Après avoir lu The woman in white, Basil est seulement le deuxième roman de Collins que je termine.
Comme le premier, je l'ai beaucoup apprécié, surtout la dernière partie dans les Cornouailles qui me rappelle certaines affaires de Sherlock Holmes.
L'histoire tourne autour de la problématique des mésalliances du point de vue de l'aristocratie anglaise, qui est représentée par le père du héros et la bourgeoisie marchande représentée par Mr Sherwin.
La décision de Basil de se marier entrainera de lourdes conséquences, les personnages étant malmenés à partir de cette décision autant physiquement que psychologiquement.
C'est donc un très bon roman victorien que je conseille même si j'ai une petite préférence pour The Woman in White qui a une histoire peut-être un peu plus complexe que Basil.