Mon Top 1931 des meilleurs films

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Tout bon film sur la Première Guerre mondiale. Le quotidien et la camaraderie sont mis en avant au début, dans la seconde partie plusieurs scènes de combats très impressionnantes. La mise en scène est créative et la reconstitution est facilité par les lieux du tournage car ce sont les véritables champs de batailles.

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Frankenstein est probablement le meilleur film des Universal Monsters. La réalisation de Whale est énergique et les décors entre gothique et Expressionisme, comme la photographie d'ailleurs. L'histoire adaptée de Shelley est condensée en 1h07 mais garde sa force. Plusieurs scènes sont devenues mythiques.

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Ce film est un des tout premiers parlant assez ouvertement de la Mafia américaine. On y voit l'ascension et la chute d'un caïd cela donnera l'intrigue principale d'un grand nombre de long-métrage du genre. En 1h19 pas moyen de dévelloper donc LeRoy va à l'essentiel.

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Monnaie de singe n'à pas un scénario extraordinairement original mais il est peut-être le plus drôle des films de la fratrie. Chacun des frères à ses moments et ils interagissent encore mieux que d'habitude, la preuve pour une fois Zeppo ne fait pas que de la figuration.

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Un grand classique du cinéma américain d'Entre-Deux Guerres, premier volet des monstres de chez Universal qui ont marqués leur époque. Le film excelle surtout par son ambiance lugubre, une esthétique gothique, des lumières d'un spécialiste comme K. Freund et des partitions musicales envoûtantes, tout cela crée une atmosphère typique des réalisations de T. Browning. Bela Lugosi est devenu une des figures mythiques du cinéma fantastique grâce a ce film.

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Ce film qui donne le coup d'envoi de la fameuse Trilogie Marseillaisse de Pagnol est une vraie réussite. L'histoire racontée est classique mais la verve dans les dialogues fait mouche, c'est drôle, grandiloquent avec des personnages hauts en couleurs. La réalisation ne souffre pas d'une éventuelle théâtralité grâce au dynamisme du montage. La distribution est impeccable avec des comédiens aux accents et aux grandes gueules. C'est le patrimoine du cinéma français.

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Un classique des débuts du cinéma parlant, ça se ressent d'ailleurs dans la prestation de l'acteur Wallace Beery plus à l'aise dans la grimace que dans l'élocution, le gamin Jackie Cooper est lui craquant. Le film narre les aventures cocasses d'un ancien champion de boxe et de son fils vivant dans la misère à cause des vices de Champ. Le style est tragicomique et naïf comme dans bien d'autres productions de l'époque, on sourit de choses qui ne sont pas drôle à la base, la pauvreté, l'alcoolisme et l'addiction aux jeux. Le script semble être improvisé au jour le jour, c'est du moins l'impression que cela donne sans que ce soit réellement gênant. Le modèle pour les innombrables films sur la boxe était établi bien que l'on peut difficillement qualifier Le Champion comme faisant partie de ce genre.