top film 2024

Annotation :

Chef d'oeuvre!
(plus de détail en critique)

Un film jusqu'au-boutiste dans son genre, qui assume clairement ses références, pour les sublimées à ça manière.
Celle d'une mise en scène vertigineuses, aussi viscéral qu'immersive.
Coralie Fargeat cite ses inspirations toute en les assumant, au service d'un film qui marquera le genre du body horror.
The substance s'inscrit comme la forme physique d'une recherche de la perfection de soin même, par le biais du paraître, au regard des autres. Et le dernier acte assume son message, aussi poétique qu'extrême dans ses visuels.
Demi Moore qui a l'image de se qu'on se fais d'elle, joue avec pour délivré aussi une prestation magistral etmérite son Oscar , et forme un duo avec Margaret Qualley qui se veux comme une évidence, tellement les actrices donne de leur personnes.

Annotation :

Choc de l'année!

Annotation :

Que l'amour est violent
Violent par dedans

Annotation :

La scène du WormsSurf plus grand moment de l'année en terme de frisson.
Une suite quasi parfaite, chose devenu trop rare.

Annotation :

Pixar reste le Banger!
Gros coeur! Grosse chialade!

Annotation :

La filmographie de Robert Eggers dans son ensemble ne m'a jamais laisser indifférente, et je dirais même plaisante.
Et la curiosité de découvrir son interprétation de l'oeuvre Nosferatu grandissante.
La photographie est comme à l'habitude des films de Robert Eggers assez saisissante et la beauté de certain plan ne laisse pas indifférent. Après un noir et blanc très marqué dans The Lighthouse, le réal laisse passé un peu plus de couleur, toujours aussi froide et austère, et cela apporte au film une magnifique ambiance de cauchemar.
Le comte Orlock qui nous est proposé est ultra radical dans son genre et un détail physique qui est apporté sur son visage fais son effet sans être ridicule.
Alors oui, le film est en termes d'esthétisme et de mise en scène ça reste toujours qualitatif.

Mais Robert Eggers commence à devenir de plus en plus enfermé dans son propre concept, à force d'être dans l'iconisation de son mythe, quelques soit le sujet de son film, elle prend le pas sur l'histoire qui y est raconté. Et dans le récit de celui-ci, à trop vouloir y ajouté des détours, cela devient assez vite mollasson. Il a bon vouloir proposer des scènes marquante, avec des acteurs assez bon dans leurs ensemble, celui devient plus une succession de passage obligé avec une belle plastique, mais qui tourne à vide. Et cette proposition de l'oeuvre culte qu'est Nosferatu, commence a vraiment montré la grossièreté du style qu'il aborde depuis le début de sa filmographie.

Annotation :

Tim Burton recycle comme à son habitude.
C'est créatif comme à ses débuts, bien que ça invente rien. Ça fais du bien de le retrouver à fond dans son style malgré un scénario prétexte sans grande originalité. Et pourtant c'est ce que je lui reproche, mais ici ça fonctionne.

Annotation :

Le moin bien des 3
une bonne conclusion de la trilogie.

Annotation :

Papy Ridley Scott sait toujours faire de la belle image et mettre un rythme à ses films qui permet de les traverser sans trop s'ennuyer.

Mais les suites de ses oeuvres cultes commencent à faire un peu tâche dans sa filmographie, la faute à des scénarios de plus en plus lourdingue.
A défaut de vouloir proposer une histoire original tiré par les cheveux, comme l'avait été Prometheus et Alien: Covenant. Scott ne prend aucun risque et calque le parcours de son protagoniste comme celle de son premier film, avec l'idée de nous faire suivre l'histoire de Lucius qui serait le fils du symbolique Maximus.
Peut être trop symbolique pour réellement nous permettre de nous attaché à son personnage principal.
Contrairement à son antagoniste joué par Denzel Washington qui est le seul à vraiment marqué par son jeu. Et donne un ton à cette suite qui va à l'encontre de son oeuvre culte.

Le film aurai gagné, sans pour autant le rendre plus original, de le voir sous l'angle du général joué par Pedro Pascal plus proche d'un vrai Maximus. Difficile de s'attacher à l'histoire d'un Lucius pour qui on a peut d'attrait, hors mis être le "fils de". Paul Mescal s'en sort mais n'est pas aidé, la faute à un développement limité.

Ridley Scott assène un côté politique plus dans l'outrance à son histoire, qui peut se faire l'écho de notre époque. Plus dans les intérêts que dans les émotions.

Le spectacle du Colisée continue de faire rêvé son peuple, mais c'est un pousse vers le bas.