rares ajouts n'apportent pas grand chose au jeu original, ce qui fait que vous finirez sûrement l'aventure en 7/8 heures.
Cela m'aura donné clairement envie de continuer avec le deuxième épisode quand j'en aurai le temps et bien dommage que la série entière n'ait pas bénéficié de cette mise à jour visuelle.
Le genre de jeu qui fait du bien qu'on parcours sans prises de têtes avec plaisir et challenge, mêlant parfaitement plateformes et actions et une humour comme on ne trouve que rarement aujourd'hui !
Je recommande clairement ce remaster à ceux qui n'auraient jamais fait la série comme moi.

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Avec Alice on souffle le chaud et le froid tout au long de l'aventure, tantôt passionnante et exaltante à traverser tantôt un peu épuisante et répétitive malgré une durée de vie somme toute convenable.

On retiendra de positif une direction artistique bien inspirée et parfaitement retranscrite des artworks au jeu. Pas de limite à la folie, les développeurs s'en sont donné à coeur joie et le jeu nous offre une technique et diversité artistique très solide, sur ce point rien à redire c'était un quasi sans-faute.
Le gameplay reste dynamique et “fun” mais malheureusement peu varié et on sera amené à combattre souvent le même type d'ennemis, certes avec des skins différents, mais des méthodes d'approche exactement similaires. Les dernières heures paraissent un peu longues sur ce point.

On notera l'absence complète de “vrai boss” ce qui souvent donne un arrière-goût de non-accomplissement une fois un monde parcouru, sûrement une question de budget.
L'histoire reste sympathique mais je l'ai trouvé assez confuse et peu mise en avant sur la première moitié du jeu où on ne comprend pas réellement ce qui se passe. Le manque de dialogue et de mise en scène porte préjudice à l'histoire en général mais là encore cela est certainement dû à un budget ric-rac.

Concernant la partie audio elle est à l'image du jeu, de belles pistes parfaitement adéquates avec les différentes thématiques des mondes mais encore une fois elles viennent à se répéter très très rapidement.

En conclusion Alice est un jeu plutôt agréable à parcourir et surtout un bijou pour les yeux, les artistes ont pu donner vie à leur imagination, cependant rapidement si on regarde dans les détails le jeu s'essouffle et ne va pas au bout de la ou il devrait aller pour réussir.
Un gameplay rapidement répétitif et une mise en scène sans grande saveur, surtout sur la fin un peu expédiée, ne permettent pas au jeu d'accomplir ses objectifs.

J'ai souhaité être généreux avec ma note car clairement on voit et on sent que ces reproches sont la conséquence d'un budget limité et ce qu'ils ont pu faire avec leurs moyens a été relativement bien accompli.

Alice : Retour au pays de la folie reste une œuvre agréable à parcourir et de par son authenticité un jeu qu'on garde dans un coin de sa tête et non pas noyée dans la masse.

Annotation :

L'avis trèèèès complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Mother_3/critique/230537188

Annotation :

Encore une fois j'ai pris le temps d'écrire une critique sur un jeu sorti il y a déjà des lustres et que personne ne lira, mais qu'importe, Psychonauts a été une déception et je me devais de développer mon commentaire.
Alors si vous en avez l'envie ou le courage, rendez vous sur ma critique, je serai le premier heureux si on m'explique par A + B pourquoi je n'ai rien compris au jeu.

En attendant l'avis complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Psychonauts/critique/207131965

Annotation :

Voilà bien un moment que je n’avais pas pris le temps de revenir à mon amour d’enfance qu’est la GBA que j’ai malheureusement survolée à l’époque.
Quel retour en fanfare avec ce Dragon Ball, passé sous le radar pour la majorité d'entre nous et pourtant c’est un tour de force !
Si l’aventure se termine relativement rapidement entre 3 et 4 heures, elle est suffisamment intense pour réellement retrouver tout ce qu’on aime dans un jeu vidéo Dragon Ball.
Ce qui frappe d'entrée, c’est la beauté des sprites et décors, quand on pense que cela arrive à tenir dans une cartouche de 4 mo, la taille d’une photo, c’est tout bonnement impensable.

Tous les effets visuels font partie des plus beaux que j’ai pu voir sur la petite GBA qui crache ses tripes, dans un festival pyrotechnique qui n’a rien à envier aux consoles 16 Bits.
Si on commence avec de simples combats au sol, le jeu ne met pas beaucoup de temps à nous offrir ce que permet la maîtrise du Ki comme les Kamehameha et autres enchaînements de coups en l’air. Les phases de plateformes très en retrait ne viennent pas trop interrompre le plaisir de bastonner du méchant jusqu’au boss dans un rythme assez effréné. Les longs niveaux peuvent être par moments un poil répétitif mais entre coupé de 1VS1 qui me rappelle les meilleurs épisodes DBZ sur SNES, on ne voit pas finalement passer le temps et on aurait bien souhaité du rabais d’autant plus avec un mapping des touches tout bonnement parfait qui fluidifie l'expérience.

En plus de ses qualités visuelles et d’un gameplay sans reproche le jeu reste parfaitement fidèle au manga, certes l’aventure est en mode accéléré 200% mais c’est un vrai plaisir de voir un si bel hommage à l’heure où Dragon Ball est violé sans vergogne sous couvert de l'argent. Dans ce jeu on ressent la passion et l’amour de la saga qui donne la chance à un arc narratif peu exploité en jeu vidéo de grande qualité, surtout en Europe.
La bande-son n’est pas en reste, si j'aurais souhaité plus de thèmes tirés de l’animé on a quand même le droit à de jolies musiques qui accompagnent les combats contre les boss ou plus généralement les niveaux.


Au global ce Dragon Ball Advanced Adventure c’est une très bonne surprise et la communauté n’avait pas tort sur la qualité de ce jeu qui est décidément une valeur sûre si vous souhaitez vous aventurer sur GBA.

Annotation :

Première fois que je prends autant de temps pour écrire une critique, sans hésiter ma plus complète jusqu'alors. Final Fantasy XII aura été définitivement très inspirant à l'écriture en plus d'un voyage passionnant.

L'avis complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Final_Fantasy_XII_The_Zodiac_Age/critique/200759278

Annotation :

Shadow of Colossus en 2021 ça donne quoi ?
Cela donne un jeu qui a quand même énormément vieilli dans ses mécaniques, il faut le dire, mais de la même façon les applique d'une manière qu'aucun autre jeu aura fait dans les 10 ou 20 années qui ont suivi.
J'ai longuement hésité sur la note finale, mais qu'importe, car ce qui en ressort, c'est que je comprends tout à fait le choc possible qu'on put recevoir ceux qui ont eu accès à l'œuvre sur PS2, à l'époque.
Ses décors somptueux, sa direction artistique de toute beauté, ces grands espaces, une science du vide impeccable et une OST envoûtante, oui, c'était un sacré tour de force à sa sortie.

Aujourd'hui si dans l'ensemble Shadow of Colossus n'invente plus rien, il est important de noter qu'il a inspiré bon nombre de jeux et les premiers qui me viennent à l'esprit sont "Breath Of The Wild" et "Death Stranding", dans chacun d'entre eux se retrouvent des morceaux de Shadow of Colossus et c'est en cela que j'ai apprécié parcourir ce jeu.
Une vraie partie de l'histoire du jeu vidéo se trouve ici, et même s'il n'est pas facile aujourd'hui de l'apprécier dans toute sa splendeur sans un aspect nostalgique, c'est une œuvre importante à découvrir par le biais de ce remaster.

Malheureusement, c'est pour moi l'unique souci de mon expérience, c'est bien ce remaster.
Certes la volonté de préserver le plus authentiquement possible l'œuvre avec un simple lissage graphique est louable, cela avait déjà été fait sur PS3 au passage quand même, cependant j'ai eu beaucoup de mal à accepter les très nombreux soucis de collisions plus proches de bug que d'une réelle optimisation et les infernaux problèmes de caméra dans le sol ou colosse.
Il aurait été tout à fait possible, à mon avis, de garder parfaitement toute l'aura du jeu original en améliorant ses points qui m'ont, dans une certaine mesure, gâché mon expérience et une note encore plus élevée.
C'est comme si on avait conservé un framerate toussant pour "l'authenticité", assez regrettable.

Malgré cela, j'ai adoré prendre mon temps et me plonger dans cette aventure, en plus de découvrir un jeu unique, j'ai aussi approché un morceau du jeu vidéo important et cela est dans mon cas une chose que j'affectionne particulièrement.
Je conseillerai quand même ce jeu à chaque personne qui considère ce média comme de l'art, au delà d'un simple objet de consommation, car à n'en pas douter, Shadow of Colossus en est définitivement un des meilleurs représentants.

Annotation :

L'avis complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Devil_May_Cry_5/critique/200830165

Annotation :

Un bon scénario ne suffit pas, il faut savoir l'imbriquer autour d'un gameplay cohérent et un minimum passionnant.
J'ai du jouer à peine 10 heures au jeu et elles m'ont semblé être 50 heures.
Get Even est bourré d'incohérences dans sa construction et tente de commencer tout mais ne réussit pas grand chose.
Walking Sim en mode camion 36 tonnes mais dans le même temps shooter complètement raté à cause d'une IA incroyablement débile bref les développeurs ne savaient pas quoi faire de leur jeu et dans quelle direction partir.
Soit en nous forçant à tirer mais alors on retourne au pire moment des FPS consoles sous UE3, soit marcher mais on marche à 0,05 kilomètre heure et bug de collisions en tout genre ou encore à s'infiltrer mais l'IA est au fraise à un niveau rarement vu, en gros aucun de ses aspects ne fonctionnent indépendamment avec l'histoire qu'on nous raconte.
On veut rester accroché au scénario qui sur le papier est plutôt intéressant mais imbriqué autour de phases de gameplay qui ont l'effet d'un somnifère, c'est un échec cuisant.
La musique d'Olivier Derivière n'apporte rien de spécial et se veut même clairement absente dans des phases importantes et surtout en deçà comparé à d'autres travaux du Mr sur Vampyr ou Remember Me.
Le final sauve le jeu mais vous aurez peu de chance d'avoir la bonne fin avec toutes ses erreurs de gameplay auxquelles ont est confronté à moins de rester sur YouTube à suivre le cheminement exacte…
Avec un objectif proche et un propos similaire je recommande chaudement Observer qui lui assume au moins son côté Walking Sim.

Annotation :

Spoilers c'est mieux que le jeu de base.