Le Japon c'est bien

La vitrine du Bushido

Écrit uniquement dans le but de partager ce qu'est le Bushido à un Occident assez combler par ses art ancestraux, Nitobe a choisi de rédiger sous forme de chapitres séparés en préceptes. Le but est donc de vendre le Bushido en ne montrant que la bonne face. Sans mentir aux lecteurs, la manière de présenter les choses est tout de même bien retourné afin d'orienter la réflexion dans le bon sens. Nitobe montre que la plume, il maitrise.

Références nécessaires

Afin de faire comprendre le plus facilement possible ses textes aux lecteurs occidentaux, Nitobe s'efforce de comparer le Bushido à des citations, extraits de texte d'auteur occidentaux. Souvent Allemand, il sera nécessaire d'avoir une base plus soutenu que la moyenne afin de ne pas se sentir opprimé par tous les noms d'auteurs. Toutes ces citations donnent presque l'impression que Nitobe souhaitait gagner en crédibilité en montrant qu'il connaissait la culture occidentale.

Le Bushido, et alors ?

Parce qu'il faut bien avouer, même si l'on peut être attiré par la culture traditionnelle japonaise de par sa différence sur tout point, il faut se rendre a l’évidence, son évolution a été très lente jusqu’à la seconde guerre mondiale, autant sociale que technique avec une fermeture d'esprit en ce qui concerne la culture extérieur. En comparaison a la renaissance ou au siècle des lumières, Bushido l’âme du Japon est comté par un bon vendeur mais le fond est bien fade, n'apprenant pas plus que ce que le Japon et son histoire a été pendant des siècles, c'est à dire, guerre civiles, guerres civiles et guerres civiles.