(re)Découvertes cinématographiques - 2023

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Je vois l'idée, j'apprécie le point de départ, mais le traitement aux limites de l'absurde de cette fin programmée de l'amitié aux dimensions allégoriques ne me convainc pas, et les allures de carte postale irlandaise données à cette histoire ne me permettent pas de dépasser ma gêne initiale.

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Un aspect inédit qui continue de me fasciner quelques mois après le visionnage: un film qui crée son décor naturel à mesure que l'histoire progresse. Le soin apporté à la culture, à la construction, a un je-ne-sais-quoi d'étourdissant qui continue de m'habiter longtemps après.

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Agréablement surprise par le traitement léger d'une histoire qui aurait pu donner lieu à un énième film métaphysico-contemplatif pédant sur l'espace.

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Quelque peu désarçonnée par un film que l'on présente comme d'un esthétisme fou et d'un avant-gardisme à la Mean Streets quand je n'ai l'impression d'avoir en face de moi qu'un étrange nanard. Visionnage néanmoins plaisant.

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Jamais autant ri en continu - les vingt premières minutes sont phénoménales. À partir du moment où le scénariste a voulu créer une intrigue, le film n'a plus grand intérêt et l'écriture s'appauvrit considérablement. Mais ces vingt premières minutes...

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Un moment de faiblesse (que ne ferais-je pour Audrey Fleurot) et un long moment d'incompréhension face à un film résolument stupide (à deux détails comiques près).

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Format déconcertant visant à supprimer toute aura glamour du monde mafieux.

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Réflexion fine et amère sur la rupture inaliénable entre la bourgeoisie intellectuelle et la classe ouvrière - belle surprise.

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Visionnage arrêté au bout de 30 minutes - Tsui Hark n'est décidément pas pour moi.

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Une première partie incroyablement fascinante, une deuxième partie moralisante moins à propos.

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La question de l'inceste et de l'emprise qui s'ensuit est traitée comme il faut, avec intelligence, sans pathos, et avec quelques soupçons de cruauté adolescente.

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Un film qui sent son Fincher des années 90, autant dans sa manière de filmer froidement la ville que dans ses intrigues un brin alambiquées.

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Je ne m'attendais pas à apprécier autant ce film: la première demi-heure me semblait terriblement conventionnelle, reprenant tous les stéréotypes du film d'animation japonais. Et petit à petit, les clichés se renversent, les psychologies se compliquent, l'humour se renforce, les plans larges sont splendides et mon enthousiasme est véritable.

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Une histoire d'amour peu intéressante greffée tant bien que mal à une intrigue qui aurait pu être mémorable sur deux mafieux miteux en déréliction. Dommage que l'écriture n'ait pas été plus consistante, le duo formé par Magimel et Kateb est tout bonnement prodigieux.

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Profondément déçue par la voie prise par le réalisateur pour résoudre le nœud initial.

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cf. critique

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J'aurais aimé une plus grande exploration sur les questionnements éthiques, mais la construction éclatée de l'intrigue a au moins le mérite de renouveler le genre ronflant et conventionnel du biopic. Intéressant, mais je ne crois pas qu'il s'inscrive durablement dans ma mémoire.

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A partir du moment où le film ne consiste qu'à montrer une jeune femme être tabassée - et pire - par tout Hong-Kong, mon enthousiasme initial a fondu et la dernière demi-heure n'a été qu'un long supplice. Les scènes d'action étaient pourtant incroyablement maîtrisées et rythmées, le film avait tout pour me plaire, n'était la scène de sadisme en trop.

Annotation :

revu.

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revu.