L'Autobiographie (ENS Lyon, 2014, Littérature)

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Pas encore lu parce que j'ai privilégié un manuel plus récent, mais indispensable apparemment.

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Très solide, utilisant des exemples assez restreints mais très approfondis, et qui permettent de faire des secondes lectures d'oeuvres majeures, telles que les Confessions de Rousseau (au programme de l'ENS), les Mots de Sartre, La Règle du jeu de Michel Leiris, la Vie de Henry Brulard de Stendhal, etc.

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(Programme ENS)

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(Programmes ENS) Absolument pas une autobiographie, mais peut être rapproché du programme justement par son caractère d'expérience vécue relatée poétiquement.

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(Programme ENS) Oeuvre au programme également, qui gagne à être étudiée comme le dernier récit du poète avant sa mort. L'édition proposée par l'ENS permet également de voir les annotations qui ponctuent le texte, et font entrevoir l'avancement du récit en fonction de la vie de Nerval.

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Oeuvre assez complexe de reconstruction du moi littéraire, double (Lire et Ecrire)

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Pas non plus affaire à une autobiographie, cependant Céline s'inspire très librement de sa vie pour la faire revivre à Bardamu.

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Et toute la Recherhe. Comme chez Céline, ce n'est pas une autobiographie, mais ce sont chez Proust des émotions, des sentiments qui ont vocation à toucher l'universelle, ce qui est selon Miraux le principal atout d'une oeuvre autobiographique : atteindre l'universel par le récit d'une expérience particulière.

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Presque l'autobiographie par excellence, puisque le récit introspectif d'une quête du Moi dans ce que les souvenirs ont de plus confus, c'est à dire l'époque de l'enfance, de l'insouciance, de la non-assurance de soi. Très intéressant pour le programme.

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Critique de la violence des camps d'extermination et récit autobiographique en même temps. Surtout le plaisir de l'écriture de Perec...

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Sur les conseils de @SanFelice. A lire.

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Roman presque autobiographique en même temps que d'être un roman poétique. Alain-Fournier fait entrer dans le féerique une réalité très triviale, mais l'amour d'une jeune femme peut bien donner à la vie un côté très fantastique, très poétique.

On retiendra le roman pour son écriture très simple mais très agréable.

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Très intéressant; cf. ma critique.

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Un livre tout chou ! qui donnerait envie de revivre sa propre enfance telle quelle.

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Plus une autofiction qu'une autobiographie : le narrateur ne se confond pas du tout avec l'auteur, puisqu'il rencontre Blaise Cendrars à la fin, qui est l'assistant d'un aviateur. Mais ce pied-de-nez littéraire est tout à fait intéressant néanmoins... Puisque le parcours de Raymond et de Moravagine est analogue au réel parcours de Cendrars entre 1900 et 1917 (Russie, Amérique, amputation pendant la guerre).
On appréciera surtout les incursions oniriques et l'adoration pour Moravagine, qui semble être un double du narrateur. Le fait que cette oeuvre soit centrée sur lui n'est donc pas anodin si on veut la voir comme une démarche d'incursion dans le Moi : il s'agit d'examiner les pulsions refoulées de l'auteur, qui se déchaîne à travers ce personnage.