le massacres des kangourous dans une courses effrénés et dans un état d'ébriété avancé.
évidemment certaines descriptions sont belles poétiques et racé, d'autres moins, les dialogues sont inégaux mais toujours pittoresques et marrants.
le jeune instituteurs parti en direction de Sydney pour ses vacances allouées d'un petit chèques ne fera pas long feu puisque le livre ne compte que deux cents pages...
L'énergie ne tarie pas mais est toutefois inégale même en très peu de paragraphes;
c'est en lisant La revange du wombat, un recueil de nouvelles humoristiques très animalières du même auteur que m'est venu le titre de cet critique, on est pas forcément à l'aise avec l'environnement décrit, pas pour des raison morale, mais disons que ce n'est certainement pas une lecture de plage.
un grand bol d'air ranci;