Le titre nous pose une temporalité, que peut-il bien s’être passé ce mois d’avril ?
Une couverture à la fois douce et intrigante, deux personnes se tenant la main marchant dans un environnement stérile et se déplaçant vers la foudre. Quelle idée ? Pourquoi se dirigent-ils vers ces éclairs menaçants ?
Un roman de science-fiction qui relève des questions sur le sens de l’humanité.
Une aventure qui nous mène sur des questions existentielles et éthiques. Les cohérences sont assez bien exprimées et le monde construit quant à lui suit son propre fonctionnement. Des actions en tout genre de la désolation, des mystères et une quête de sens.
Une histoire qui prend son temps et qui est fournie de rebondissements en temps voulu. Quelques passages longs, mais je pense qu’ils sont ici pour souligner ce qu’il se passe dans l’environnement des protagonistes . Les personnages ont un relationnel complémentaire, nous passons par différentes phases dans l’évolution des personnages au cours du récit, certains raisonnements m’ont laissé un peu frustré par leurs lenteurs, mais cela ne m’a pas dérangée dans l’ensemble. Des émotions en tout genre et des scènes décrites de manière originale.
Ce livre qui est écrit dans une plume accessible, agréable à lire et un univers qui est régi par ses propres lois. Une science-fiction qui n’est pas complexe dans sa rédaction et originale.
J’ai apprécié la finalité du roman, ainsi que les différentes questions que relève intrinsèquement le récit. J’ai également apprécié la partie de l’auteur à la suite du roman qui nous explique des concepts et/ou événements qui ont lieu dans ce roman.
Au final, ce roman est original dans sa structure et sa finalité. J’ai apprécié ma lecture même si tout n’était pas en action constante, après tout vu certaines scènes du roman c’est compréhensible.
Une science-fiction qui change, à lire dans des moments calmes malgré certains aspects durs par ses scènes assez pesantes, le roman nous berce par certains moments de quiétudes.