Au début d'Idlewild, on ne sait pas trop si on est dans du fantastique ou de la science-fiction. A l'instar du personnage principal, Halloween, qui après avoir repris conscience au milieu d'un champ de citrouilles, ne se souvient plus de rien, on ne comprend pas grand chose à ce qui se passe dans l'univers clos et farfelu dans lequel il évolue.
Ceci s'expliquera assez rapidement : Halloween ainsi que neuf autres jeunes se trouvent dans une école qui prône des méthodes d'apprentissage ... hum, on va dire innovantes. Ils se trouvent dans une réalité virtuelle dans laquelle ils disposent de tous les outils pour réussir leur scolarité.
"Maintenant, si j'étais programmeur RVI, pourquoi créer un monde où l'on peut se blesser, mais pas mourir ? Si j'avais la possibilité de créer quelque chose, pourquoi ne pas créer le paradis ?
Et d'après Camus : "Il faut imaginer Sisyphe heureux." "
Je dois avouer avoir eu du mal à rentrer dans ce livre. Je trouvais le début poussif, pas très compréhensible. Ensuite, le déroulement de l'action ne m'a pas des masses passionné. En fait, ça commence à devenir plus intéressant à la fin. Mais je ne vous dirai pas pourquoi, hahaha.
Mon avis n'est pas très développé, mais il faut m'excuser, j'ai lu ce bouquin il y a fort longtemps, les souvenirs que j'en ai sont en train de m'échapper, d'autant plus que j'ai eu du mal à rentrer dedans. Mais je compte me rattraper avec le tome 2, Edenborn, que je ne vais pas tarder à lire.
"Pourquoi ne sommes-nous pas tous des ordinateurs ? Ce serait tellement plus facile, je crois. Pas de problème. Pas de doute. Pas d'interaction. Nous serions tous programmés."
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