Vu au cinéma en 2020

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grand coup de coeur, chef d'oeuvre du réal, un film qui entraine, bouscule, fait débattre ceux qui le voient!

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War on screen 2020

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Une petit larme devant ces humains pris dans la machine, ces David contre Goliaths dignes et courageux. La mise en scène est magistrale, vibrante et signifiante.

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Premier coup de cœur de l'année, qui me rappelle combien je suis à la fois féministe et vieux jeu. Les acteurs sont formidables, la musique au diapason.

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février 2020, il était temps... voir critique.

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War on screen 2020, un formidable début avec le duo Stewart/Widmark. Et puis les choses deviennent confuses, décousues, les scènes tiennent individuellement mais l'ensemble brinqueballe un peu et Ford se laisse étrangement aller aux leçons de bravoure lui, le maitre de la suggestion, de l'image économisant les mots.

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Octobre, un lendemain de terrorisme, une résilience par l'art et la couleur. Artistiquement splendide, des envolées poétiques, de l' émotion, on oubliera quelques facilités de scénario, l'oeuvre tient en équilibre et est vouée à la postérité.

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réinventer le thriller, brillant et gonflé.

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5 février , un splendeur visuelle, du pur cinéma, trop parfois ...

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Octobre, un enchantement des yeux, une belle histoire sans être trop édifiante, parfait pour les enfants et digne des Westerns d'autrefois.

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Le plaisir coupable de l'année?

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En creux le portrait de nos élites perclus de leurs certitudes...Le dispositive éprouvant est celui de la quête entêtée d'une vérité recouverte sous l'habile maitrise à discourir des participants. Le hors-champ ou quelques plans mettant à mal les péroraisons. Voir le "français" perdre pied est un régal. Tout cela finira mal, hors-champ.

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janvier, visuellement et émotionnellement puissant.

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Premier film modeste et réjouissant porté par les acteurs qui compensent la fragilité de l'ensemble.

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8 juillet, un enchainement de sketchs( inégaux ) porté par JP Zadi qui déride et remet les idées en place, impérial.

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28 octobre

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vu le 16 janvier, le faux plan séquence qui enferme dans une esthétique de jeu vidéo, négation de l'art du montage qui est l' essence du cinéma, le scénario squelettique avec le chantage au grand-père, toute cette beauté du spectacle de la guerre qui trouble.... et pourtant quelques scènes ont une réelle force émotionnelle... une Beauté qui emporte.

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un sujet fort, des effets de mise en scène osés mais des failles dans le récit.

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début octobre du plaisir en pleine automne, Laure Calamy est formidable

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juillet, le sillon coréen mi tarantinien mi analyse sociale...

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Film qui flatte la cinéphilie avec peu de moyens, le film noir revisité.

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War on screen, de la tendresse pour ce petit film des Balkans, drôlement absurde, mais où est Mickaël Palin ?

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un court métrage bien long et malaisant, des scènes surnagent mais nous sortons asphyxiés, pourquoi? Ce long combat pour ne pas renoncer fait mal au coeur, s'il pouvait faire prendre conscience de la nécessité du deuil, le film aurait été réussi, mais le personnage du jeune garçon brouille le jeu, l'infantilisation de la femme terminant de nous achever. Jusqu'où vous la douleur et les fantasmes. Au plus loin.

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25 février, de la bel ouvrage, éloge d'un anonyme héros, Eastwood poursuit son rêve américain de la rédemption et de l' Espoir, et son réquisitoire d'un peuple américain aux réflexes pavloviens de lynchage.

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fin janvier, plaisant

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1er film de l' année, en demi-teinte. Le parti pris de mise en scène est plus limitant qu'autre chose. Un film sur les jeunes fait par des "vieux gamins" , En témoigne la meilleure scène du film quand les deux pères jouent pendant l' anniversaire de la fille de l'un des deux. L'effet nostalgie joue à plein avant que la mécanique ne s'essouffle. On en fait quoi de sa nostalgie ? Alice Isaaz sauve le film de son anecdotisme par sa grâce intemporelle là où Boublil finit par agacer, bien que planqué derrière la caméra... soi disant!

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premier film prix Renoir, un premier film tué par ses bonnes intentions et son squelettisme de court -métrage étiré en long. Si le sujet est déprimant le film n' pas à l'être, on appelle ça de la redondance.

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post covid, assez plaisant, le film fleure bon les années 60 entre société poussiéreuse et bon coup de balais par les sentiments. C'est simple, efficace mais laisse fondamentalement sur sa faim.

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Un film foutraque qui lorgne sur le formidable Perejatko( la loi de la Jungle ) et le Sauvage de Rappeneau sans le rythme. Un film où Deneuve serait une redoutable mère castratrice, et Dedienne pas dans son élément. Sur le papier cela devait être excitant, sur l' écran c'est pas ça... Deneuve trouve en Cohen un comparse avec qui jouer, tandis que la petite Belaïdi confirme à l'inverse qu'elle peut tout faire, il ne lui manque plus qu'un premier rôle.

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Le film raté, filmé avec les pieds, trois acteurs qui jouent chacun leur partition ça fait presque de la peine; le propos est annihilé par la forme.