C’est un recueil de 4 nouvelles que nous livre ici Kenzabûro Oé.
Dans la première nouvelle, un soldat noir américain est capturé par un village japonais pendant la seconde guerre mondiale et les enfants sont intrigués par cet homme puissant.
Dans la seconde nouvelle, peut-être la plus personnelle de la part de l’auteur, un homme vit une relation fusionnelle avec son enfant handicapé.
Toujours sur ce thème du handicap, dans la troisième nouvelle, un homme tente de faire face au deuil à sa façon.
Il s’agissait de la première fois que je lisais une œuvre du japonais nobélisé en 1994. Et quelle déception !
J’ai trouvé ce recueil assez indigeste, lourd, et je pense très mal traduit… Je n’ai d’ailleurs pas terminé la dernière nouvelle, je n’en pouvais plus.
Je n’ai pas trouvé la légèreté et la poésie que j’avais trouvé dans le style des autres romans japonaises que j’ai lus. Ici, les phrases sont longues et ampoulées.