Un jeu une console

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Atari 2600, les débuts


C'est ma première console. Je jouais à Jungle Hunt et Space Invaders. Rien de transcendant.

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Nes, premiers pas

En dehors des 3 Mario emblématiques et de Double Dragon, je n'ai pas gardé beaucoup de souvenirs. Comme j'étais petit, les jeux étaient achetés au hasard et souvent décevants.

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Master System,

Je l'ai préféré à la Nes, Alex Kidd jouait à pierre-feuille-ciseaux, roulait en moto. Avec d'autres jeux de plateformes me laissant des souvenirs flous mais colorés.

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Megadrive,

J'ai surtout joué à Fatal Fury, série que je préfère à Street Fighter. Passé des heures sur les Sonic, aussi.

C'était l'époque où on se prêtait les jeux durant la récré.

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Super Nintendo, l'attrait du côté obscur


Je ne m'en rends pas compte encore, mais déjà je suis axé sur les jeux imports, les titres qui ne sortent pas en France. Je me procure Fatal Fury Special en japonais, je fais à chaque partie le code qui débloque un perso en plus même si je joue pas avec.

Pas un hardcore gamer, mais pas un casual non plus.

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Playstation, Darth Pucius

Playstation pucée, jeux en version japonaise et américaine, la plupart du temps des copies, c'est le temps des CDs gravés !
La résolution PAL était dégueulasse.

J'ai découvert des titres jamais sortis en France comme le très sympathique Tobal 2.

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Gamecube, le rendez-vous manqué


Comme à cette époque on ne pouvait pas inverser les axes, je me battais avec la caméra sur Super Mario Sunshine et Zelda Wind Waker, et j'ai abandonné la lutte.

Dommage.

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Playstation 2,


Je l'ai eu en fin de vie, les titres ont défilé dans la machine et les souvenirs qui ressurgissent concernent Final Fantasy XII, MGS Subsistence, et surtout Shadow of the Colossus, un titre qui semblait n'avoir rien pour me plaire et qui m'a épaté par sa modernité.

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PSP, pas convaincu

J'ai toujours eu un peu de dédain pour le jeu sur console portable. J'ai essayé la PSP mais j'ai joué aux versions HD de ses God of War et MGS Peace Walker sur Playstation 3, et globalement les titres que j'ai aimés, j'aurais préféré les avoir sur ma console de salon.

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Playstation 3, la déchéance


Ce n'est plus seulement EA qui fait du jeu vidéo sans âme comme l'usine pond de la saucisse. Toute l'industrie s'y met. Ubisoft casualise Splinter Cell et Ghost Recon en plus de tordre son Assassin's Creed jusqu'à la dernière goutte.

Et la narration commence à étouffer les jeux, les titres deviennent dirigistes et pompeux, maladie qui atteint même les artisans de Rockstar.

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Xbox 360, l'apothéose

Avec The Phantom Pain, Kojima recycle toutes les mécaniques et systèmes de l'open-world occidental sans âme ni colonne vertébrale, et offre une leçon de game-design à toute l'industrie.

The Witcher 2, de son bord, offre aux joueurs de vrais choix de dialogues après les très binaires Mass Effect et Dragon Age.

Annotation :

Playstation 4, the Phantom Pain

Des open-worlds immenses, des contenus astronomiques, des heures et des heures pour ne serait-ce que venir à bout de la quête principale, et l'impression de n'avoir rien fait, rien joué. Je cours d'un point A à un point B à répétition.