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Je remercie sincèrement Pat-Monkey de l'avoir fait le premier.
L'autre soir, à l'étroit dans mon confinement, je me suis évadé jusque chez une amie, un peu plus loin dans la rue. Bien que son activité soit d'utilité publique, elle n'a pas été jugée "nécessaire et autorisée par le gouvernement".
Après deux semaines de confinement, nous avions beaucoup à nous dire. Je suis donc ressorti bien après l'heure du couvre-feu.
J'étais à peine dehors qu'une lumière aveuglante, tombée du ciel, m'inonda et qu'une voix m'intima:
_La voix: "Mains en l'air!"
-Marc-: "C'est pas moi. J'ai rien fait!"
La voix: "Présentez-vous!"
-Marc-: "-Marc-. je dirai tout! Je dénoncerai tout le monde! Ne tirez pas!"
La voix: "Que faisiez-vous dehors à cette heure?"
-Marc-: "Vous avez une voix bien fluette... Pas du tout celle que j'imaginais à big brother..."
La voix: "Je suis Guilty. Big brother est mon grand frère. Il contrôle le pays, moi seulement ce site, votre quartier."
-Marc-: "Pourquoi tuez-vous mes amis?"
La voix: "Je n'en ai exécuté que 14... 15 maintenant. Je les avais averti. J'avais reçu des plaintes."
-Marc-: "Seulement 15? mais alors quelles sont toutes ces ombres qui se lèvent et gémissent?
Elles affirment ne pas avoir été averties.
Elles affirment n'avoir agressé personne hors des correspondances privées.
Et qu'est-ce que cette façon de lire les correspondances privées et de les divulguer? Vous pensez que c'est bénin?
Vous semblez accorder beaucoup de confiance aux délateurs. Quelles preuves vous ont-ils fournies?
Et qu'en est-il de tous ces individus qui injurient quotidiennement les autres sans aucune sanction?
Qu'est-ce que cette façon de rejeter la faute sur une subordonnée?
Et quelle sanction avez-vous appliqué? Je la vois qui ricane derrière vous.
La voix: "Ici, c'est chez moi et je fais ce que je veux.
Je n'oserai jamais vous le dire, mais si vous n'êtes pas content, vous n'avez qu'à partir."
-Marc-: "Merci pour le conseil. Mais je n'ai encore jamais fui et je préfèrerais encore être exécuté comme mes amis."