Vu au cinéma 2021

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début juin, cela fait du bien de rire dans une salle de cinéma.

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Vite oublié...

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17juin, après une mise en place efficace, un petit coup de mou, avant que Lutz et le réalisateur fassent grimper la tension et l' émotion.

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Juillet, feel good movie trop cousu de fil blanc. Comme si avoir une idée originale de départ suffisait.

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Juillet, un peu long de bons passages avec la rivalité sororale et la fin dans la base....

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Juillet, un film attachant et foutraque, trop tiède pour rester dans les mémoires...

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Vu début août avec deux jeunes zozos. Bien ri, de et avec OSS dézingué toujours plus loin, dommage qu'il ne finisse pas rétamé, cela aurait eu de la gueule.

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Août, le début laisse incrédule et mort de rire, la fin laisse un peu sur sa faim.... sacrifiant trop à l'éternelle bataille finale depuis le seigneur des anneaux.

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Août, les moments de tension sont assez forts, pour le moins, mais Jimenez ne connait pas la nuance, ni la subtilité; ils défend ses flics contre tous non sans panache, deux scènes un peu suspendues avec un gamin et avec la jeune indic apportent une émotion inattendue, la promesse d'un grand film non abouti.

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Meilleur film vu à ce jour, en fin d'été. La tension du polar laisse place aux tensions individuelles, une sorte de lutte pour sa survie dans un pays oppressant où flics et délinquants sont presque logés à la même enseigne...

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Septembre, Dumont ne sera jamais ma came, mais je voulais voir la Seydoux dans cet opus, je ne fus pas déçu.... elle est assez incroyable par sa capacité à tout faire accepter d'un personnage aussi improbable qu'insondable, le dehors est presque délirant cartoonesque, alors que l'intérieur semble rongé, un film malade et en roue libre.

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Septembre, coup de cœur, film de l'année? La résilience, sous nos yeux, d'êtres brisés éclôt telle une fleur délicate, notre récompense.

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Septembre, coup de cœur. L'énergie de Kad Merad, l'amour du théâtre, et pour tout dire l'amour des autres.

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2octobre avec les copains.

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voir critique.

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De la belle ouvrage, ce "french thriller"

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Prix Renoir septembre, où comment de façon poétique aborder des sujets graves, déchirants, et d'une histoire personnelle atteindre à l'universel...

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Prix Renoir septembre, académique mais sublimement éclairé, un début laborieux puis peu à peu l' étau se met en place pour ne plus nous lâcher, même si la fin est un peu trop expéditive...

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Octobre, tourbillonnant, brillant, contemporain...

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Une belle émotion là- haut

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Lourdement démonstratif, le "d'après une histoire vraie" ne justifie pas d 'effroyables anachronismes mêlés à de scrupuleuses et admirables reconstitutions. Le dispositif à la Rashomon ne fonctionne pas sur une histoire pareille....

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C'est plus que correct, drôlement tendre, mais les artifices sont un peu trop voyants...

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Novembre, Eboué est un con qui ose tout, mais qu'est-ce qu'il peut faire rire parfois !

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Un film cathartique, hénaurme. Dérangeant.

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Décembre prix Renoir, film qui peu à peu nous entraine loin: tout acte a des conséquences. En Iran le prix de la liberté est lourd. Le courage et la lâcheté se paient.

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Doublage français catastrophique, scénario trop mince, belle énergie, Prix Renoir

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Décembre, sensation de malaise devant cet objet filmique...

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Avec un ami fan c'est sympa à voir !

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Noël enjoué