Top albums Arjen Anthony Lucassen

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Au début, j'avais du mal à rentrer dedans mais au fur et à mesure des réécoutes il s'est imposé comme l'album ultime, notamment par son concept qui défie toute concurrence. Chaque mot, chaque détail est riche de sens, le cast est dingue, et oui j'ai vendu mon rein pour pour aller le voir en live à Tilburg en 2023.

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Musicalement celui-ci est peut-être encore meilleur que 01011001, avec une grosse montée en puissance jusqu'au dernier morceau. Le concept est un peu moins accrocheur mais extrêmement bien réalisé, le choix et la direction des chanteurs notamment sont excellents.

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Longtemps mon préféré, notamment quand il était sorti où je l'ai bien usé, je l'écoute un peu moins en ce moment mais il n'en reste pas moins tout à fait génial.

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Excellent album qui change un peu du style habituel d'Arjen pour se concentrer sur du rock psyché Floydesque gavé aux claviers. Une petite réserve sur le concept qui bien que sympa n'est pas assez poussé mais les morceaux n'en restent pas moins énormes.

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J'étais longtemps passé à côté jusqu'ici, mais au final c'est devenu mon projet avec Arjen préféré hors Ayreon. On reconnait bien sa patte mais au milieu d'autres idées qui donnent au final une ambiance neuve, et Marcela Bovio est comme toujours incroyable.

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Évidemment c'est LA référence dans l'oeuvre de Lucassen mais je le mets un peu plus bas que les autres parce qu'on sent à certains égards (production, direction des chanteurs) qu'il est moins abouti que les suivants.

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Ça reste du bon Ayreon mais je trouve qu'il s'enferme un peu trop dans des schémas de composition plutôt banaux, du coup la cohésion de l'album s'en ressent. Restent un concept extraordinaire et des chanteurs parfaits merveilleusement dirigés.

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Le projet Star One n'est pas en reste avec des albums assez bluffants à condition de connaître les films de SF évoqués. Ici on est sur de l'anticipation.

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Et ici, c'est du space opera, un genre qui tient beaucoup à Lucassen (qui l'eut cru ?)

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En duo avec la divine Anneke van Giersbergen, un album hollando-néerlandais sur les lettres entre un marin et sa femme au XVIe siècle. C'est très prenant mais le choix de proposer une version Gentle et une version Storm est à double-tranchant, on aurait préféré une synthèse des 2.

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Je suis un peu déçu par cet album car les deux premiers morceaux font partie de ce que j'ai pu entendre de plus intéressant de la part de Lucassen ces dernières années, sa patte est très reconnaissable mais utilisée pour produire de belles chansons originales. Malheureusement le reste de l'album explore des sons plus indus qui me lassent un peu plus, même si je ne jette pas tout. Ça reste donc un très bon premier album solo pour Simone Simons mais ça aurait pu être encore mieux !

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Une écoute très perturbante : d'un côté, un concentré de certains de mes traits de compositions préférés chez Lucassen : ambiances étranges, nappes de claviers, et une voix qui rappelle Anneke van Giersbergen. De l'autre, un léger malaise devant cette couverture et plus largement cette coopération musicale qui ne semble pas avoir de but précis. Dans l'ensemble une écoute quand-même intéressante.

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Cet album évoque des thèmes auxquels Lucassen est très attaché, la dystopie est là mais aussi une réflexion sur le processus de création artistique en musique. C'est psyché, c'est concept, comment dire non ?

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On a tendance à oublier les premiers Ayreon, on est certes un cran en dessous de la suite mais tout est déjà là.

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Comme souvent quand Arjen décide de se centrer sur un seul aspect de sa musique, on a un album un peu trop uniforme pour moi. Faudra peut-être que je réessaye mais finalement je ne m'y retrouve pas.

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Je suis peut-être un peu dur dans ma note avec celui-ci ; le choix de faire un album uniquement metal progressif n'était pas hyper judicieux, on se lasse assez vite et le casting pourtant hyper prestigieux est plutôt gâché à mon sens. Et puis il ne raconte pas grand chose de passionnant au final. Le début est quand-même bien cool !

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Le point le plus original de cet album réside dans ses paroles, qui sont franchement assez sympa dans leur jeu de références multiples. En dehors de ça, malgré un son qui peut rappeler un peu plus Deep Purple que d'habitude, je trouve qu'Arjen est encore une fois en pilote automatique, et j'ai ressenti à peu près 0 émotion à l'écoute.

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Même si mieux ficelé que Transitus, je trouve qu'Arjen est vraiment en pilote automatique à l'exception de 2-3 moments un peu plus intéressants. Des fois je me demande si je deviens un vieux con, du coup j'ai réécouté 01011001, et c'est vraiment le jour et la nuit.

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Plus jamais cette pochette stp
Sinon il y a quelques bonnes chansons mais aussi des dispensables, et puis y a pas de concept, au final il est sympa mais c'est pas le meilleur.

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On sent qu'Arjen essaye des nouveaux trucs, certains fonctionnent (les chœurs et un aspect plus symphonique, et un aspect transmedia avec la BD) mais d'autres marchent absolument pas pour moi (les parties dans "Transitus" avec des cuivres ont un côté grotesque et surtout la narration bien que très bien exécutée casse absolument toute dynamique en cloisonnant les chansons). J'apprécie le travail sur les thèmes récurrents mais on retrouve aussi des schémas de compositions qui finissent par lasser... :/