Cover Mon Top 1950 des meilleurs films

Mon Top 1950 des meilleurs films

Voici la liste des meilleurs films de l'année selon moi.

Les longs-métrages qui sont juste en dehors du top 10:
La porte s'ouvre (Joseph L. Mankiewicz)
La flèche et le flambeau (Jacques Tourneur)
Le violent (Nicholas Ray)
Le Démon des armes (Joseph ...

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10 films

créée il y a presque 12 ans · modifiée il y a environ 2 ans
Los Olvidados
7.8

Los Olvidados (1950)

1 h 25 min. Sortie : 14 novembre 1951 (France). Policier, Drame

Film de Luis Buñuel

Ygor Parizel a mis 9/10, l'a mis en envie et a écrit une critique.

Quand la ville dort
7.6

Quand la ville dort (1950)

The Asphalt Jungle

1 h 52 min. Sortie : 6 décembre 1950 (France). Gangster, Film noir, Drame

Film de John Huston

Ygor Parizel a mis 10/10 et a écrit une critique.

Les Forbans de la nuit
7.9

Les Forbans de la nuit (1950)

Night and the City

1 h 41 min. Sortie : 29 décembre 1950 (France). Film noir, Sport

Film de Jules Dassin

Ygor Parizel a mis 9/10 et a écrit une critique.

Rashōmon
7.8

Rashōmon (1950)

1 h 28 min. Sortie : 18 avril 1952 (France). Policier, Drame

Film de Akira Kurosawa

Ygor Parizel a mis 9/10.

Dimanche d'août
7.1

Dimanche d'août (1950)

Domenica d'Agosto

1 h 28 min. Sortie : 29 septembre 1950 (France). Comédie, Comédie dramatique

Film de Luciano Emmer

Ygor Parizel a mis 8/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Une rafraîchissante comédie italienne produite pendant la grande période du néoréalisme. Il y a des point communs avec les oeuvres néoréaliste comme la différence entre riches et pauvres (mais ici pas de pessimisme), portraits de personnages non-héroïques, ... . On y voit le quotidien de romains lors d'un dimanche d'août avec des enfants qui court partout, des ados qui draguent et des adultes qui hurlent.

Winchester 73
7.5

Winchester 73 (1950)

Winchester '73

1 h 32 min. Sortie : 31 août 1951 (France). Western

Film de Anthony Mann

Ygor Parizel a mis 8/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Un classique du western et un des premiers grands films de A. Mann. Les points forts se trouvent dans l'allure à laquelle le récit est raconté et monté, de l'action avec poursuites et fusillades. Puis une histoire assez ironique avec toute une série de salauds qui s'entretuent pour s'accaparer une arme de collection, ce n'est pas manichéen. James Stewart est accompagné par un chouette casting, surtout S. Winters qui se débrouille bien pour une fois.

La Cible humaine
7.5

La Cible humaine (1950)

The Gunfighter

1 h 25 min. Sortie : 4 avril 1952 (France). Western

Film de Henry King

Ygor Parizel a mis 8/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Ce western de Henry King va à contre-courant avec un scénario qui joue plutôt sur la dramaturgie que sur l'action. Avec cette histoire d'un as de la gâchette, son statut de légende est plus une malédiction qu'autre chose en étant la cible de tout le monde. Plusieurs éléments prouvent la qualité de ce film, d'abord la réalisation, le script de A. De Toth puis le casting et même la musique de Alfred Newman.

Le Rebelle
7.5

Le Rebelle (1949)

The Fountainhead

1 h 54 min. Sortie : 31 mars 1950 (France). Drame, Romance

Film de King Vidor

Ygor Parizel a mis 9/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Bien que ce film s'inscrive dans le classicisme le plus pur du cinéma américain avec ce que cela peut comporter de qualités ou de défauts, il en est un des fleurons reconnus encore maintenant. On y trouve l'académisme dans la façon de filmer, la prédestination et l'exacerbation des personnages, une certaine forme d'irréalisme (en particulier dans les 30 dernières minutes) ou encore la grandiloquence de la musique (trop d'ailleurs). Souvent résumé à une ode à l'individualisme et aux valeurs américaines, c'est un peu réducteur car c'est avant tout un plaidoyer contre le conservatisme et le conformisme avec ce héros inflexible sur son intégrité intellectuelle. King Vidor filme énormément de contre-plongées, apporte du graphisme (logique pour un film ou cela parle architecture) et de la hauteur sous plafond aux scènes intérieurs. Gary Cooper est l'incarnation née de ce caractère trempé dans l'acier, par contre la prestation de Patricia Neal est plus discutable.

Mark Dixon, détective
7.5

Mark Dixon, détective (1950)

Where the Sidewalk Ends

1 h 35 min. Sortie : 22 août 1951 (France). Film noir, Policier, Drame

Film de Otto Preminger

Ygor Parizel a mis 9/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Encore à l'époque certaines productions confondaient dans un même genre, le film noir et le polar ce Mark Dixon, détective en est un exemple. Le scénario de Ben Hecht (un des meilleurs scénaristes des années 40 et 50) est la carte maîtresse de ce film, l'intrigue semble se porter vers une enquête sur un meurtre pour ensuite se tourner vers une histoire de bavure. C'est assez prenant avec des rebondissements, des scènes tendues et du suspense puis il y a le dilemme moral du personnage principal. A l'affiche on trouve un couple de routiniers du genre Dana Andrews ambiguë et Gene Tierney en belle éplorée. La réalisation de Preminger n'est pas sensationnelle, il fait du bon boulot sans en mettre plein la vue.

L'Intrus
6.8

L'Intrus (1949)

Intruder in the Dust

1 h 27 min. Sortie : 10 octobre 1949 (États-Unis). Drame

Film de Clarence Brown

Ygor Parizel a mis 8/10 et a écrit une critique.

Ygor Parizel

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