le syndrome Gordon Freeman.

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Gordon Freeman est un scientifique sur la station Black Mesa. Après l'ouverture d'une dimension parallèle, des extra-terrestres envahissent la station. Notre silencieux protagoniste va donc se frayer un chemin à coup de pied de biche et par l'utilisation d'armes plus conventionnelles. Je pense qu'il n'est scientifique qu'à mis-temps car même les marines envoyés pour étouffer l'affaire ne peuvent rien contre lui.

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De son propre aveu, Jason Brody, jeune étudiant californien, ne s'est jamais servi d'une arme au début du jeu. Mais heureusement pour lui, il a eu une formation de space marine dans une vie antérieure qui lui permet d'allumer pirates et mercenaires par paquets de douze. Elle est bien faite la vie.

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Ezio est un noble florentin qui se débrouille pas mal en grimpette, rien de plus. Mais après avoir mis une tenue d'assassin, ses capacités de combat se développent d'un coup, ce qui est profitable pour affronter les templiers, qui, lorsqu'on voit leur talent au combat, n'ont pas eu une telle chance.

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Lara est une jeune archéologue qui ne rêve que d'aventure. Après avoir été obligée de tuer un type qui ne lui voulait pas que du bien, elle se rend compte que tuer, c'est mal, mais que c'est plutôt facile, après tout. Ça tombe bien, parce qu'il y en aura beaucoup d'autres.

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Alec Mason est un mineur venu sur Mars pour... miner. Mais, par la force des choses, il se retrouve dans la résistance. C'est une chance qu'il ait un don pour la destruction et la maniement des flingues face aux soldats de l'EDF, dont les armes et l'entraînement ne suffiront pas à stopper la masse de Mason en direction de leur gueule.

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Isaac Clarke est ingénieur. Envoyé sur l'Ishimura, qui a mystérieusement perdu contact avec la Terre, il découvre que ses habitants se sont transformés en affreux monstres dégueulasses qui ont développés un certain goût pour la chair humaine. Mais c'est sans compter notre cher mécano, dont le maniement du cutter à plasma est sans égal.

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Alan wake est un écrivain atteint du syndrome de la page blanche. Il décide donc d'aller passer un peu de temps en montagne histoire de se ressourcer. Mais un mystérieux mal s'empare de la petite ville la nuit tombée, transformant certains habitants en tarés sanguinaires. Mais Alan a un flingue, il sait s'en servir, et par chance, c'est un tueur de sang-froid. C'est eux ou lui, après tout.

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Max Payne est un flic comme on en voit tant d'autres. Mais un jour, sa famille se fait tuer. Du coup, il se lance dans un quête vengeresse, qui lui fait nettoyer des immeubles remplis de voyous toute la nuit. Et ça s'améliore pas avec les suites, qui lui feront affronter jusqu'à des armées privées. Si ce jeu m'a appris une chose, c'est de ne pas emmerder les flics.

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Amanda Ripley est ingénieure en vaisseaux spatiaux. Toutefois, grâce à une débrouille qui ferait pâlir d'envie MacGyver, elle crée bombes artisanales, IEM, medpacks, grenades aveuglantes et fumigènes grâce à des bricoles trouvées sur un bureau, sans compter sur sa maitrise des armes à feu. C'est également la seule personne ayant un Q.I supérieur à 12 à bord de la station Sébastopol, étant la seule ayant le réflexe de se cacher lorsque L'alien surgit ou qu'on l'entende arriver avec ses pas d'éléphants...

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Marcus est un jeune hackeur. On ne sait pas vraiment ce qu'il faisait avant, mais vu son âge et ses motivations, je doute qu'il ait suivit une formation de tueur surentrainé. Mais Marcus, lui, il s'en fout de pas avoir d’entraînement, lui ce qu'il veut, c'est dénoncer la vérité au peuple, même si il faut lui casser la gueule à coups de lance-grenades. Et ça tombe bien, parce que le gus est capable de dessouder du flic, du gangster et du militaire à tours de bras. Elle est bien loin l'image du nerd devant son clavier...

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Suite de Hard Boiled et ersatz sympathique mais bancal de Max Payne, Stranglehold nous met dans la peau de Tequila, qui donnera un tout nouveau sens à "brutalité policière", en bousillant à lui tout seul la pègre Hong-Kongaise et russe, en passant par quelques dealers du coin.

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Le héros est plombier. Ce qui se rapproche le plus d'une arme dans sa besace, c'est un pistolet à joints. Mais ca c'est pas grave. Ce qui est grave, c'est que la Russie a envahie les US, et que faut aller lui casser la gueule. Et hop, en l'espace de quelques missions, notre spécialiste des éviers est devenu leader de la résistance, en bousillant les installations ennemies (presque) à lui tout seul. L'entraînement, c'est surfait, et ça a d'ailleurs pas sauvé les soldats russes croisant notre route.