[Perso] Films vus en 2015

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Jolie surprise.

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Il y avait un potentiel de pamalitude dans ce scénario. Mais pas grand chose ne tient debout. Les dialogues sont aberrants de médiocrité – «Quand j'étais petit, on me disait que les garçons naissent dans les choux et les filles dans les fleurs. Moi, je dois être né dans un chou fleur...» Seriously ?? Les décors, entre immenses baraques à l'américaine et centres commerciaux de province, sont absurdes. Le personnage du bébé est une peluche à l'écran et un boulet dans l'histoire, dont, étrangement, personne n'a jamais rien à carrer. Et parce qu'ils ont à jouer des scènes mal écrites, les acteurs jouent mal. Bref, c'est un peu gênant.

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Je crois qu'on a ri deux ou trois fois au début, et puis plus du tout.

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Le film est clairement destiné aux adolescentes, non ? Parce qu'autant je comprends qu'une spectatrice puisse flasher sur Gus Waters, ado mignon, expansif et optimiste, autant le personnage de Grace est une coquille vide (pour que l'on puisse mieux s'y glisser). Du coup, j'aurais bien aimé m'y attacher, à ce petit couple tourmenté, mais ça n'a pas marché.

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Assez oppressant et méga prenant. J'ai adoré.

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Faut-il déjà aimer les films de super-héros pour apprécier les Nouveaux Héros ? En tout cas, moi, les combats de robots géants sur les toits d'un gratte-ciel me laissent de marbre. J'aimais bien le début, à la gloire de la science avec son laboratoire plein de geekeries. Et j'aime bien Baymax, mais uniquement dans sa fonction médecin.

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Du jour au lendemain, les spaghetti, cuisses de poulet et parts de pizza que l'humain offrait au clébard sont remplacés par des brocolis dégueulasses. De la salade. Des épinards et je ne sais quoi encore. On est donc censés comprendre que l'humain est en couple ? Qu'il a adopté le régime alimentaire herbivore de ces créatures qu'on appelle femmes, obsédées par leur ligne, chiantes ? L'humain est même obligé de braquer son frigo en plein nuit pour baffrer de la glace. Sans doute que la Femme lui interdit les desserts, aussi. Quelle rabat-joie, cette pouffiasse !

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Ca vole pas haut, mais on a bien rigolé.

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Deux heures à attendre que le film commence vraiment, qu'il se passe quelque chose. Une rencontre choc entre la vieille actrice frustrée et la jeune rock'n'roll ? Une volte-face du metteur en scène qui en aurait marre de se faire balader et décide de choisir une autre interprète ? Le début des répétitions de la pièce ? Un coup de foudre de l'actrice pour sa jeune assistante ? Une dispute mémorable se soldant par le départ de l'une, ivre d'alcool et de colère, et qui finirait par se planter dans le fossé des routes alpines ?

Que nenni. On peut attendre longtemps de rentrer dans le vif du sujet... car il n'y a pas de vif du sujet. Il n'y a pas plus de personnage intéressant : aucune des trois femmes tenant les rôles principaux n'a réussi à capter mon attention. Leur sort m'est égal, leur histoire m'indiffère.

Sils Maria n'est pas nul, mais on s'y fait affreusement chier.

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Le sujet m'intéresse au plus au point, mais j'avais préféré Helen Keller. Ce film-là est quand même d'une platitude désespérante.

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Trop bien. In love with Adèle Haenel.

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Ça faisait plusieurs années que je gardais dans un coin de ma tête le projet de voir ce film, dont on m'a vanté l’originalité voire la modernité ou le féminisme. Tout ça parce que Madame frappe les garçons avec une pôele à frire ? Lol. C'est une princesse enfermée dans sa tour, trop faible pour s'opposer à sa mère et finalement délivrée par un courageux bonhomme. Ni plus ni moins.

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Film entièrement centré sur l'histoire du couple, ses hauts, ses bas, ses enfants, ses combats et ses déchirements. C'est très intéressant et bien joué, mais ce n'est pas DU TOUT ce que j'attends d'un biopic de Stephen Fucking Hawking. J'ai vu après que le film adapte en fait l'autobiographie de sa femme, Jane Wilde.

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C'était mignon et marrant jusqu'à ce qu'on s'endorme tous au milieu du film. Peut-être donc que c'était un peu chiant, aussi.

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Comment les ados utilisent le Net, comment leurs parents utilisent le Net et comment les parents chapeautent leurs ados sur le Net. De la mère qui censure de sa fille au cyber-harcèlement en passant par l’initiation à YouPorn et la propagande pro-anorexie, le Web de 2014 est là.

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Prenant, anxiogène, étouffant. On sent presque autant pris au piège que Charlie par ce poison de Sarah. J'aurais pas dit non à un petit coup de Ventoline à la fin du film, moi aussi. Aurait mérité un 8 s'il n'y avait pas cette fascination un peu puérile pour les jeunes qui fument.

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Assez dingue que ce film n'ait pas été nommé au césar des meilleurs décors (voire des costumes) : le travail visuel est assez dingue. La ville, l'appartement, la terrasse de l'immeuble et le joyeux bric à brac qui surcharge les images... Tout est ultra coloré, rond et rétro, adorable. L'histoire est mignonne quoique inégale et j'ai plusieurs fois ri de bon cœur. Mais c'est lent, lent, lent. Et trop mou. Ça gâche le potentiel.

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Vu aux Halles un samedi après-midi. C'était bizarre, un peu long, un peu chiant et pas très drôle. Mais bizarre, ça oui. La sensation d'être dans un cauchemar relou est très bien reproduite. En sortant de la salle, on se sentait un peu comme dans du coton, l'environnement paraissait assez irréel. Mais on peut pas dire qu'on a vraiment aimé.

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Passionnant et glaçant.