Pause rentrée littéraire 2020. Il fallait, vraiment.
D'habitude j'me claque un truc qui fait pas de noeuds au cerveau, détente, bon enfant. Mais là j'avais un grave besoin de fantasy (ce qui est chelou parce que c'est jour pour jour à quelques jours près les dates où j'me suis bouffé l'intégrale du Trône de Fer, mais bref, on s'en cogne).
Chien de heaume donc. Plébiscité par ce qui me tient de hiérarchie (je plaisante, le garçon est un bon copain surtout), la 4e de couverture, l'illustration sur la couverture, la notoriété wikipédia de Justine Niogret.... Tout a contribué à ce que ce petit bonbon moyen-âgeux me bondisse dans les mains et c'était un excellent choix, ma foi.
Chien de heaume est un roman pas tant surprenant sur le fond, ni sur la forme d'ailleurs mais il a le mérite de nous porter, d'avoir des idées bien étoffées sur la place des femmes dans le rôle de mercenaires au moyen-âge, des petites anecdotes sur la forge d'armes, etc.
Y'a un soupçon de magie, ça flirte vite fait, mais c'est surtout pour étoffer l'ambiance et ça rend l'oeuvre gavée charmante si tu veux tout savoir.
Si t'as pas encore lu ça tu peux t'y atteler dès que tu veux, j'attends qu'une chose pour ma part ; me farder la suite !