Dans un premier temps, je tiens à remercier les éditions Au Diable Vauvert pour ce nouveau partenariat.
Chaque fois que je lis un roman de Nicolas Rey, j’arrive invariablement à la même conclusion « puta*** » comme j’ai aimé. Pourquoi, pour deux raisons qui s’entrecroisent, le style et Nicolas Rey me fait penser à Frédéric Beigbeder lorsqu’il écrivait des romans la trilogie de Marc Marronnier.
Entre réalité et fiction, car il faut bien reconnaître que Nicolas Rey, laisse une ligne bien fine entre réalité et la fiction, on ne sait pas trop sur quel pied danser et que croire. Mais peu importe, depuis un « Leger passage à vide », en passant par « L’amour est décalé » Nicolas Rey ou bien son personnage, à évoluer, ou pour mieux dire involuer. D’un type prometteur, père de famille, mais toxico et alcoolique, il finit par vivre au crochet de son père qui lui donne chaque semaine son argent de poche et Nicolas se voit dans l’obligation de vendre son appart.
La raison de ce roman, n’est pas de voir Nicolas Rey payer les pots cassés d’hier, son soit disant plagiat de 2016, mais ce livre est l’excuse parfaite pour l’auteur de nous raconter son renouveau amoureux avec Joséphine, cette amoureuse à qui il ne veut plus mentir tout comme au reste de sa famille et à son fils Hippolyte.
On découvre à travers de court chapitre, un Nicolas Rey qui a mûrie et après 42 ans cherche la sincérité pour se reconstruire si possible avec sa famille, mais aussi et surtout avec Joséphine.
Sur le Blog : http://www.bouquinovore.com/2018/03/dos-au-mur-nicolas-rey.html