Les meilleures histoires d'Iron Fist

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Fin en apothéose du run magistral de Brubaker et Fraction sur le personnage d'Iron Fist, achevant de faire du héros un personnage de premier plan et lui offrant une mythologie super riche qu'on a vraiment envie d'explorer.

C'est un peu la valse des dessinateur, mais ça reste une histoire qui vaut vraiment le détour, un comics de très grande qualité.

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Après un premier tome déjà très réussi, Brubaker et Fraction vont encore plus loin dans ce second tome qui propose un retour à K'un-Lun pour Iron Fist. L'occasion de développer toute la mythologie liée à la ville céleste, en proposant de nouvelles cités cachées, de nouveaux personnages mais aussi en revenant sur le passé de Danny Rand ou sur les autres Iron Fists de temps plus anciens.

C'est génial et c'est vraiment le genre de tome qui peut vous faire tomber amoureux de l'univers du héros. Par contre David Aja n'assure pas les dessins de tous les numéros.

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Deux scénaristes de renom, Ed Brubaker et Matt Fraction, aidés par un dessinateur absolument incroyable, David Aja, reprennent le personnage d'Iron Fist et lui redonne ses lettres de noblesse dans cette série absolument incroyable. L'une des idées clés du récit est absolument géniale : et si il y avait eu d'autres Iron Fists par le passé ? Et si c'était une lignée de héros qui avait traversé les âges ? Et si Danny Rand rencontrait son prédécesseur ?

Une histoire absolument formidable à lire de toute urgence si vous voulez découvrir le personnage.

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Kaare Andrews revient sur le personnage le temps d'une mini-série où Danny Rand doit former celle amenée à devenir la nouvelle Iron Fist. Une série passée inaperçue alors que véritablement excellente, notamment graphiquement, avec des dessins d'Afu Chan assez uniques et sincèrement magnifiques. C'est vraiment un régal pour les yeux.

En outre, la petite Pei est un personnage hyper attachant, et la voir essayer de s'intégrer dans l'univers scolaire new-yorkais alors qu'elle a grandie à K'un-Lun donne lieu à un choc des cultures très intéressant.

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Forcément quand quelqu'un dit qu'il y a 7 cités, il faut toujours que l'auteur suivant se ramène pour dire "En fait il y en avait une 8e secrète héhéhé".

Mais ça n'empêche pas cet arc d'être très réussi et très agréable à lire, avec toute une nouvelle cité à découvrir et le retour des Immortal Weapons. On notera aussi les dessins de Travel Foreman globalement plus réussis sur ce tome que sur le précédent.

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Après la Chute dans le tome 1 de la reprise de Iron Fist par Kaare Andrews, voici la Renaissance, avec un second tome où notre héros se reprend en main et affronte ces ennemis avec une belle énergie.

Y a vraiment d'excellentes scènes de la part de Kaare Andrews dans ce tome, qui nous offre des séquences absolument ahurissantes dans les derniers épisodes. On appréciera également les ajouts à l'univers du personnage en espérant qu'on ait l'occasion de les revoir à l'avenir.

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Après un premier tome assez inégal, la série Power Man & Iron Fist de David F. Walker prend vraiment son envol dans ce 2e tome, pourtant tie-in à Civil War II (enfin, faut le dire vite, il n'y a pas réellement besoin d'avoir lu l'event pour comprendre ce tome).

Flaviano vient épauler Sanford Greene aux dessins et les deux styles se combinent vraiment très bien. Globalement, si vous avez aimé le style graphique du premier tome, c'est toujours aussi beau.

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Les débuts du héros, rempli d'épisodes géniaux. Ça pose plein d'éléments hyper importants de l'univers d'Iron Fist : ses origines tragiques, les grandes lignes de la mythologie de Kun-L'un,la vengeance face à Meachum, ses alliées Colleen Wing et Misty Knight...

Dans l'ensemble c'est vraiment de la très bonne qualité. Mais il faut bien voir que les équipes créatives changent constamment ce qui amène une certaine inégalité à l'ensemble. Et je ne dirais pas que les épisodes face au culte de Kara-Kai et au Ninja sont les meilleurs. Par contre, ceux de Claremont en fin d'album sont excellents et valent eux aussi largement le détour, même si ils sont un peu moins importants au niveau construction de la mythologie que les 4-5 premiers numéros de l'intégrale.

Bref, une excellente lecture. Même pour une lecture old-school, c'est vraiment très prenant.

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Arc final de la malheureusement trop courte série Power Man & Iron Fist version 2016, et c'est une conclusion vraiment très réussie. On prend vraiment plaisir à découvrir le monde haut en couleur de la pègre de Harlem, avec pas mal de têtes connues et qui est ici bien développé.

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Réinvention des Defenders en version street-level pour coller à la mini-série Netflix. Bendis retrouve donc Daredevil, Iron Fist, Luke Cage et Jessica Jones, des personnages qu'il adore, pour nous offrir cette version blockbuster de l'univers urbain de Marvel, qui n'a jamais été représenté de manière aussi spectaculaire.

Il faut dire que David Marquez se surpasse aux dessins, notamment sur les scènes de baston qui sont phénoménales et incroyablement dynamiques, et Justin Ponsor se réinvente complètement aux couleurs pour coller à l'ambiance nocturne et urbaine et ça donne des choses vraiment magnifiques.

C'est très chouette à lire, et la remise au goût du jour du personnage de Diamondback est intéressante.

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Des petits one-shots sur les différentes Armes Immortelles qu'on a découverte dans le tome 2 de Immortal Iron Fist. Forcément, vu que c'est des one-shots par des équipes créatives différentes à chaque fois, les épisodes sont inégaux, mais ça reste globalement sympathique et un peu dans la lignée des épisodes sur les Iron Fists du passé qu'on avait déjà pu lire précédemment.

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Fin de la série Defenders de Bendis. Ça fait un peu bizarre de voir une série qui ressemble autant à un blockbuster, qui est aussi bien dessinée, s'arrêter si vite, mais ça demeure une lecture plutôt plaisante. On a quand même l'impression que les auteurs n'ont pas pu tout à fait aller au bout de leurs idées.

Par contre, c'est toujours extrêmement beau, avec un David Marquez et un Justin Ponsor toujours aussi déchaînés aux dessins.

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Luke Cage et Danny Rand reforment enfin leur duo ! David Walker écrit parfaitement les deux personnages, et offre une aventure urbaine et légère franchement très agréable à lire.

C'est plein de bonnes idées, y a plein de personnages un peu oubliés de l'univers des deux héros qui sont utilisés avec intelligence, y a même des nouveaux concepts astucieux (Senor Magico, à jamais dans nos cœurs)...

Mais il faut bien le dire, ce premier arc se termine pas de manière incroyable non plus, même de manière plutôt décevante. Heureusement le one-shot qui conclut le tome redresse un peu la barre.

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Kaare Andrews reprend le personnage d'Iron Fist et décide de lui offrir un récit de chute et renaissance hyper sombre, pour revenir aux racines du personnage, où on a quand même quelqu'un qui a choisit la vengeance plutôt que la vie éternelle.

Exit le type rigolo qui fait des petites blagues, exit le costume, à la place c'est du grim & gritty à fond les ballons avec des morts, de la destruction, de la déprime et du noir.

Ce qui est triste c'est que quasiment rien n'est repris du run de Brubaker et Fraction, mais ça reste quand même une très bonne lecture, grâce au sens de la narration hyper maîtrisé de Kaare Andrews qui nous offre notamment de superbes scènes d'action.

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Après l'excellent run de Brubaker et Fraction, c'est Swierczynski qui reprend le personnage, et la qualité descend quand même d'un cran. Surtout qu'il faut s'adapter aux dessins très particuliers de Travel Foreman, pas toujours très beaux (ou pas à mon goût en tout cas).
Il y a quand même quelques idées, comme cet adversaire qui tue tous les Iron Fists quand ils ont 32 ans.